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Les sushis, histoire et bienfaits

By Alimentation, chez soi

Les sushis, histoire et bienfaits

Emblème de la cuisine traditionnelle japonaise, le sushi est composé de l’association de deux éléments : d’un riz vinaigré appelé “shari” combiné avec un autre ingrédient appelé “neta” qui est généralement du poisson cru ou bien des fruits de mer.

C’est une technique inventée par les Chinois pour conserver le poisson qui est à l’origine du sushi. La fermentation du riz ayant pour but de garder le poisson sans qu’il pourrisse, seul le poisson est consommé et le riz jeté. Cette technique disparaît ensuite de Chine et s’installe au Japon.

Au Japon, la technique évolue et le poisson cru enveloppé dans le riz se consomme frais et le riz est mangé avec. Le sushi devient un plat à part entière et non plus une technique de conservation.




Au début du XIXe siècle les sushis sont vendus dans la rue dans des petites échoppes appelées “yatai”. Le format des sushis est adapté aux habitants pressés d’Edo (ancien nom de la ville de Tokyo) qui peuvent les manger partout.

Après le séisme de 1923, les chefs préparant les sushis quittent Edo et se dispersent à travers le Japon, popularisant les sushis dans tout le pays.

Aujourd’hui, la préparation des sushis est considérée comme un art au Japon et il faut des années de formation avant d’acquérir le titre de “sushiya” (maître sushi).

Les sushis se mangent avec des baguettes ou avec les doigts. Le wasabi, la sauce de soja et le “gari” (gingembre mariné) sont les accompagnements classiques des sushis.

Les principaux types de sushis

plateau de sushi

  • Le nigiri-zushi : riz vinaigré avec une tranche de poisson cru ou autre ingrédient
  • Le maki-zushi : sushi avec poisson cru ou autre ingrédient enroulé dans une feuille de nori (algue noire séchée)
  • Le temaki : cornet de nori avec du riz et plusieurs ingrédients
  • Le uramaki : sushi avec la feuille de nori à l’intérieur du riz (“maki inversé”)
  • Le sashimi : tranche de poisson cru sans riz
  • Le chirashi : bol de riz avec garniture froide (“sushi éparpillé”)

En matière de restauration Japonaise vous pouvez en savoir plus sur ce site qui propose de nombreux produits de la cuisine japonaise.”

Les sushis ont évolué avec le contact de la culture Occidentale. Par exemple, le California Roll, comme son nom l’indique, a été inventé aux Etats-Unis. Le fait de recouvrir les sushis d’oignons grillés, de mélanger le wasabi avec la sauce soja ou bien d’associer la dégustation de sushis avec les yakitori (brochettes) ne sont pas des habitudes japonaises. L’utilisation du gari n’est pas non plus respectée en Occident, car il sert normalement à enlever le goût du précédent sushi.

Les sushis sont-ils bons pour la santé ?

Les risques

Les poissons utilisés peuvent parfois être chargés en métaux lourds comme le mercure.

Le poisson cru peut aussi être à l’origine d’infections et de parasitoses. Cependant, ces risques sont diminués par une éviscération précoce (pour éviter la migration de la bactérie dans le muscle) et par une congélation à −20 °C durant 24 heures à 72 heures. Par contre, ces mesures n’enlèvent pas la contenance en métaux lourds. Pour ces raisons, il est déconseillé aux femmes enceinte de consommer du poisson cru.

Le riz utilisé dans les sushis est parfois trop sucré et trop salé ce qui peut perturber la glycémie. Pour pallier cela, sachez qu’il existe des sushis à base de riz complet. Il est aussi recommandé de ne pas commander un bol de riz en plus.

La salade de chou est aussi très vinaigrée et sucrée et la sauce sucrée, comme son nom l’indique contient beaucoup de sucre.




Les avantages

La cuisine japonaise est réputée comme saine et les Japonais ont la réputation d’être sveltes. Les composants des sushis apportent tous quelque chose de bénéfique à notre organisme.

Le poisson contient beaucoup de nutriments tels que le sélénium, le potassium, le phosphore, le fer ou le zinc qui sont bons pour notre organisme.

Il apporte autant de protéines que la viande, mais avec une quantité moindre de matières grasses. Sa contenance est faible en gras saturé et en cholestérol et forte en oméga 3.

Il diminue les risques cardiaques, protège des cancers, et même de la maladie d’Alzheimer.

Sans ajout de sauce, le sashimi est très bon pour la santé. Les makis et les nigiris sont aussi intéressants, car le riz n’est pas en trop grande quantité.

Le riz est riche en minéraux tels que le phosphore, l’amidon ou la vitamine B1. Il apporte aussi des glucides qui sont importants pour le fonctionnement du corps.

Il ne fait pas grossir, car il favorise la sensation de satiété et on a donc tendance à moins manger. Il est aussi recommandé en cas de trouble du transit. Il se digère rapidement et apporte de l’énergie immédiate à l’organisme. Il convient également aux personnes allergiques au gluten.

Le wasabi, très riche en vitamine C, contient également des isothiocyanates qui protègent des caries dentaires.

La feuille de nori contient des antioxydants et des minéraux tels que l’iode, le magnésium, le calcium et le fer. Elle est riche en protéines et contient 8 % de fibres. Elle est aussi source de vitamine A, de vitamine B2, vitamine B9 et de vitamine C.

Le gingembre possède des vertus aphrodisiaques et antiseptiques et il favorise la digestion.

La sauce soja est riche en protéines et en fer.

L’avocat est riche en vitamines A, B, C et E, en oméga 9, 6 et 3 et en minéraux.

En conclusion, le plateau de sushi n’est pas un plat à recommander pour perdre du poids et ce n’est pas non plus un plateau diététique. Cependant, il a une qualité nutritionnelle évidente, mais il faudra limiter ce plaisir à deux fois par semaine.

Attention cependant aux sushis industriels très transformés avec beaucoup d’ajout de produits chimiques et préférez les manger en restaurant.

Sources :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Sushi
https://www.francetvinfo.fr/sante/alimentation/les-sushis-un-plat-equilibre_2658470.html
https://docteurbonnebouffe.com/alimentation-bienfaits-sushis/
http://cuisine.journaldesfemmes.fr/magazine/dossier/0502sushis/presentation.shtml
http://lasantedansmonassiette.com/bienfaits-sushi/  

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bonne couette

Comment choisir une bonne couette ?

By chez soi, Produits, Sommeil

Comment choisir une bonne couette ?

bonne couette

Le choix d’un certain type de sommier ou de matelas est déterminant pour un sommeil efficace, agréable et réparateur, et l’on peut passer beaucoup de temps à en sélectionner un avec soin, en se basant sur de nombreux critères différents.

Cependant, il existe un troisième facteur, non moins fondamental mais hélas souvent mis de côté : la couette. Quelle taille, quelle composition, quelle épaisseur, mais aussi quelles propriétés particulières sont à privilégier ? Voici quelques astuces pour faire le tri.




Les dimensions

Premier critère à prendre en compte, et probablement le plus facile à sélectionner, la taille de votre couette est un élément essentiel pour une bonne nuit de sommeil. Evidemment, il faut adapter ce choix en fonction de la taille de votre matelas. Pour un confort optimum, par exemple pour éviter que des courants d’air frais désagréables ne s’infiltrent dans vos draps, il est conseillé de choisir une couette qui dépasse de votre matelas d’environ 30-40 cm de chaque côté du lit. Mais il faut également prendre en compte votre comportement durant votre sommeil : avez-vous tendance à vous enrouler dans votre couette au cours de votre  nuit ? Bougez-vous beaucoup ? Dormez-vous seul(e), ou bien avec quelqu’un qui s’approprie toute la couette ?

Ainsi, pour un lit de 140×200 cm par exemple, dans lequel une ou deux personnes peuvent dormir, privilégiez une couette de 200x200cm pour une personne seule, et une couette de 240x220cm pour un couple. De même, la corpulence des dormeurs est un élément qui doit influencer le choix de la taille : une couette trop petite laissera vos orteils découverts, tandis qu’une couette trop grande risquerait de tomber sans cesse à terre et de vous découvrir.

Le garnissage 

garnissage couette

En ce qui concerne sa composition, on retrouve bien évidemment la traditionnelle hésitation entre naturel ou synthétique. Plusieurs critères, très personnels et qui varient en fonction de chacun, sont à prendre en compte pour ce choix. Mais ces deux types de matière ont chacun leurs avantages et leurs inconvénients. Petit récapitulatif :

En ce qui concerne les couettes faites de garnissage naturel, d’abord, les avantages résident dans leur performance, en plus de leur côté bio : en effet, le garnissage naturel garantit un gonflant très agréable et efficace, et dure en général plus longtemps que le garnissage synthétique.

Le duvet, d’oie ou de canard, est l’élément naturel le plus répandu. C’est lui qui a les propriétés thermiques les plus élevées, et qui est le plus efficace contre le froid et l’humidité. De plus, le duvet naturel possède d’excellentes propriétés de thermorégulation ; si vous avez l’habitude de déjà avoir chaud la nuit, cette couette ne vous fera donc pas davantage transpirer, car elle est capable de s’adapter aux différentes étapes du cycle du sommeil, et à la température corporelle qui lui correspond. Le duvet possède également une sorte de reconnaissance historique et conventionnelle : traditionnellement,  il est le composant par excellence des couettes. En revanche, on note de plus en plus de personnes allergiques à ce composant, et qui ne supportent plus les couettes garnies de duvet.

Heureusement, il existe d’autres composants naturels, comme la laine, la soie, ou même le bambou, par exemple. Moins répandues, ces matières sont tout aussi efficaces pour préserver la chaleur et conserver à l’abri de l’humidité. Elles sont plus légères et plus fines, et hypoallergéniques. Le garnissage végétal garantit une provenance autre qu’animale.

Un autre aspect non-négligeable des couettes naturelles est l’assurance d’acheter des produits bio, dont le garnissage est directement naturel ou recyclé, écologiques, et bien souvent de production locale. Par ailleurs, si vous avez des scrupules à vous fournir avec une matière comme le duvet, sachez qu’il existe des garanties : certains fabricants s’engagent à suivre des chartes strictes, qui prônent le respect du bien-être animal et la provenance directe de fermes éco-responsables.

Le principal inconvénient des couettes composées de matière naturelle reste leur prix, plus élevé que les couettes synthétiques. Cependant, elles durent plus longtemps que les couettes synthétiques et conservent leur gonflant après lavage. Attention toutefois : bien souvent, vous ne pourrez pas laver une couette en soie par vos propres moyens, et devrez privilégier un lavage au pressing.

A propos des couettes en matière synthétiques : totalement hypoallergéniques, très faciles d’entretien, leur prix est plus accessible que les couettes naturelles, mais elles durent moins longtemps, et perdent peu à peu de leur gonflant après les lavages. Les variétés de fibres synthétiques sont très variées et nombreuses, et la science à ce sujet a fait beaucoup de progrès ces dernières années : elles peuvent désormais être anti-acariens, fines et légères tout en conservant la chaleur, avoir un effet « toucher-duvet »… Aujourd’hui, les fibres synthétiques sont très efficaces pour conserver la chaleur corporelle, et certains fabricants qui ajoutent de la silicone garantissent même une répartition uniforme et agréable du garnissage dans la couette. En revanche, une couette en fibres synthétique chauffe de manière constante, et ne peut s’adapter aux différentes étapes du cycle du sommeil. Si vous avez déjà très chaud la nuit, vous risquez donc de transpirer davantage.

Il existe, là aussi, certains labels promouvant l’écologie, et qui garantissent le recyclage des fibres de polyester par exemple, souvent joint à d’autres caractéristiques « vertes » ou coton « bio ».

Enveloppe et piquage

piquetage couette

Il s’agit également d’un choix essentiel, puisque c’est l’enveloppe qui contient le garnissage, et le piquage qui lui assure une bonne tenue et permet de le maintenir en bonne place.

L’enveloppe correspond au nombre de fils utilisés par cm². Plus une enveloppe est de qualité, plus ce nombre est élevé et le tissage serré. Ainsi, pour une couette garnie de fibres synthétiques, une enveloppe de 90-100 fils/cm² est adapté, tandis que pour un garnissage naturel, mieux vaut choisir un tissage de 130 films/cm² environ, pour que le duvet ne s’échappe pas de la couette, notamment.

En ce qui concerne la matière de l’enveloppe, tout dépend de votre budget et de vos besoins. Pour éviter la transpiration et une chaleur désagréable, mieux vaut choisir une enveloppe en coton pur, bio, ou bien tout simplement une enveloppe en fibres naturelles (bambou, soie…), très saines. Le mieux reste tout de même le coton, pour ses propriétés absorbantes et légères : l’humidité est évacuée, et la couette peut davantage s’aérer, respirer, ce qui est particulièrement recommandé pour les couettes en fibres naturelles.

A noter : il est possible d’opter pour des enveloppes avec des traitements anti-tâches, anti-acariens, ou contre les bactéries ou les insectes par exemple.

Le piquetage, lui, contribue à conserver la chaleur qui s’est accumulée durant le sommeil. Un bon piquetage vous permettra de conserver votre couette pendant plusieurs années. Il en existe de nombreuses formes, qui correspondent à divers types de couettes. Ainsi, pour une couette en fibres naturelles, préférez un piquetage à carreaux cloisonnés. Pour les fibres synthétiques, les choix sont plus nombreux : vous pouvez choisir entre des piquetages en lignes, vagues, horizontaux, ou carreaux. Egalement pour les couettes synthétiques, le piquage à capiton favorise le gonflant et l’isolation thermique de la couette.

Le grammage

Le grammage correspond au poids du garnissage de la couette. Là encore, ce sont essentiellement vos préférences personnelles qui entrent en compte. En effet, tandis que certains préfèrent sentir le poids de la couette pour bien dormir, d’autres privilégient les couettes légères.

Le grammage s’exprime en g/m². Plus le grammage est élevé, plus la couette est chaude. Egalement, pour des propriétés thermiques équivalentes, une couette faite de fibres naturelles sera plus légère qu’un couette faite de fibres synthétiques. En outre, plus le pourcentage de duvet est élevé, plus la couette sera légère.

A noter : plus le grammage est élevé, plus la couette est dense, et plus sont prix sera important.




Propriétés thermiques

Il existe des couettes dites d’hiver et des couettes dites d’été, qui possèdent des propriétés thermiques différentes.

Il est ainsi possible d’alterner entre couettes légères, pour l’été et les chambres assez chauffées, et couettes chaudes, pour l’hiver, les chambres moins ou peu chauffées, et/ou les personnes plus sensibles au froid.

Mais il existe également des couettes dites « quatre saisons », c’est-à-dire composées de plusieurs couches, que l’on peu enlever ou rajouter en fonction de ses besoins ou de ses préférences. On peut en trouver sur des sites tels que www.matelas-morphee.fr.

L’entretien

Qu’elle soit naturelle ou bien synthétique, une couette doit être secouée et surtout aérée régulièrement. Il faut également la protéger par une housse aux dimensions adaptées, et la laver régulièrement.

L’idéal, pour une couette naturelle, est de la laver deux fois par an, aux changements de saisons (hiver et été). Pour une couette synthétique, qui n’évacue par l’humidité de la même façon, le lavage s’effectue de préférence tous les trois ou quatre mois.

Attention, si vous lavez votre couette synthétique en machine, sélectionnez un programme d’essorage modéré, afin que l’enveloppe ne se rompe pas et ne laisse pas le garnissage s’échapper. Pour la sécher, il est préférable de la laisser naturellement à l’air libre.

En revanche, il est nettement plus compliqué de laver une couette naturelle chez soi : il faut éviter que le duvet ne s’écrase lors du lavage, et qu’il ne se regroupe pas en boules irrégulières lors du séchage. Préférez donc un lavage par des professionnels ou bien dans un pressing.

Références

Site web de santé : https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=comment-bien-choisir-couette

Site de conseils en matériel domestique : http://www.cotemaison.fr/lits/achat-couette-nos-conseils-pour-bien-la-choisir_26889.html

Site d’un professionnel de la literie : https://www.couette.org/choisir-une-couette/#Le_garnissage

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chambre a coucher

Aménager sa chambre pour s’y sentir bien : Nos 3 conseils

By chez soi, Maison, Relaxation, Sommeil

Aménager sa chambre pour s’y sentir bien : Nos 3 conseils

chambre a coucher

Pour beaucoup d’entre nous, la chambre à coucher est l’une des pièces les plus importantes de notre maison. Il faut dire que l’on y passe au minimum un tiers de notre vie, et que c’est aussi là que nous débutons et terminons toutes nos journées. Inutile d’en dire plus pour savoir pourquoi il est si important de s’y sentir bien !
Voici trois points à prendre en compte pour faire de votre chambre un lieu agréable et accueillant.




1) Choisissez bien votre lit

La raison principale pour laquelle on passe un tiers de notre vie dans notre chambre, c’est notre lit. C’est donc sans aucun doute l’élément central de la pièce, et il est primordial de bien le choisir.
Il faut, d’abord, choisir un bon matelas. On ne le dira jamais assez : un mauvais matelas peut avoir des conséquences désastreuses sur votre vie. Vous pourriez dormir mal et vous réveiller fatigués, voire ne pas réussir à dormir du tout pendant de longues heures, ou vous retrouver avec des maux de dos quotidiens qui gâcheront vos journées et pourraient finir par s’aggraver.

Pour bien choisir votre matelas, il est toujours recommandé de demander conseil aux vendeurs, qui pourront vous guider par rapport à vos besoins. Veillez toutefois à le choisir assez ferme pour qu’il puisse assurer un bon maintien de votre colonne vertébrale et du reste de votre corps.

Pour rendre votre lit encore plus confortable et accueillant, n’hésitez pas à y mettre beaucoup de coussins. Ca sera peut-être plus dur de le quitter le matin à l’heure d’aller travailler mais au moins vous vous y sentirez extrêmement bien !

Prenez enfin le temps de penser à l’emplacement de votre lit. Généralement, on conseille de ne pas le mettre près de la porte ou trop près d’une fenêtre, surtout si le soleil entre dans votre chambre dès le matin.

2) Faites entrer la lumière

De manière générale, la lumière est extrêmement importante dans la maison. Une pièce dans laquelle la lumière du jour ne rentre pas facilement est toujours plus déprimante qu’une pièce gorgée de soleil. Quant à la lumière électrique, si elle est trop tamisée ou, au contraire, trop néon, elle peut facilement mettre nos nerfs à mal.

Dans la chambre, il est important d’avoir plusieurs lumières différentes. Outre la lumière naturelle, il faut avoir une lampe assez puissante pour ne pas devoir choisir nos vêtements dans la pénombre ou pour pouvoir facilement lire au lit, par exemple.

À celle-là, il est recommandé d’ajouter des lampes à l’aspect plus tamisé pour donner une ambiance relaxante à notre chambre ou pour nous permettre de nous réveiller en douceur le matin sans devoir protéger nos yeux d’une lampe à la lumière bien trop vive.

3) Jouez avec vos meubles

Outre leur côté pratique, les meubles ont un rôle important à jouer lorsqu’il est question de créer une ambiance dans une pièce. Parmi les meubles nécessaires dans une chambre, on en note deux en particulier : la table de chevet et le placard.

L’utilité de la table de chevet est parfois sous-estimée, et pourtant son absence peut avoir un impact négatif sur notre état d’esprit. Devoir poser son téléphone, son livre ou sa lampe de chevet sur le sol lorsque l’on ne dispose pas d’une vraie table nous empêche souvent de nous sentir entièrement bien et donne une impression d’inachevé.

Quant au placard, à moins que vous disposiez d’une pièce entière pour votre dressing, celui-ci se trouve généralement dans la chambre. Dans ce cas, on recommande souvent d’opter pour un placard à portes. En effet, si un dressing ouvert peu paraître une bonne idée à première vue, il a tendance à fatiguer nos yeux qui, entre les piles de vêtements, les boîtes à chaussures et les ceintures mal rangées, ne savent plus où donner de la tête. À l’inverse, lorsque nos yeux se posent sur une simple porte de placard, ils se sentent directement plus apaisés.

Et vous, comment avez-vous aménagé votre chambre ?

A propos de l’auteur

Leonor Rogister Diplômée de l’Ecole de Journalisme de Louvain, Léonor Rogister s’est détournée du monde de l’actualité quotidienne pour s’intéresser aux news lifestyle. Amoureuse de la nourriture et des bonheurs simples, elle aime s’informer et informer sur tout ce qui touche au bien-être, peu importe la forme qu’il prend.

Léonor est expatriée depuis 2015 et a fait de plusieurs pays sa maison. Quand elle n’est pas en train de voyager, elle aime profiter du confort de son chez soi. Elle tient également un blog depuis des années sur lequel elle partage sa passion pour les voyages.

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spirale herbe

Spirales d’herbes dans la tendance

By chez soi, Plantes et Jardin

Spirales d’herbes dans la tendance

spirale herbe

Peut-être l’avez-vous déjà aperçue dans le jardin de vos voisins sans vraiment savoir ce qu’elle était : avec sa forme en colimaçon, il faut dire que la spriale d’herbes a de quoi attirer le regard. D’autant plus qu’elle s’élève généralement sur au moins un mètre de hauteur !

Aussi appelée spirale d’aromatiques, ce parterre en relief représente une façon ingénieuse de cultiver vos herbes aromatiques. Vous voulez en savoir plus sur cette nouvelle tendance qui prend nos jardins d’assaut ? Voici ses bienfaits et plusieurs conseils à suivre si vous aussi, vous voulez en avoir une chez vous.




Pourquoi avoir une spirale d’herbes chez soi ?

Bien que la spirale d’herbes représente une jolie façon de décorer notre jardin, son design n’est ni son rôle premier, ni son avantage principal. Au départ, elle a été créée dans un objectif pratique.

En plus de générer une accumulation de chaleur bien plus importante que sur une surface normale, son format permet en effet de créer plusieurs microclimats qui favorisent la culture d’un grand nombre de plantes aux besoins différents, le tout dans un espace restreint.

Le sommet de la spirale profite d’un grand ensoleillement et de très peu d’humidité car l’eau de pluie s’écoule directement vers les niveaux plus bas. Les plantes qui s’y trouvent bénéficient donc d’un climat chaud et sec. En bas de la spirale, la terre, qui a récupéré l’eau des niveaux supérieurs, est très humide. Tout comme le sommet, la queue de la spirale profite aussi d’un bel ensoleillement, offrant ainsi aux plantes un climat chaud mais humide.

Dans les parties intermédiaires, on trouve un climat tempéré. Les plantes y bénéficient d’un ensoleillement partiel grâce à l’ombre apportée par les hauteurs de la spirale. Quant à l’humidité, elle est de plus en plus importante à mesure que l’on s’éloigne du cœur de la spirale, sans jamais tomber dans l’excès par rapport à ce dont les plantes ont besoin.

Mais ce n’est pas tout. En plus d’être idéale pour les plantes, la spirale d’herbes est aussi très pratique pour vous. Non seulement vous pouvez avoir de nombreuses herbes aromatiques à portée de main, mais elle demande aussi peu d’entretien.

Enfin, la spirale d’herbes sert d’abri à la faune de votre jardin. De nombreux insectes profitent des interstices entre les briques ou les rondins de bois qui forment la spirale pour y installer leur nid. Et, comme la nature fait bien les choses, la plupart d’entre eux font beaucoup de bien aux plantes, en participant à leur pollinisation ou en se débarrassant des autres insectes qui les attaquent.

3 conseils à suivre avant d’installer une spirale d’herbes

La construction d’une spirale d’herbes est accessible à tous. Il existe de nombreux guides sur internet qui vous expliqueront comment vous y prendre pas à pas. Pour plus de facilité, vous pouvez trouver des kits de construction de spirale d’herbes dans plusieurs magasins, tels que BENZ24.

Quoiqu’il en soit, avant d’installer votre spirale, quelques points importants sont à noter.

D’abord, vous ne pouvez pas la placer n’importe où. Pour réussir à former les climats recherchés, le centre de la spirale doit être orienté vers le nord. Dans l’idéal, votre spirale doit aussi se trouver dans un endroit qui soit à la fois ensoleillé et à l’abri du vent.

Ensuite, toujours pour recréer au mieux les différents climats, il est préférable de varier les types de sol. Ainsi, vous mettrez du sable et des cailloux au sommet de la spirale et des matériaux plus humides, tels que du compost ou du fumier, dans la partie la plus basse.

Enfin, vous devez évidemment veiller à mettre chaque plante à l’endroit qui bénéficie du climat qu’elle préfère. Au sommet, vous pouvez par exemple mettre de la lavande, du thym, du romarin, de la sauge, de la sarriette ou du fenouil. En bas, vous avez notamment le choix entre du basilic, de la menthe et du persil. Les plantes telles que l’origan et la pimprenelle trouveront, quant à elles, leur place sur la pente.

Alors, ça vous tente ?

A propos de l’auteur

Leonor Rogister Diplômée de l’Ecole de Journalisme de Louvain, Léonor Rogister s’est détournée du monde de l’actualité quotidienne pour s’intéresser aux news lifestyle. Amoureuse de la nourriture et des bonheurs simples, elle aime s’informer et informer sur tout ce qui touche au bien-être, peu importe la forme qu’il prend.

Léonor est expatriée depuis 2015 et a fait de plusieurs pays sa maison. Quand elle n’est pas en train de voyager, elle aime profiter du confort de son chez soi. Elle tient également un blog depuis des années sur lequel elle partage sa passion pour les voyages.

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geobiologie

Géobiologie: principes, bienfaits et origine

By chez soi, index, Maison

Géobiologie: principes, bienfaits et origine

geobiologie

Vous est-il déjà arrivé de vous sentir mal à chaque fois que vous pénétriez dans un lieu précis? Ou de vous sentir fatigués pendant des mois et des années qui ont suivi un déménagement? Selon la géobiologie, cela est lié à des phénomènes invisibles qui polluent certains lieux.

Ces phénomènes proviennent aussi bien de la nature que de nos technologies et de l’histoire du lieu en tant que tel. Si on ne peut pas les voir, on peut toutefois les ressentir. En effet, lorsque l’on reste trop longtemps en leur présence, ils finissent par avoir une influence négative sur notre bien-être et notre santé en général.

L’objectif de la géobiologie, c’est de lutter contre ces phénomènes et de les neutraliser. Grâce à plusieurs procédés et outils de mesure, elle arrive à déterminer la présence de ces phénomènes. Elle propose alors des solutions pour ne pas à avoir à subir leur influence négative sur notre vie, notamment en nous conseillant sur la façon d’agencer nos meubles et d’aménager notre intérieur.

En plus d’étudier ces phénomènes perturbateurs, la géobiologie, que certains surnomment “médecine de l’habitat”, étudie aussi la relation entre l’homme et son lieu de vie, ainsi que l’impact que le deuxième a sur le premier. L’objectif est de retrouver équilibre et harmonie dans le lien qui unit les deux afin d’améliorer la qualité de vie des habitants du lieu. À ce sujet, il est d’ailleurs intéressant de noter que l’homme n’est pas le seul à pouvoir subir des perturbations: les animaux et les plantes n’y échappent pas non plus.




Des phénomènes naturels, artificiels et historiques

Nous l’avons dit, un lieu peut être pollué par de mauvaises ondes de différentes origines.

Il y a, d’abord, les phénomènes d’origine naturelle. Ceux-ci nous influencent en permanence où que nous soyons, bien que leur effet ne soit pas toujours négatif ou perturbateur. Ils se divisent en deux grandes familles: l’énergie tellurique et l’énergie cosmique.

L’énergie tellurique provient du sol. Elle est notamment influencée par la présence de cours d’eau souterrains, ainsi que d’érosion et de failles souterraines. Quant à l’énergie cosmique, elle vient du ciel et de l’espace.

Outre les phénomènes naturels, il y a également des énergies artificielles. Celles-ci proviennent de la technologie et de constructions de l’homme, comme les appareils électroménagers, la connexion WiFi et les lignes à haute tension.

Enfin, l’histoire du lieu émet également sa propre énergie. Si le lieu a été le théâtre d’événements négatifs, tels que des guerres, des maladies ou des périodes de famine, leur souvenir peut encore se trouver dans son sol, ses murs ou les objets qui y étaient présents. Il aura alors tendance à transmettre une onde négative.

Tous ces phénomènes n’ont pas nécessairement une influence négative sur le lieu et les personnes qui l’habitent. Les perturbations proviennent des potentielles interactions entre chacun d’eux.

Comment, alors, savoir si l’on a à faire à un phénomène perturbateur ou pas? Plusieurs signes peuvent vous permettre de détecter sa présence. Vous pouvez le ressentir en vous, par exemple si vous vous sentez mal constamment ou si vous avez à faire à des troubles répétés, tels que des insomnies, uniquement lorsque vous vous trouvez dans un certain lieu. Mais l’impact des ondes négatives peut aussi se voir dans votre environnement. C’est le cas, par exemple, si un arbre pousse de façon tordue.

Les bienfaits de la géobiologie

maux-de-tete

Toutes ces ondes invisibles peuvent avoir différentes influences négatives sur notre bien-être et notre santé si nous restons en leur présence pendant un peu trop longtemps.

Parmi les effets négatifs, on compte notamment des troubles du sommeil, une fatigue prolongée ou aigüe, du stress, de la dépression ou encore une baisse d’attention ou une perte de mémoire. Il est aussi possible de ressentir une perte de tonus musculaire ou des maux de tête. Dans certains cas, les mauvaises ondes peuvent même aller jusqu’à participer à la formation de maladies plus graves, comme des cancers ou des maladies chroniques.

Outre ces troubles physiques et psychologiques, les ondes négatives donnent parfois lieu à de longues périodes de poisse et de malchance.

Le bienfait de la géobiologie est simple: elle aide à neutraliser ces effets indésirables afin que l’on ne ressente plus leur influence. On se sent alors beaucoup mieux, aussi bien physiquement que mentalement.




La géobiologie en pratique

Afin de réaliser son analyse, le géobiologue doit se rendre sur le terrain. Il passera alors en revue l’ensemble du lieu afin d’y détecter tout phénomène perturbateur. Pour cela, de nombreux outils sont à sa disposition, parmi lesquels on retrouve aussi bien des outils à valeur scientifique que des outils plus anciens et traditionnels. On compte notamment un détecteur d’ondes magnétiques et une antenne de Lécher, mais aussi un pendule et une baguette de sourcier. En outre, le géobiologue doit étudier l’histoire du lieu pour déterminer l’existence de potentiels événements historiques perturbateurs.

Sur base de tout cela, il peut alors réaliser un plan du lieu étudié, sur lequel il marquera toutes les perturbations enregistrées. Cela permet de voir directement où se trouvent les zones fortes en perturbations, appelées “zones géopathogènes”.

Le rapport et les conseils finaux du géobiologue dépendent de la raison pour laquelle il a été appelé. En effet, on peut faire appel à la géobiologie dans plusieurs cas de figure, que ça soit avant de déménager ou de construire un logement, ou après y avoir posé ses valises.

Si l’étude est réalisée avant d’emménager, le géobiologue peut aider à prendre une décision calculée avant d’acheter le logement, ou à créer des plans optimaux à l’heure de construire ou rénover une habitation. Dans ce dernier cas, le rapport géobiologique aidera alors à penser à l’emplacement idéal de chaque pièce. Le but est de s’assurer de ne pas mettre certaines pièces de vie, telles que la chambre et le séjour, à des endroits remplis de zones géopathogènes.

Si l’étude est effectuée seulement a posteriori, le géobiologue expliquera alors comment réaménager les pièces et le mobilier pour éviter les effets négatifs. Ici, il est plutôt question d’éviter de mettre les meubles dans lesquels nous passons le plus de temps, comme notre lit, dans des coins renfermant de nombreuses ondes négatives.

Il est important de souligner que la géobiologie n’est pas reconnue scientifiquement. La raison est simple: cette discipline n’utilise pas uniquement des outils scientifiques et se base sur certaines convictions qui ne sont pas mesurables scientifiquement.

Origines de la géobiologie

Jusqu’à il y a plusieurs siècles, il était courant d’étudier les lieux avant d’y édifier un bâtiment pour s’assurer que l’on construise dans un endroit propice. En effet, les anciens avaient déjà réalisé l’impact que certains éléments naturels pouvaient avoir sur leur bien-être et la qualité de leur vie.

Bien que son nom et ses connaissances modernes aient été édifiés il y quelques décennies seulement, la géobiologie prend racine dans des croyances millénaires. Elle était déjà utilisée dans de nombreuses civilisations anciennes autour du monde, des Incas à la Chine en passant par la Grèce.

En Chine et en Orient, par exemple, elle est considérée comme une descendante du Feng Shui, et se serait développée un peu plus de 1000 ans avant J.-C. En Occident, c’est en Antiquité qu’on en retrouve les premières traces, dans des écrits d’Hippocrate datant du 5ème siècle avant J.C.

Dans le monde moderne, la géobiologie est réellement étudiée depuis le début du 20ème siècle. C’est à cette époque que les connaissances scientifiques ont été ajoutées aux connaissances traditionnelles pour donner naissance à la forme actuelle de cette discipline thérapeutique.

A propos de l’auteur

Leonor Rogister Diplômée de l’Ecole de Journalisme de Louvain, Léonor Rogister s’est détournée du monde de l’actualité quotidienne pour s’intéresser aux news lifestyle. Amoureuse de la nourriture et des bonheurs simples, elle aime s’informer et informer sur tout ce qui touche au bien-être, peu importe la forme qu’il prend.

Léonor est expatriée depuis 2015 et a fait de plusieurs pays sa maison. Quand elle n’est pas en train de voyager, elle aime profiter du confort de son chez soi. Elle tient également un blog depuis des années sur lequel elle partage sa passion pour les voyages.

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Micronutrition, de l’aliment au nutriment

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Micronutrition, de l’aliment au nutriment

micronutrition

La micronutrition est une nouvelle approche de la santé qui s’intéresse à la présence dans l’alimentation des micronutriments indispensables au bon fonctionnement de notre organisme : vitamines, minéraux, oligo-éléments, acides gras essentiels, acides aminés essentiels, antioxydants, fibres alimentaires et probiotiques.

La micronutrition est une science complète qui prend en compte à la fois les particularités de la personne (âge, métabolisme, niveau d’activité, mode de vie et état de santé) et les particularités de chaque aliment (qualités nutritives, biodisponibilité des micronutriments, mode d’absorption optimal, associations alimentaires bénéfiques ou néfastes, métabolisme et élimination).

La micronutrition s’enrichit ainsi des savoirs de la nutrition (que manger?) et de la diététique (comment le manger?) voire de la phytothérapie (comment équilibrer l’alimentation grâce aux plantes ?) tout en s’appuyant sur une approche holistique et personnalisée propre aux méthodes de santé naturelles (qui est le mangeur ? Comment adapter au mieux son alimentation à son état?)




La micronutrition est une science en perpétuelle évolution, qui s’appuie sur les avancées de la recherche et sur l’approfondissement des liens connus entre l’alimentation et la santé.

Son approche fondamentalement qualitative lui confère un rôle majeur à jouer de nos jours, en des temps où l’alimentation est déséquilibrée par une augmentation du contenu calorique des aliments, au détriment de leur richesse en micronutriments : nous parlons des fameuses “calories vides”.

Les bases de la micronutrition

nutrition

Un aliment, qu’il soit d’origine végétale ou animale, contient :

  • des macro-nutriments :  éléments énergétiques et constitutifs de l’organisme ; ce sont les lipides, les glucides et les protéines.
  • des micro-nutriments : éléments constitutifs et régulateurs du métabolisme ; ce sont les vitamines, les minéraux, les oligo-éléments, les acides gras essentiels, les antioxydants, les acides aminés essentiels, les fibres alimentaires et les probiotiques.

Chacun de ces éléments a un effet sur l’organisme. Cet effet va dépendre de l’aliment qui apporte cet élément, du mode d’absorption et des associations alimentaires réalisées, du métabolisme du mangeur et de la présence ou de l’absence des autres éléments dans l’organisme.

Par exemple, le Calcium n’est pas métabolisé de la même manière par un nourrisson, un homme adulte ou une femme âgée ; il n’est pas absorbé pareillement selon qu’il est d’origine végétale (légumes à feuilles vertes) ou animale (lait de vache, par exemple). Le taux de calcium circulant dans le sang ou fixé dans les os dépend de la présence et de la quantité d’une multiplicité d’autres facteurs : hormones, enzymes et protéines spécifiques, micro-organismes, autres minéraux essentiels…

  • La connaissance des micronutriments et de leurs spécificités permet d’estimer la valeur nutritionnelle d’une ration alimentaire.
  • La connaissance de l’état de santé et du mode de vie du mangeur permet d’estimer les apports en micronutriments nécessaires à l’entretien ou à l’amélioration de sa santé.

Dans l’idéal, les micronutriments sont apportés par une alimentation diversifiée et adaptée, cependant dans certains cas il est nécessaire de recourir à une supplémentation destinée à apporter un complexe d’éléments particuliers en plus grande quantité. Il peut s’agir d’une cure alimentaire ou phytothérapeutique, d’un régime particulier ou de la prise de compléments alimentaires.

Dans le cadre d’une supplémentation, il est important de bien s’informer sur la qualité de l’aliment ou du complément consommé, sur sa teneur en micronutriments, sur les conditions de biodisponibilité optimale de ces micronutriments, et sur les capacités de métabolisme et surtout d’élimination de l’organisme.

Tout déséquilibre – carence comme excès ou accumulation – est préjudiciable et peut être la source de troubles secondaires.

Les rôles des micronutriments

Les micronutriments sont généralement regroupés en 4 grandes classes :

  1. Les vitamines

Les vitamines sont des éléments indispensables au métabolisme, mais à des quantités faibles et précises. Certaines sont synthétisées par notre organisme, d’autres par des bactéries naturellement présentes dans notre intestin, mais la plupart doivent être apportées par l’alimentation. On distingue des vitamines hydrosolubles (vitamines C et du groupe B, solubles dans l’eau) et des vitamines liposolubles (vitamines A, D, E, K, solubles dans l’huile et dans les graisses), ce qui est important pour comprendre dans quels aliments on va les trouver et dans quels compartiments de l’organisme elles peuvent être utilisées ou stockées.

Les vitamines sont impliquées entre autres dans le fonctionnement du système immunitaire et nerveux, l’élimination des toxines, mais également dans le métabolisme du fer, des acides aminés et des acides gras.

  1. Les minéraux et les oligoéléments

Les minéraux sont utiles à la constitution, à l’entretien et au fonctionnement de tous les éléments du corps humain. Les minéraux nécessaires en quantités sont : le Calcium, le Magnésium, le Potassium, le Phosphore, le Soufre, le Sodium et le Chlore.

Les oligoéléments, ou éléments-traces, sont eux aussi nécessaires pour la santé mais en quantités infimes : citons le Fer, le Zinc, le Cuivre, le Fluor, l’Iode, le Chrome, le Cobalt, le Sélénium, le Bore, le Manganèse, le Silicium…

Les minéraux et oligoéléments ne sont pas synthétisés par l’humain. Dans l’alimentation, ils peuvent se présenter sous forme anorganique (carbonate, oxydes, phosphates, sulfates) ou organique, i.e. liés à des molécules naturelles qui favorisent leur assimilation (pidolates, glycinates, malates, citrates).




  1. Les acides gras essentiels

Les acides gras sont les constituants principaux des membranes de nos cellules. Ils sont utiles également au développement et à la santé du système immunitaire, circulatoire et nerveux.
On distingue les acides gras essentiels, dont le rôle est majeur dans le métabolisme, et qui peuvent être synthétisés, et les acides gras indispensables, que l’organisme ne peut synthétiser et qui doivent donc être apportés par l’alimentation.

Ils sont à l’origine des fameux acides gras des familles oméga-3 et oméga-6. Leur ratio dans le corps humain ainsi que leur métabolisme sont fondamentaux pour l’équilibre de la santé.

  1. Les acides aminés essentiels

Composés de base des peptides et des protéines, les acides aminés constituent l’essentiel de la masse du corps humain après l’eau. Un certain nombre d’acides aminés sont dit essentiels car leur synthèse est impossible ou très lente chez l’être humain, et ils doivent par conséquent être apportés par l’alimentation. On les trouve sous forme directement utilisable ou sous forme de précurseurs dans les produits végétaux aussi bien qu’animaux.

(5.) Les autres micronutriments

Les fibres alimentaires ont un rôle bien connu dans le transit intestinal et sont à ce titre nécessaires à la santé – qui passe par une bonne élimination des déchets et surplus ! Elles sont aussi impliquées dans la régulation de la sensation de faim, de la glycémie et du taux de cholestérol, et favorisent l’activité bactérienne dans le côlon. Elles proviennent exclusivement de  l’alimentation végétale.

Les probiotiques sont des micro-organismes (bactéries et levures) semblables à ceux constituant le microbiote intestinal, que l’on peut absorber sous forme vivante par le biais des aliments fermentés. Pour favoriser leur présence dans le système digestif, il est nécessaire d’absorber également des prébiotiques (nutriments nécessaires aux probiotiques).

Les antioxydants sont des molécules qui protègent certains composants de nos cellules de l’oxydation (qui en ferait des composés toxiques). Parmi eux, des tanins, des pigments, des vitamines et des composés phénoliques, tous naturellement apportés par la consommation de végétaux.

La micronutrition en pratique

Un micronutritionniste prêtera une attention particulière à l’état des systèmes digestif, immunitaire, endocrinien et nerveux. Un déséquilibre du fonctionnement d’un de ces systèmes retentit sur tous les autres, et chaque système dépend de la présence bio-disponible de micronutriments particuliers.

A chaque âge de la vie, et selon l’histoire et le mode de vie de la personne, l’alimentation doit être adaptée afin de fournir les nutriments nécessaires. Les maladies et les particularités du métabolisme de chacun justifient une alimentation personnalisée, et parfois des apports supplémentaires.

Un temps d’adaptation est nécessaire pour tout changement de régime ou d’habitudes alimentaires, et il faut plusieurs années pour “se connaître”, et estimer ses besoins personnels, qui ne dépendent pas de règles ni de standards.

Toute supplémentation, si elle est nécessaire, doit être entreprise avec prudence. Elle devrait dans l’idéal être précédée d’un examen attentif de l’état du métabolisme et des émonctoires (peau, foie, système rénal et urinaire) afin de vérifier si l’organisme est capable d’assimiler les nutriments apportés, et de les éliminer si la dose nécessaire est dépassée, ou si leur utilisation n’est pas possible.

Les cures, très limitées dans le temps, devraient être accompagnées d’un temps de repos ou d’activité aménagée.

Enfin, l’utilisation des végétaux pour une supplémentation (phyto-micronutrition) requiert les mêmes précautions que pour tout soin, et une bonne connaissance des plantes et de leurs modes de préparation (voir l’article Phytothérapie).

Note : l’aspect juridique du conseil et de la vente de compléments alimentaires industriels n’est pas ici développé, merci de vous référer à la législation européenne et nationale en vigueur sur le sujet.

Sources:

Comprendre la nutrition

https://www.nutriting.com/comprendre-la-nutrition/la-nutrition-en-7-lecons/vitamines-et-mineraux

Assimiler les minéraux en compléments

https://www.alternativesante.fr/mineraux/difficile-d-assimiler-les-mineraux-en-complement

A propos de l’auteur: Emma DUBOS

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Thérapie de couple: pourquoi, quand et comment

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Thérapie de couple: pourquoi, quand et comment

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La thérapie de couple est une pratique tellement connue qu’on pourrait se demander si elle a encore besoin d’une introduction. Suivie en couple, cette thérapie a pour but de débloquer une situation qui, dans la majorité des cas, nous fait souffrir.

Cependant, devant une définition aussi large, il est facile de se tromper sur ce qu’elle renferme exactement. Afin de clarifier les choses, il est important de commencer par s’intéresser à ce qu’elle n’est pas. Ainsi, la thérapie de couple doit être distinguée de deux autres pratiques qui, bien que similaires, sont différentes: la thérapie individuelle et le conseil conjugal.

La thérapie individuelle se centre sur un individu, et non sur son couple. On doit donc y faire appel lorsque la raison de notre mal-être est indépendante de la relation que l’on entretient avec notre partenaire. De plus, pour fonctionner, la thérapie de couple doit obligatoirement impliquer les deux personnes du couple. Si l’une d’elles reste en retrait lors des séances, celles-ci auront peu d’effet.

De son côté, le conseil conjugal s’intéresse au couple, tout comme la thérapie de couple, mais pas de la même façon. En effet, il agit plutôt comme une séance de coaching en donnant aux patients des outils qui leur permettront de mieux gérer leur vie à deux. La thérapie de couple, quant à elle, s’intéresse aux problèmes qui se cachent dans la relation. Son approche va donc plus en profondeur afin de prendre le problème à sa source.




Les bienfaits de la thérapie de couple: pourquoi y faire appel?

L’objectif principal de la thérapie de couple est souvent de rétablir une communication qui a été cassée au fil des années ou suite à un événement spécifique. Ce manque de communication peut être mortel pour le couple. En effet, c’est souvent lui qui est à la base de nombreux conflits et problèmes, tels que des incompréhensions, des désaccords sur certains aspects de la vie à deux ou sur l’éducation des enfants, ou encore une distance qui finit par se creuser dans le couple.

Le thérapeute aidera donc à réengager le dialogue entre les deux partenaires et à retrouver la voie vers une communication saine. L’objectif n’est pas de savoir qui a tort et qui a raison, de changer l’autre entièrement ou de régler ses comptes. Au contraire, il est question de réapprendre à écouter l’autre et à le comprendre. Ce cheminement permettra également de comprendre les problèmes internes du couple.

Cependant, cela ne veut pas dire qu’une thérapie de couple réussie aidera dans tous les cas à éviter la séparation. En effet, son objectif n’est pas de sauver la relation à tout prix. Dans certains cas, la thérapie de couple permet aux partenaires de se rendre compte qu’ils ne sont plus faits l’un pour l’autre. La thérapie aide alors éviter déchirements et rancœur et, ainsi, à rendre la séparation plus sereine. Certains couples décident d’ailleurs de faire appel à la thérapie de couple non pas pour sauver leur couple, mais pour sauver leur séparation.

Alors, quand faut-il consulter? Tous les couples passent par des disputes et des crises passagères. Mais lorsque le problème est plus profond, que l’on se sent mal et que l’on rejette la cause de notre souffrance sur notre partenaire, il est conseillé de se tourner vers la thérapie de couple.

Cependant, il est préférable d’y faire appel dès les premiers signes de crise dans la communication au sein du couple, et non pas d’attendre que le couple commence à se déchirer. En effet, si l’objectif recherché par les partenaires est la survie de leur couple, attendre que le conflit s’envenime avant de commencer à suivre une thérapie rendra le processus très difficile, et l’issue sera parfois opposée à celle qui était désirée.

Il est aussi possible de consulter lorsque les problèmes ne sont encore qu’à l’état de risques et ne se sont donc pas encore matérialisés. C’est le cas, par exemple, dans des couples multiculturels qui se sont récemment mis ensemble et qui voient déjà de potentiels conflits, ou avant l’arrivée d’un enfant qui pourrait entraîner de sérieux désaccords au niveau de son éducation.

En pratique

La thérapie de couple prend la forme de séances d’une durée d’1h à 1h30 lors desquelles un thérapeute accueille les deux partenaires. La première séance s’attache à déterminer la raison pour laquelle le couple fait appel à la thérapie. Tout au long de celle-ci, et de toutes les autres, le thérapeute ne prend pas parti, ne juge pas et ne prend pas le rôle d’arbitre dans les discussions. Il agit simplement comme un accompagnateur: il montre le chemin pour rétablir la communication et régler les problèmes du couple.

Ce sont à peu près les seuls points communs qui existent entre toutes les thérapies de couple. En effet, celles-ci varient beaucoup selon le couple et le thérapeute lui-même.

Ainsi, plusieurs approches peuvent être utilisées lors des séances. Celles-ci sont choisies sur base de l’expérience et des préférences du thérapeute, mais également par rapport aux besoins du couple. Le thérapeute peut par exemple se concentrer sur les souffrances passées, qui ont une influence souvent inconsciente sur les conflits actuels, ou porter son attention sur le comportement de chacun des partenaires.

Dans de nombreux cas, le thérapeute demande au couple de réaliser certains exercices lors des séances, comme des jeux de rôle. En outre, il leur donne généralement des tâches à faire entre deux séances, telles que sortir en tête à tête, écrire une lettre à l’autre ou répéter les paroles prononcées par le partenaire lors d’une dispute. Les séances sont souvent espacées de plusieurs semaines pour donner au couple le temps de travailler sur ces différentes tâches et mettre en pratique ce qui a été discuté avec le thérapeute.

Quant au nombre de séances, il varie fort d’un cas à l’autre. Si certains couples n’en auront besoin que de 2 ou 3, d’autres pourront continuer la thérapie pendant bien plus longtemps. Toutefois, la thérapie de couple n’est pas faite pour durer sur de nombreuses années. On compte généralement une vingtaine de séances maximum.

A propos de l’auteur

Leonor Rogister Diplômée de l’Ecole de Journalisme de Louvain, Léonor Rogister s’est détournée du monde de l’actualité quotidienne pour s’intéresser aux news lifestyle. Amoureuse de la nourriture et des bonheurs simples, elle aime s’informer et informer sur tout ce qui touche au bien-être, peu importe la forme qu’il prend.

Léonor est expatriée depuis 2015 et a fait de plusieurs pays sa maison. Quand elle n’est pas en train de voyager, elle aime profiter du confort de son chez soi. Elle tient également un blog depuis des années sur lequel elle partage sa passion pour les voyages.

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Constellations familiales et systémiques

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Constellations familiales et systémiques

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Définition:

Les constellations familiales sont une approche thérapeutique systémique qui s’intéresse à l’ensemble de la famille avec ses diverses interactions ainsi qu’à ses dimensions et dynamiques transgénérationnelles et ce sur plusieurs générations.

Chacun de nous appartient à un système familial composé des lignées paternelles et maternelles. Dans cette grande histoire familiale, il y a eu des drames, des non-dits, des secrets, des personnes qui n’ont pas eu leur place ou ont été exclues.

Nous pouvons inconsciemment répétés, par loyauté invisible et intrication, les destins difficiles et douloureux d’autres avant nous, même si nous ne les avons pas connus. Ces répétitions ont pour fonction de rappeler tous ceux qui n’ont plus leur place dans le système familial afin de pouvoir les réintégrer à nouveau.
Il se peut que dans notre vie nous vivions des impasses, des maladies, des accidents, des échecs récurrents, ou la sensation de ne pas vivre notre vie, de ne pas être à notre place.

Grands principes:

constellation familiales

Cette thérapie systémique se pratique en groupe ou en individuel et s’appuie sur trois principes fondamentaux :

– l’appartenance : à partir du moment où un être a été conçu, il prend sa place au sein de sa famille d’origine, rien ne peut lui ôter cette appartenance, pas même la mort.

Le système familial n’admet aucune exclusion, même apparemment légitime.

La loyauté envers un des membres est d’autant plus grande qu’il ne reçoit pas la place qui lui revient, qui lui est due.
Un descendant peut alors être « intriqué » avec ce destin et le reproduire. Ainsi tout traumatisme, blessure, dette se répercute sur l’ensemble du système à travers les générations.

– l’ordre : l’ordre du système, de la famille respecte l’ordre chronologique, ainsi les parents viennent avant les enfants. Cet ordre détermine aussi la place. Les parents sont avant les enfants, les aînés avant les cadets etc

Par exemple, lorsque je juge mes parents, les protège ou les soutiens, je ne suis pas à ma place d’enfant. Il se peut même que je me mette dans un rôle de sauveur et sois prêt à mourir pour sauver mes parents. Il me faudra grandir et prendre ma « juste place » et laisser aux autres la leur.




– l’équilibre entre donner et recevoir : les relations humains s’équilibrent sur la base de donner et recevoir. Si je n’ai pas appris à recevoir, déjà la vie qui m’a été donnée, alors je continuerai à créer des conditions pour ne jamais trouver le bon partenaire, le bon travail etc
Si je ne suis pas en paix avec la place qui est la mienne, alors je risque de rencontrer l’insatisfaction et l’échec sans comprendre pourquoi ces scénarios se répètent.

Ces grands principes sont à l’œuvre dans tout système et la pratique des constellations initialement circonscrite au système familial s’est maintenant développée pour le traitement des blessures systémiques dans de nombreuses situations (constellations d’entreprises, constellations de valeurs, constellations symboliques, etc.)

En pratique:

famille

Lors d’un atelier, après que la personne ait évoqué le problème qu’elle souhaite résoudre, il lui est demandé de choisir parmi les participants présents, des membres de son système qu’ils représenteront et de les placer, de les poser dans l’espace. Ensuite, chacun peut voir, entendre, ressentir, ce que vont manifester les représentants lorsqu’ils seront interrogés sur ce qui se passe pour eux.

Les représentants, par leur position, leur ressenti, vont révéler les secrets, manquements, intrications possibles au sein du système familial en désordre. Le langage des constellations est phénoménologique, c’est-à-dire que la priorité n’est pas donné au langage verbal mais à celui des phénomènes qui ont lieu là à l’instant présent sous nos yeux. Il ne s’agit pas d’un jeu de rôle où on répète ce que l’on connaît déjà et incrimine les uns ou les autres ou d’un psychodrame où rejouer encore et encore les mêmes souffrances émotionnelles.

Même si ces approches ont leur sens, les constellations sont tout autre chose et cherchent à ramener du mouvement au sein des blocages. Il s’agit donc d’être attentif à ce qui se passe, plutôt que d’interpréter ou analyser et influer à travers des grilles de lecture pré-établies. C’est toute la subtilité des constellations que d’être à l’écoute de mouvements subtils qui amèneront si on les laisse se dérouler, une meilleure harmonie à un moment. La personne pourra alors prendre sa place dans cette nouvelle représentation qu’elle intégrera.

Bienfaits:

Toute personne désireuse de changer peut participer à une constellation. Celle-ci peut être complémentaire à d’autres approches. Vous pouvez avoir des connaissances approfondies sur votre généalogie, voire en psycho-généalogie mais ce n’est pas obligatoire ni nécessaire pour faire une constellation.

Les effets d’une constellations s‘inscrivent dans le temps. Les bienfaits d’un tel travail sont déjà de ramener du mouvement là où il y a avait blocage, de permettre de nouvelles connexions possibles, de faire des choix plus en lien avec soi.

Cela peut aider à retrouver confiance en soi, redonner du sens à sa vie. Il est possible aussi de mieux comprendre le sens des maladies, ou des situations difficiles qui nous arrivent. Cela peut permettre de se réconcilier avec soi et sa famille, de sortir des problèmes avec l’argent, la réussite, la relation amoureuse.
Les bienfaits des constellations touchent de nombreux domaines car leur application permet de  couvrir et traiter un vaste champ de problématiques.

Histoire:

Les constellations familiales ont été connues, dans les années 90, grâce au travail de Bert Hellinger, philosophe, théologien et psychanalyste allemand, qui a côtoyé les Zoulous en Afrique du Sud pendant seize ans. Lui-même a rencontré  cette approche près d’une femme, Thea Schönfelder, lors de rencontres psychothérapeutiques, à Lindau en Allemagne. Ayant été représentant, ce travail l’a fortement interpellé et lui a donné envie de continuer à approfondir ses intuitions.

Bert Hellinger a lui-même été influencé par par le travail sur les scénarios de vie d’Eric Berne, le fondateur de l’analyse transactionnelle. Depuis, de nombreuses personnes se sont intéressées à ce travail des constellations et ont contribué à enrichir son approche.

Bert Hellinger lui-même dans son travail d’approfondissement,  intègre une vision toujours plus élargie de la conscience, appellé « mouvement de l’âme » ou« souffle de l’esprit ».  dans cette direction tout aussi thérapeutique que spirituelle.




Références:

– Anne Ancelin Schützenberger – Aïe mes aïeux – plusieurs éditions
– Patrice Van Ersel/C.Maillard – J’ai mal à mes ancêtres, la psychogénéalogie aujourd’hui, Ed.Albin Michel
– Elisabeth Horovitz – Se libérer du destin familial – Ed. Dervy
– Alexandro Jodorowsky/Marianne Costa – Métagénéalogie – Ed.Albin Michel
– Emmanuel Ratouis – Cent histoires pour mieux comprendre l’inconscient familial qui nous gouverne – Ed. Les méandres
Bert Hellinger sur wikipedia son site

A propos de l’auteur: Hélène Wangmo

Fondatrice de l’académie des Cinq Racines – animatrice sessions de constellations familiales & systémiques

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Helene Wangmo

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punaises de lit

Comment se débarrasser des punaises de lit?

By chez soi, Maison

Comment se débarrasser des punaises de lit?

punaises de lit

Les punaises de lit peuvent vite se transformer en votre pire cauchemar. Non seulement elles sont petites et ont peu de mal à se cacher, mais elles peuvent aussi se reproduire à une rapidité déconcertante. Sans parler de toutes les piqures qu’elles laissent sur notre corps pendant la nuit!

Comment faire pour s’en débarrasser? Commencez le plus rapidement possible, retroussez vos manches et suivez nos conseils.




1) Lavez votre linge

Si vous êtes infestés, la première choses à faire est de laver vos draps en profondeur pour éliminer toutes les punaises qui s’y trouvent. Pour les tissus qui le supportent, choisissez un lavage à 60° ou 90° sur cycle prolongé. Passez-les ensuite au sèche-linge et, pour vous assurer de détruire jusqu’au dernier œuf, repassez avec un fer très chaud. N’hésitez pas à passer votre fer de nombreuses fois sur le tissu et à bien forcer sur les replis.

Si certains de vos tissus ne peuvent être lavés à une telle température, vous pouvez opter pour l’autre extrême: placez-les au réfrigérateur pendant au moins 3 jours.

2) Aspirez

Il est important d’aspirer dans les moindres recoins de votre chambre et des pièces de votre maison qui sont infectées. Commencez par aspirer votre matelas et votre sommier, puis passez sur le sol, les plinthes, les meubles et toutes les surfaces de la pièce. Pour être sûrs de ne rien laisser au hasard, vous devez agir minutieusement et n’oublier aucun endroit.

Si vous avez de l’insecticide en poudre, finissez par en aspirer un peu pour tuer les punaises qui auraient pu finir vivantes dans le sac de votre aspirateur. Fermez ensuite le sac hermétiquement et jetez-le directement dans une poubelle à l’extérieur.

Faites cela avant de vous attaquer aux punaises et répétez l’opération après avoir effectué le traitement.

3) Saupoudrez de la terre de Diatomée sur le sol

100% naturelle, la terre de Diatomée est constituée de petites particules qui n’ont aucun scrupule auprès des punaises: elles se posent sur elles et les tuent par déshydratation, souvent en l’espace de quelques jours.

Mettez-en près des plinthes et autour de votre lit. Notez que la terre de Diatomée peut être utilisée contre de nombreux autres insectes mais elle doit être tenue à l’écart des animaux de compagnie, qui pourraient s’intoxifier à son contact.

4) Faites un nettoyage à la vapeur

Pour cela, il vous faudra un nettoyeur-vapeur, que vous utiliserez de préférence à une température de 180°. Si le lavage à 90° permet déjà de tuer les punaises et leurs larves, imaginez l’efficacité d’un nettoyage à 180°. C’est simple: il les tue instantanément! Il est d’autant plus efficace sur les œufs, qui sont généralement plus résistants que les punaises.

Pour cela, équipez-vous de lunettes de protection et utilisez le nettoyeur-vapeur sur votre matelas et vos draps, en faisant bien attention à ne manquer aucun pli, ourlet et recoin.

5) Faites appel à un spécialiste

Le traitement des punaises de lit est un processus long et minutieux. Si vous n’arrivez pas à en venir à bout vous-mêmes ou si  vous préférez laisser la lourde tâche à quelqu’un d’autre, vous pouvez vous tourner vers des professionnels. Ceux-ci ont généralement recours à des produits chimiques mais c’est parfois la seule option qu’il vous restera.

Dans tous les cas, ne baissez pas les bras. Se débarrasser des punaises de lit peut être un processus long et douloureux mais, même si la lutte pourrait vous paraître interminable, elle n’est pas impossible. Si vous êtes méticuleux vous finirez par arriver à bout des punaises, et à retrouver un sommeil sain et sans stress!

A propos de l’auteur

Leonor Rogister Diplômée de l’Ecole de Journalisme de Louvain, Léonor Rogister s’est détournée du monde de l’actualité quotidienne pour s’intéresser aux news lifestyle. Amoureuse de la nourriture et des bonheurs simples, elle aime s’informer et informer sur tout ce qui touche au bien-être, peu importe la forme qu’il prend.

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compas feng shui

Feng Shui: Définition, Principes, En Pratique, Bienfaits

By chez soi, index

Feng Shui: Définition, Principes, En Pratique, Bienfaits

compas feng shui

Définition du Feng Shui

Le terme Feng Shui est souvent traduit par Vent et Eau. Mais ces 2 notions sont tirées d’une citation beaucoup plus complète datant du 3ème ou 4ème siècle après Jésus-Christ (entre 276 et 324) : “Le vent disperse le Qi, l’eau le retient”. L’objet de l’étude d’un lieu n’est donc pas le vent ou l’eau, mais le Qi ! C’est la circulation du Qi, de l’énergie ou des énergies à laquelle va s’intéresser le Feng Shui, sachant que le Qi est véhiculé aussi bien par tout ce qui bouge que par tout ce qui ne bouge pas.

Le Feng Shui yang s’intéresse à l’impact des lieux sur le vivant et pose ainsi la question de l’interaction entre un ou plusieurs individus et le lieu qu’ils habitent.

Plus que millénaire, le Feng Shui est dit “classique” car il s’inscrit dans l’ensemble des 8 disciplines classiques enseignées aux érudits et aux lettrés à la cour des empereurs chinois :

  • la Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC)
  • les arts martiaux (Qi gong, Tai Qi)
  • la pharmacopée chinoise (herboristerie)
  • les astrologies solaire et lunaire
  • le Feng Shui (thème astrologique du lieu)
  • l’acupuncture
  • le massage Tuina 
  • la calligraphie



Histoire et Références

Discipline chinoise plurimillénaire, le feng shui classique est issu du taoïsme, mélange de philosophie et de croyances, fondé par Lao Tseu au 6ème siècle savant Jésus-Christ. Les disciplines taoïstes dans la cosmogonie chinoise reposent sur l’harmonie du Yin et du Yang et sur la théorie des 5 éléments.

Elles visent à approcher un niveau d’équilibre le plus important possible – il s’agit de vivre en harmonie avec les lieux comme la clé d’un meilleur bien être

Ayant à l’origine pour objectif d’assurer une longue vie à l’empereur, synonyme de stabilité politique, le Feng Shui s’occupe de la circulation des flux énergétiques de nos espaces de vie. En effet, réguler les énergies dans un lieu permet de vivre longtemps à un moindre coût énergétique. Le feng shui du temps et de l’espace était pratiqué uniquement par les érudits et lettrés au service de l’empereur et les connaissances transmises de maître à disciple durant de longues années d’étude et de pratique.

Interdit par le régime communiste au moment de la révolution chinoise de 1949, les maîtres Feng Shui s’exilent pour pouvoir continuer de pratiquer. Ils se rendent au Japon, au Tibet et en Inde où le Feng Shui prend alors des formes différentes. Certains iront même jusqu’aux Etats Unis, où on retrouve le terme sur la côte ouest des Etats-Unis dans les années 1970. Discipline complexe et difficile à expliquer, sa résonnance “exotique” est récupérée par le mouvement “New Age” qui s’en approprie alors la seule partie visible. L’aspect décoratif permet de proposer une approche nouvelle mais qui, de ce fait, appauvrit la discipline.

Cette vision du Feng Shui a transité jusqu’en Europe et est encore malheureusement largement diffusée aujourd’hui, souvent par facilité commerciale.

Toutefois, le Feng Shui classique chinois permet la transmission des fondements du Feng Shui et l’usage d’une approche authentique de la discipline, c’est à dire la capacité d’évaluer le niveau de synergie entre un lieu et une personne afin de préserver l’énergie de l’individu.

Grands Principes

La pensée chinoise ancestrale pose le postulat qu’aucun lieu n’est neutre, qu’il possède sa propre énergie et qu’il a un impact sur la vie des personnes qui l’occupent. Chaque lieu étant également en interaction permanente avec l’environnement, une analyse Feng Shui inclura toujours l’étude des paysages .

Le Feng Shui va permettre la lecture énergétique d’un lieu afin d’évaluer la quantité et la qualité de Qi et ainsi identifier son potentiel.

Déterminer l’orientation de la construction permet de calculer la carte énergétique du lieu. 24 orientations combinées avec 9 périodes permettent de calculer 216 cartes énergétiques.

Le feng shui classique permet l’aménagement d’un espace selon sa carte énergétique avec pour objet de mettre en adéquation, par le positionnement, la carte énergétique du lieu et les projets de vie des habitants.

En Pratique

Une analyse Feng Shui se fait toujours sur une demande précise du client. En effet, le respect des personnes et des lieux impose de n’intervenir que sur les aspects pointés par les habitants.

Différentes étapes indispensables devront faire partie du déroulement d’une étude complète :

  • Analyse sur site de l’environnement extérieur et intérieur
  • Relevé des directions et orientations
  • Calcul et analyse de la carte énergétique
  • Propositions d’aménagements pour harmoniser et équilibrer les énergies présentes dans le lieu
  • Remise du rapport d’analyse

Bienfaits du Feng Shui

bambou

Particuliers ou professionnels peuvent faire appel à un professionnel du Feng Shui sur des sujets divers :

  • un sentiment d’inconfort chez soi
  • des blocages
  • des difficultés relationnelles dans la famille
  • des changements personnels ou professionnels
  • un projet immobilier (réaménagement, déménagement, vente, …)
  • un enfant qui dort mal ou qui a du mal à étudier
  • des problèmes de santé
  • lors d’une nouvelle installation pour décrocher les premiers clients
  • si le volume de la clientèle est insuffisant
  • si le chiffre d’affaires stagne
  • si les équipes manquent de cohésion
  • lorsque le cadre pour les consultations manque de personnalité



Ce que le Feng Shui pourra apporter :

  • augmenter le bien être au quotidien
  • retrouver de la sérénité en famille
  • accompagner les périodes de changement
  • optimiser leur rénovation, une vente ou un achat immobilier
  • améliorer la santé
  • une meilleure qualité de vie
  • être soutenu dans les démarches commerciales et décrocher les premiers clients
  • développer et fidéliser une clientèle
  • augmenter et asseoir le chiffre d’affaires
  • améliorer la cohésion des équipes
  • offrir aux clients un cadre de consultation harmonieux et à l’image du praticien
  • enrichir une démarche globale de Qualité de Vie au Travail

Mais il ne faut pas négliger les effets induits qui n’apparaissent pas directement et qui pourtant sont les véritables bénéfices du Feng Shui :

  • Remarquer que les lieux sont le reflet de qui ont est
  • Porter un autre regard sur ses comportements
  • Prendre conscience que l’environnement extérieur et intérieur sont agissants
  • Réaliser que les lieux ne sont pas neutres (ils ont leur propre énergie)
  • Prendre conscience qu’il faut être prêt au changement
  • bref, réaliser qu’au fond il s’agit d’une grande remise en question personnelle

A propos de l’auteur: Miryam Berbaum

“J’ai entendu parler pour la première fois du Feng Shui en 2003, lors d’une soirée d’information à laquelle une amie m’avait conviée. A la fois intriguée et intéressée alors que je venais d’acheter ma maison, j’ai beaucoup lu en essayant de démêler la multitude d’informations, parfois contradictoires, que j’ai pu trouver sur le sujet.

N’obtenant pas les réponses à mes questions, j’ai décidé de me former et, après plusieurs stages en Feng Shui et Feng Shui staging, ma rencontre avec Marie-Pierre Dillenseger, expert en analyse des facteurs spatio temporels dans leurs effets inhibiteurs ou accélérateurs, a été l’aboutissement d’un long chemin pour identifier l’essence de cette discipline ancestrale. Son approche du Feng Shui classique chinois, dans la lignée de Joseph Yu, m’a permis d’approfondir l’analyse et la compréhension des énergies qui nous entourent et avec lesquelles nous devons composer harmonieusement.”

En savoir plus

myriam berbaum

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