Fatigue, douleurs, manque de tonus… Les maux et problèmes de santé qui apparaissent au lendemain des fêtes sont souvent très nombreux. Ils sont néanmoins très faciles à combattre, et ce, avec plusieurs méthodes de soin et des techniques de relaxation. Retrouvez dans cet article les astuces à employer pour rebooster efficacement son énergie après la fête de Noël.
Avoir une bonne hygiène de vie
Pour rebooster son énergie après la fête de Noël, il est souvent conseillé d’adopter une bonne hygiène de vie. Pour cela, il suffit de consommer des repas sains et équilibrés et d’avoir un sommeil de qualité.
Pour ce qui est des repas sains et équilibrés, vous devez limiter la consommation des aliments trop riches et consommer plus de fruits et de légumes. Ainsi, vous allez aider votre organisme à récupérer beaucoup plus facilement et à mieux combattre certains maux ou à garder la forme.
D’autre part, pour bénéficier d’un sommeil de qualité, essayez d’avoir des moments de relaxation et de détente avant de vous endormir. De plus, vous devez rester loin de vos écrans de télévision et de vos smartphones, car la lumière de ces appareils ne permet pas souvent de vite s’endormir.
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Consommez beaucoup de vitamines
Afin de combattre la fatigue et de retrouver rapidement la forme, vous pourrez aussi consommer beaucoup de vitamines juste après les fêtes. Cette prise de vitamines peut s’étendre sur une vingtaine de jours, voire un peu plus.
En outre, pour booster suffisamment votre énergie, il suffit de consommer des vitamines C et des produits contenant du ginseng, du magnésium et du fer. De même, les aliments riches en vitamines B et en minéraux doivent aussi être suffisamment consommés pour avoir du tonus et de la vitalité.
Cependant, notez qu’il est essentiel d’éviter la surconsommation de vitamines pour ne pas engendrer d’autres problèmes de santé. De plus, il est conseillé de consulter un professionnel de la santé avant de consommer des vitamines, car ces experts peuvent vous éviter de consommer des produits non adaptés à vos besoins.
Faire des exercices physiques et de la méditation
En plus de permettre au corps de retrouver son énergie, ces activités améliorent aussi la santé mentale et apportent beaucoup plus de sérénité. En effet, elles permettent de calmer le système nerveux, ce qui diminue l’anxiété, le stress et d’autres pathologies.
D’un autre côté, il est aussi important de s’accorder du temps de repos après les fêtes pour souffler, mais également pour être moins fatigué et se recentrer sur d’autres choses. De plus, n’hésitez pas à prendre des rendez-vous pour vous faire masser par des professionnels afin de vous ressourcer beaucoup plus rapidement. Qui plus est, les balades en forêt et au bord de la mer permettent aussi de mieux se sentir au lendemain des fêtes et sont beaucoup plus conviviales lorsqu’elles s’effectuent en groupe ou entre amis.
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L’endométriose est une maladie chronique restée longtemps méconnue du grand public. Pourtant, on estime que cette affection toucherait plus de 10 % des femmes. Bien qu’elle soit très douloureuse et handicapante au quotidien, il n’existe pas de traitement à ce jour pour guérir l’endométriose. En revanche, il y a diverses manières de soulager la douleur, dont ferait partie le CBD. Mythe ou réalité ? Juste Bien vous dit tout !
Qu’est-ce que le CBD ?
Le CBD (acronyme de cannabidiol) est un composé chimique qui appartient à la famille des cannabinoïdes. Autrement dit, il s’agit d’une molécule extraite de la plante que l’on appelle communément le cannabis. Contrairement au THC (la molécule que l’on retrouve dans les drogues), le CBD n’est pas un psychotrope ni un addictif. Il s’agit d’une substance utilisée depuis des millénaires pour ses vertus thérapeutiques. Le CBD est parfaitement légal.
Le CBD possède de nombreuses vertus. En voici quelques-unes parmi les plus courantes :
Propriétés relaxantes
Lutte contre l’anxiété, la dépression, l’irritation, le stress
Lutte contre les troubles du sommeil (insomnies, sommeil non réparateur, réveils fréquents)
Etc.
Aujourd’hui, il est possible de se procurer du CBD sous de nombreuses formes : gélules, tisanes, huiles, bonbons… De quoi plaire à toutes et à tous !
Qu’est-ce que l’endométriose ?
A l’heure actuelle, nous n’avons pas beaucoup d’informations au sujet de l’endométriose. Ce dont on est sûr, c’est que l’endométriose est une maladie qui touche l’endomètre. L’endomètre correspond à la muqueuse interne de l’utérus de la femme.
L’endométriose désigne le fait que l’endomètre se développe de façon anormale dans l’organisme : le tissu devient agressif et sort de l’utérus pour envahir des organes internes, comme les trompes de Fallope, les ovaires, diverses parties de l’abdomen, etc.
Les femmes atteintes d’endométriose souffrent de terribles crampes au niveau de l’abdomen, du bas du dos, de la zone pelvienne… Elles peuvent également souffrir de diarrhées, de mictions ou selles douloureuses, d’infertilité et de douleurs lors des rapports sexuels. À noter que les symptômes sont particulièrement présents lors de la période des règles.
L’endométriose est difficile à diagnostiquer car tous les symptômes ne sont pas toujours présents et les douleurs sont souvent mises sur le compte de crampes menstruelles passagères.
Il ne s’agit pas d’une maladie mortelle ; elle peut néanmoins avoir de graves conséquences physiques et psychologiques, notamment en raison de la douleur qu’elle inflige aux femmes qui en souffrent.
Comment le CBD peut-il aider à soulagerles symptômes de l’endométriose ?
L’une des vertus principales du CBD est son efficacité pour apaiser les douleurs. Le CBD semble constituer une excellente solution afin de soulager les symptômes de l’endométriose. Contrairement à certains traitements, il s’agit d’une substance 100 % naturelle.
Le CBD interagit directement avec le système endocannabinoïde (aussi appelé SEC). Ce SEC pourrait être décrit comme un ensemble de capteurs, qui serait réparti dans tout le corps, appareil génital inclus. Or, certaines études tendent à montrer des liens importants entre le SEC et la gestion de la douleur causée par l’endométriose.
Une hypothèse soutient que l’endométriose pourrait être causée par un déséquilibre du SEC. Une autre hypothèse soutient que la prolifération anormale de l’endomètre pourrait être freinée – voire stoppée – par le CBD. Ces études sont encore très récentes et méritent donc d’être poussées plus loin. Mais elles tendent à montrer que le CBD a un réel impact sur le soulagement des douleurs liées à cette maladie !
Comment utiliser le CBD pour soulager les symptômes de l’endométriose ?
Comme expliqué plus haut, le CBD peut être ingéré et utilisé sous de nombreuses formes. Néanmoins, l’une d’entre elles se détache du lot en ce qui concerne le soulagement de l’endométriose : l’huile de CBD.
En effet, utiliser régulièrement quelques gouttes d’huile de CBD dès l’apparition des douleurs permettrait de les réduire considérablement.
Une autre option prometteuse : les infusions au chanvre. Ces dernières permettraient de se détendre rapidement et facilement, au point d’en oublier les douleurs.
Quelles sont les précautions à prendre ?
Le CBD ne peut se substituer à un diagnostic médical, réalisé par un professionnel. En cas de douleurs incommodes ou fréquentes, n’hésitez pas à consulter un professionnel de santé (médecin généraliste, gynécologue, etc.).
Il existe certaines contre-indications à l’utilisation de CBD. C’est le cas par exemple si :
Vous avez des troubles artériels ou s’il y a des antécédents dans votre famille
Vous êtes atteinte de la maladie de Parkinson
Vous êtes enceinte ou allaitante, car le CBD peut avoir des effets néfastes sur les bébés
Vous souffrez de troubles cardiaques ou cardiovasculaires
Vous êtes allergique au pollen Cannabis Sativa L
En cas de doute, prenez contact avec un professionnel de santé.
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Ces derniers temps, on a beaucoup parlé du syndrome du choc toxique (SCT), qui a mis en danger la vie de plusieurs femmes dans le monde.
Il s’agit là d’une infection grave, une maladie qui avait disparu mais qui revient sur le devant de la scène.
Ce grand retour serait lié à l’utilisation des tampons hygiéniques, ce qui soulève de nombreuses questions sur la composition des protections menstruelles vendues dans le commerce.
D’autant plus lorsqu’on s’aperçoit que les grandes marques vendues en grandes surfaces rechignent quelque peu à afficher la liste des composants utilisés dans ces produits…
Doit-on donc vraiment s’inquiéter de l’impact des protections hygiéniques de grande surface sur notre santé intime ?
Quels produits sont utilisés pour que les fabricants refusent de donner leur nom ? Sont-ils vraiment si dangereux ?
Voici quelques éléments de réponse à toutes ces questions.
Protections hygiéniques de grande surface : quels sont les composants incriminés ?
Face à la multiplication des demandes en ce sens, l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) a réalisé en 2018 une vaste analyse des composants des protections hygiéniques.
Cette étude a révélé que plusieurs perturbateurs endocriniens ainsi que des substances potentiellement cancérigènes, mutagènes et reprotoxiques sont utilisés dans la fabrication des serviettes, tampons et autres protections intimes.
En voici une liste non-exhaustive :
Des additifs de parfum, qui peuvent provoquer des irritations et des réactions allergiques plus ou moins sévères.
Des alcools, qui assèchent et irritent les parties intimes en contact avec la protection (la vulve notamment).
Des phtalates, des produits dérivés de l’acide phtalique, considérés comme des perturbateurs endocriniens par l’Union européenne (règlement Reach) parce qu’ils sont suspectés d’altérer la fertilité féminine.
Des pesticides, notamment du glyphosate, qui fait partie des substances classées « cancérigènes probables » par l’OMS et qui a suscité de nombreux débats en raison de son utilisation dans l’herbicide Roundup.
On retrouve aussi des traces de lindane et de quintozène, des pesticides dont l’utilisation est interdite en France depuis 2000.
Des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), des produits potentiellement cancérigènes et qui perturbent le bon fonctionnement du système immunitaire.
De l’aluminium, un perturbateur endocrinien potentiel, dont la présence dans les déodorants avait déjà été décriée.
Des cristaux de polyacrylate de sodium, un produit allergène et irritant que l’on retrouve dans la partie absorbante des protections hygiéniques. À noter que son utilisation a été interdite pour fabriquer des tampons hygiéniques ; en revanche, il est toujours possible d’en utiliser pour produire des serviettes périodiques.
Des dioxines, qui font partie des douze polluants les plus dangereux au monde selon l’OMS
Du chlore et/ou des produits dérivés, utilisés pour blanchir les protections périodiques, qui sont eux aussi des perturbateurs endocriniens
Ces produits sont-ils vraiment porteurs de risques pour notre santé menstruelle ?
L’Anses a publié des conclusions claires à ce sujet : non. Certes, l’étude à prouvé l’existence de traces de ces produits toxiques. Cependant, les quantités sont inférieures aux taux sanitaires minimums acceptés. Ces composants seraient donc sans risque pour la santé intime des femmes.
Tant que les quantités respectent un seuil de tolérance acceptable, les tampons, serviettes et autres protections hygiéniques seraient donc sans danger pour la santé des femmes. Les fameux syndromes de choc toxique seraient provoqués non pas par les produits, mais par leur utilisation et notamment par le non-respect des règles d’hygiène menstruelle.
Pourtant, malgré ce rapport rassurant, les interrogations et les inquiétudes quant à la dangerosité de ces produits persistent. Et pour cause !
Quels sont les risques liés à la composition des protections hygiéniques de grande surface ?
En dépit des conclusions du rapport de l’Anses, plusieurs chercheurs ont pointé du doigt un certain nombre de risques liés à la composition des protections hygiéniques de grande surface :
Une accumulation des substances chimiques
Certes, les produits toxiques sont présents en très petites quantités. Pourtant, certaines d’entre elles pénètrent aisément l’organisme, et peuvent donc s’accumuler en quantités plus importantes au fur et à mesure des années. C’est le cas de la dioxine par exemple, l’une des substances les plus toxiques au monde. L’utilisation fréquente de protections hygiéniques qui en contiennent pourrait entraîner des troubles de la fertilité, des dysfonctionnements au niveau des ovaires, des cancers, des problèmes hormonaux, et l’apparition de l’endométriose. Nul est besoin de préciser que le vagin, qui est extrêmement vascularisé, encore plus pendant les menstruations, est donc poreux et peut laisser plus facilement pénétrer ces substances.
Des fibres qui pourraient causer des problèmes de fertilité
D’autres facteurs que les substances toxiques peuvent créer des problèmes de santé intime. Les protections hygiéniques des grandes surfaces sont composées de fibres qui pourraient, selon certaines études, provoquer des petites coupures dans la paroi vaginale et être à l’origine de certains problèmes de fertilité. Ces phénomènes seraient dus au fait que les fibres se gorgent de sang et grossissent, ou alors se détachent de la protection pour se répandre dans le corps, allant jusqu’à obstruer les trompes de Fallope.
Des calculs faussés ?
Par ailleurs, certaines personnes reprochent à l’étude de l’Anses un mauvais calcul des seuils de tolérance sanitaire : au cours de leur analyse, les scientifiques n’ont pas pris en compte le fait que ces substances sont directement en contact avec des muqueuses vaginales ou génitales et ce, de façon régulière. Or, c’est justement cette exposition fréquente et prolongée qui pourrait provoquer des soucis de santé.
De plus, l’Anses précise clairement dans son rapport que ces études « ne prennent pas en compte les perturbateurs endocriniens et les effets sensibilisant cutanés ». Autrement dit, certains facteurs délétères n’ont pas été intégrés à l’étude, ce qui laisse la possibilité d’un cruel manque d’information sur leurs effets potentiellement dangereux.
Mais alors, comment trouver des protections hygiéniques sans substance chimique toxique ?
Une bonne solution pour prendre soin de son hygiène intime tout en se protégeant est de se tourner vers des produits bio. De plus en plus de marques se mettent à fabriquer des protections hygiéniques en coton 100 % biologique sans chlore, parfum, alcool ou dioxine.
En outre, il est fortement recommandé de miser sur des fabricants qui n’ont pas honte d’afficher les composants de chaque partie de leurs produits (partie absorbante, voile de surface, applicateur…) sur l’emballage.
D’ailleurs, certains fabricants de protections hygiéniques misent beaucoup sur l’information pour mieux éveiller les consciences et aider les femmes à prendre soin de leur corps. C’est par exemple le cas du blog La Pause by Jho, qui traite de thématiques liées aux règles, au bien-être menstruel, à la santé intime… Transparence, respect & information : voilà des valeurs qui peuvent aider à faire évoluer les méthodes de production des protections intimes !
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L’hygiène bucco-dentaire est fondamentale, aussi bien pour votre confort que pour votre santé. En effet, non seulement elle permet d’éviter la mauvaise haleine, mais elle contribue aussi à vous préserver de nombreux désagréments : caries, inflammations, prolifération bactérienne, maladies parodontales, plaque dentaire… Voilà pourquoi il est important de bien compléter votre routine d’hygiène dentaire, en associant des bains de bouche réguliers aux lavages de dents quotidiens. Et quoi de mieux que de créer soi-même sa propre solution ? En plus, vous possédez déjà tous les ingrédients nécessaires à la maison !
Qu’est-ce qu’un bain de bouche exactement ?
Aujourd’hui, on trouve très facilement de nombreuses solutions à utiliser comme bain de bouche dans les commerces. Quelle que soit la marque, elles ont généralement le même but : neutraliser les bactéries présentes sur la langue et dans les cavités buccales, et empêcher ou limiter leur réapparition.
Effectivement, ces bactéries, auxquelles nous sommes généralement exposés en mangeant, peuvent provoquer l’apparition de caries ou d’infections et être à l’origine de la mauvaise haleine. Les bains de bouche agissent comme un antiseptique et luttent directement contre ces bactéries.
Pour cela, il suffit de se laver les dents et de bien les rincer. L’étape suivant consiste à mettre dans sa bouche la dose de produit prescrite. Attention : certaines solutions s’utilisent pures, tandis que d’autres doivent être diluées dans l’eau. Ensuite, il faut se gargariser ou bien garder les liquide en bouche quelques secondes et le recracher.
Pour autant, tous les bains de bouche ne se valent pas, et il faut choisir le sien avec précaution en fonction de ses besoins. Gencives, palais, langue, gorge, dents… Les bains de bouche peuvent agir sur diverses parties de notre corps pour les soulager, mais ils peuvent aussi avoir une action préventive, en fonction de leur composition.
Par ailleurs, il existe un certain nombre de précautions à prendre avant, pendant et après l’utilisation des bains de bouche.
Y-a-t-il des risques lors de leur utilisation ?
Comme pour tous les dispositifs médicaux, il est essentiel de respecter plusieurs consignes lorsque l’on effectue des bains de bouche, qu’ils soient ponctuels ou bien réguliers.
Avant le bain de bouche :
Lorsque vous achetez un dispositif médical, vous devez impérativement signaler à votre médecin ou à votre pharmacien si vous prenez d’autres médicaments, car il peut y avoir des interactions
Si vous avez subi une chirurgie ou un traumatisme de la bouche, suivez strictement les recommandations de votre médecin ou chirurgien, pour ne pas vous faire de mal ou bien aggraver une blessure déjà présente
Veillez à laisser votre bain de bouche hors de portée des enfants. Ces produits sont en effet déconseillés aux enfants de moins de 6 ans, car ces derniers pourraient les avaler ou les inhaler. Entre 6 et 12 ans, ils doivent être utilisés sous surveillance d’un adulte
Pendant :
Le bain de bouche ne s’utilise que pour la bouche. Évitez tout contact avec les yeux
N’avalez en aucun cas le produit que vous utilisez
Respectez scrupuleusement les doses prescrite ou recommandées
Après le bain de bouche :
Il est possible que vos dents et/ou vos lèvres se colorent momentanément, ou bien que votre sens du goût soit amoindri, comme cela peut arriver avec un dentifrice fort ; ne vous en faites pas, ces désagréments sont normalement passagers
Utilisés trop longtemps, les antiseptiques peuvent déséquilibrer la flore bactérienne nécessaire au bon fonctionnement de notre bouche. Sauf indication contraire de votre médecin, ne les utilisez pas sur une trop longue période
En ce qui concerne la fréquence des bains de bouche :
Respectez la durée et la fréquence prescrites par votre médecin et/ou les consignes du produit que vous utilisez. Les bains de bouche ne sont pas les mêmes, et s’utilisent donc différemment. En cas de doute, consultez votre médecin ou votre pharmacien, ou bien reportez-vous à la notice d’utilisation du produit
Ainsi, les bains de bouche sont très faciles d’utilisation, pourvu que l’on respecte leurs précautions d’emploi. En effet, comme ils comportent des produits différents, leurs effets et donc leur emploi varient de l’un à l’autre, en fonction de vos besoins. Et justement, quoi de mieux pour avoir un produit véritablement adapté à vos besoins que de le créer vous-mêmes ?
Pourquoi faire son bain de bouche à la maison ?
Faire son bain de bouche soi-même, à la maison, offre de multiples avantages :
La maîtrise des composants : en général, les bains de bouche contiennent un antiseptique, du fluor et parfois de l’alcool. En le produisant à la maison, il est possible d’enlever les éléments superflus ou bien de rajouter les produits que vous voulez, en fonction de ce que vous désirez ou bien de ce qui vous est utile
Le contrôle des ingrédients : certes, c’est vous qui décidez quels ingrédients utiliser, mais vous pouvez aussi en contrôler la qualité, l’origine, etc.
La facilité : non seulement créer son propre bain de bouche est simple et rapide, mais vous pouvez aussi le faire avec des composants basiques, que vous pouvez trouver en ouvrant simplement les tiroirs de votre cuisine
La disponibilité : qui dit ingrédients faciles d’accès dit aussi liberté totale. Vous aurez la possibilité de préparer vos solutions quand vous le désirez, chez vous, sans avoir à sortir exprès pour en acheter les composants
Voici donc quelques exemples de remèdes à faire chez vous, avec des ingrédients déjà présents – pour la plupart – dans vos placards, en fonction de leurs propriétés.
bain de bouche anti-mauvaise haleine
La recette au bicarbonate de soude :
Voilà un ingrédient miracle, que l’on peut utiliser partout dans la maison ! Mais saviez-vous qu’il est aussi très efficace pour nettoyer votre bouche en profondeur, lutter contre la mauvaise haleine et détartrer vos dents ?
Pour cela, il suffit simplement de :
Diluer une cuillère à café environ dans un verre d’eau tiède
Après vous être brossé les dents, rincez-vous la bouche pendant quelques minutes (3 à 4 environ) en vous gargarisant
Rincez-vous la bouche à l’eau claire
La recette aux huiles essentielles :
Il est possible que vous trouviez que le goût de la préparation manque d’attrait. Dans ce cas, rien ne vous empêche (si vous n’êtes pas allergique) de rajouter quelques gouttes d’huile essentielle dans votre préparation. Pour un effet d’haleine vraiment très frais, vous pouvez par exemple opter pour :
L’eucalyptus
L’arbre à thé
La menthe poivrée
Le citron
Le bain de bouche anti-bactérien et antiseptique
La recette au vinaigre de cidre :
Dans une certaine mesure, éliminer les bactéries dans la bouche entraîne de nombreux avantages : finie la mauvaise haleine, les gencives douloureuses, place à des dents d’un blanc éclatant ! C’est justement ce que permet le vinaigre de cidre. Pour l’utiliser, il faut :
Diluer une cuillère à café environ de vinaigre de cidre à un grand verre d’eau tiède
Se laver la bouche quelques minutes avec cette préparation et la recracher
Se rincer la bouche abondamment
Attention néanmoins : utilisé trop fréquemment, le vinaigre de cidre peut se révéler agressif et attaquer l’émail de vos dents. Il est donc recommandé de ne pas y avoir recours trop souvent (2 fois par semaine maximum)
Le bain de bouche contre les maux dentaires
La recette aux clous de girofle :
Reconnus pour leurs propriétés antibactériennes , antiseptiques et anesthésiantes, les clous de girofle sont souvent utilisés en médecine traditionnelle. Le bain de bouche aux clous de girofle est très recommandé pour lutter contre les maux de dents, puisqu’il soulage les gencives et les dents sensibles. Il peut également permettre de soulager l’hypersensibilité dentaire. Pour cela, il suffit de :
Faire infuser 3 clous de girofle environ dans 25 cL d’eau tiède
Filtrer le mélange
Se gargariser avec plusieurs fois
Rincer sa bouche abondamment à l’eau claire
Les bains de bouche contre les aphtes, les inflammations et les saignements de gencives
La recette aux orties :
Cela peut surprendre, mais les orties sont un excellent remède aux infections et inflammations bucco-dentaires. Elles sont particulièrement efficaces contre les aphtes. La recette est la suivante :
Faire bouillir une bonne poignée d’orties dans une casserole d’eau
Filtrer et laisser refroidir le mélange
Plusieurs fois par jour (environ 3 fois), se gargariser avec cette solution
Bien se rincer la bouche à l’eau claire une fois fini
La recette au sel :
Comme cette préparation est très efficace pour diminuer les inflammations, elle est particulièrement recommandée après un passage chez le dentiste. En dehors de cela, elle constitue un nettoyant très efficace, et aide à lutter contre les saignements de gencives. Pour l’utiliser, il suffit de :
Verser une cuillère à café de sel dans un grand verre d’eau tiède
Mélanger jusqu’à ce que les cristaux se soient dissous
Se gargariser avec quelques minutes
Éventuellement, vous pouvez vous masser les gencives, avec vos doigts (lavés) ou bien avec une brosse à dents disposant d’un dispositif massant intégré
Rincer sa bouche
La recette aux huiles essentielles :
Pour lutter contre les saignements de gencives (ou gingivites) et les inflammations, vous pouvez combiner de l’huile essentielle de ciste et d’arbre a thé. Ces deux éléments ont la faculté de renforcer des tissus des gencives et de lutter contre les inflammations. Pour en profiter, il faut :
Mélanger 5 mL d’huile essentielle de ciste et 5 mL d’huile d’arbre à thé
Les diluer dans un verre d’eau tiède
Se gargariser
Bien rincer sa bouche à l’eau claire
Certaines personnes, au lieu d’utiliser ce mélange en bain de bouche, apprécient de déposer 1 à 2 gouttes de ce mélange sur leurs gencives pour les masser. Il faut tout de même rincer abondamment sa bouche après pour ne pas ingérer ou absorber l’huile.
Focus sur les huiles essentielles
Nous venons de voir plusieurs possibilités concernant l’usage des huiles essentielles pour prendre soin de sa santé bucco-dentaire. Sachez qu’il existe de nombreux autres usages. Par exemple, plutôt que de les utiliser en bain de bouche, plusieurs personnes préfèrent déposer une goutte d’huile sur leur dentifrice au moment de se laver les dents.
La plupart du temps, il s’agit des huiles utilisées pour lutter contre la mauvaise haleine (eucalyptus, citron, menthe poivrée, etc.).
Toutefois, il vous faut rester prudent(e) : il existe des allergies à certaines huiles essentielles, dont les conséquences peuvent être assez graves. Avant de vous lancer dans les bains de bouche aux huiles, il est impératif de tester ou de confirmer que vous n’y êtes pas allergique.
En outre, certaines huiles peuvent être déconseillées à quelques personnes, comme les femmes enceintes par exemple. Avant de vous lancer bille en tête et de concocter vos mélanges, renseignez-vous et demandez conseil à votre médecin ou pharmacien.
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L’iridologie est une méthode de bilan qui se base sur l’observation approfondie de vos iris. Ceux-ci contiennent de nombreuses informations. En effet, l’iris d’un individu renferme près de 200 signes codifiables qui le différencient des autres. Sa fiabilité d’identification est donc 10 fois supérieure à celles de vos empreintes digitales !
Mais si l’iris est aussi intéressant en médecine, c’est surtout parce qu’il renferme des centaines de milliers de veines et filaments nerveux qui connectent l’œil au reste de notre organisme. Nos yeux sont donc étroitement liés à notre corps et à tout ce qui s’y passe.
L’examen des yeux peut être effectué à l’aide d’une simple loupe ou d’autres appareils plus élaborés, qui permettent de distinguer de nombreux signes et variantes de couleurs. Cependant, il est important de noter que l’iridologie ne permet pas de soigner en elle-même, contrairement à d’autres méthodes comme la réflexologie.
Quand on choisit d’aller voir un iridologue, il est donc important que celui-ci pratique une méthode de soin qui viendra agir comme complément à l’iridologie, telle que l’homéopathie et la naturopathie.Les praticiens lieront ainsi les résultats obtenus grâce à l’iridologie à leurs propres connaissances pour proposer un diagnostic.
Parmi ceux-ci, les plus grands utilisateurs de l’iridologie sont peut-être les naturopathes, qui sont souvent formés à cette méthode de bilan lors de leur formation. Dans ce cas, elle intervient en début de consultation et donne le « fil rouge » de la thérapie à suivre pour le consultant.
Bienfaits de l’Iridologie
Mais à quoi sert l’iridologie si elle ne permet pas de soigner ? D’une part, elle agit de manière préventive car elle donne une cartographie des tendances pathologiques du patient. Elle aide donc à déceler les prédispositions du patient à développer certaines pathologies et permet de savoir si ces tendances ont commencé à se manifester. D’autre part, en aidant à comprendre l’origine des symptômes du patient, elle aide à débuter le processus de guérison.
Plus spécifiquement, l’iridologie :
donne un aperçu de l’état du système digestif, nerveux et endocrinien ;
aide à voir s’il y a des organes fragilisés ;
permet de déterminer s’il y a une toxémie –et, si oui, de quels types de toxines il s’agit, car le nettoyage diffère selon le type de toxémie ;
dépiste les potentielles acidifications ;
montre quel est l’état de la peau.
En naturopathie, tout cela est appelé « terrain du consultant ». Celui-ci permet au spécialiste de proposer une approche globale de la santé du patient et du soin et de ne pas être juste « symptomatique ».
Les grands principes de l’iridologie
Afin de pouvoir analyser l’iris, l’iridologie l’a divisé en plusieurs zones, chacune étant liée à une partie du corps ou un organe spécifique, de manière à créer une cartographie de l’iris.
Grâce à cette cartographie irienne, l’iridologue peut décomposer l’analyse de l’iris selon plusieurs niveaux :
La couleur de l’iris : elle permet de connaître la nature ou tendance pathologique du consultant.
La zone digestive, ou intestinale : elle se trouve autour de l’iris sous forme de cercles crénelés (l’estomac et, plus éloigné de la pupille, les intestins). Différents signes, ainsi que leurs couleurs, donnent des indications sur leur état.
Le système nerveux et endocrinien : ils apparaissent en périphérie des intestins.
La zone glandulaire et énergétique
La zone organique : celle-ci se trouve après la zone digestive. On peut y apercevoir différents signes, comme des traits, des cercles, des trous ou des tâches. Chacun indique différentes problématiques : tendances pathologiques, dévitalisation, toxines, stress, orthosympathicotonie, …
La zone circulatoire
La peau : c’est la toute dernière périphérie de l’iris. C’est là que se trouvent les données propres à la peau.
Vous l’aurez compris : de nombreuses informations apparaissent sur votre iris. D’autres informations sont aussi importantes à analyser, comme la réactivité de votre pupille à la lumière par exemple. De plus, l’iridologue analyse aussi la sclérotique, c’est-à-dire la partie blanche de l’œil, car celle-ci permet de donner des indications supplémentaires si certains signes y apparaissent.
En Pratique:
L’iridologie permet de faire un bilan des tendances pathologiques et de leurs manifestations. En plus de réaliser la cartographie de l’iris, le praticien sera aussi à la recherche de taches et signes anormaux qui pourraient permettre de déceler une pathologie. À partir de ces observations et d’autres recoupements, nous pouvons proposer un soin global à la personne.
Par exemple, sur cet iris, toute la zone digestive apparaît orange, ce qui indique de l’acide pyruvique (déchets de la cellule nerveuse). Le stress se manifeste donc ici, et cette couleur et son emplacement montrent que celui-ci peut également avoir des conséquences sur le système hormonal. Dans ce cas, si le patient a réellement des problèmes hormonaux, le praticien conseillera des soins ou des plantes (selon la pratique du médecin) pour soigner le problème endocrinien. En outre, il apaisera le système nerveux afin de soigner la cause du problème.
En naturopathie-iridologie, le praticien fait un bilan iridologique, qu’il recoupe avec d’autres informations. Il s’intéressera ainsi aux motifs de visite du consultant, à son hygiène de vie (alimentation, sommeil, activités sportives, …) et à son environnement de vie (famille, travail, …). Il propose également un conseillancier. L’iridologie donne la trame !
Histoire de l’Iridologie:
Il est difficile de dire quand à démarrer l’irdologie, seuls deux textes apparaissent au XVIIème et XVIIIème siècles : « Chiromatica medica », publié en 1670 par philippus Meyens qui mentionne les sites réflexes de l’iris, et « De oculo et signo » (« l’oeil et ses signes ») publié en 1786 par Christian Haertels. Mais aucune discipline ne s’est créée à partir de ces écrits. Néanmoins au XIXème siècle, l’iridologie moderne apparaît grâce à deux personnes :
-Ignatz Von Pezely (Hongrois, 1826-1911).
Enfant il sauve une chouette , qui a une patte cassée, il observe une tâche sur son iris, celle-ci continue de venir le voir et il peut observer que la tâche devient de plus en plus claire. Devenu adulte il sauve la vie de sa mère grâce à des remèdes homéopathiques, on commence alors à faire appel à lui comme médecin. Il en profite pour établir des corrélations entre les pathologies de ses malades et des signes iriens. Il devient renommé, mais est attaqué pour pratique frauduleuse, il démarre donc des études pour devenir médecin et se protéger. Il fera de nombreuses études sur la corrélation entre les yeux des malades ou des cadavres et leurs maladies. A la fin de sa vie, il se demande pourquoi il a le signe d’une pathologie dans l’oeil mais aucun signe de maladie corrélée sur son patient. Ce questionnement augurera de l’iridologie moderne, qui constate que certains signes iriens ne sont que les indices de tendances pathologiques non installées, cela donne donc le « terrain » de la personne, et permet de faire de la prévention individualisée.
-Nils Liljequist (suédois, 1851-1936)
A 14 ans Nils se fait vacciner et commence à tomber souvent malade, on lui administre alors de nombreux médicaments. A 20 ans il publie « la quinine et l’iode modifient la couleur de l’iris ; auparavant j’avais les yeux bleus mais maintenant, ils sont verdâtres et présentent des tâches rougeâtres ». Il pense que la modification de la couleur de son iris est dûe à la prise de médicaments. Cette hypothèse marquera l’iridologie moderne, montrant les tâches et modifications de couleurs comme pouvant être des « tâches médicamenteuses ». Il publie en 1893 « om oegendiagnosen » (« diagnostic basé sur l’examen de l’oeil »).
À ce jour, les effets de l’iridologie n’ont pas encore été prouvés scientifiquement. Cependant, cette technique est utilisée depuis plusieurs siècles et a déjà montré de nombreux résultats.
Certificat de Naturopathie délivré par ANINDRA (Association Naturopathie Iridologie Nouvelle Dynamique de Responsabilisation et d’Autonomie), école reconnue par la FENA.
L’ashwagandha est une plante médicinale ancienne. Classée comme adaptogène, elle aide principalement le corps à gérer le stress. Mais pas seulement
La liste de ses avantages pour le corps et la tête sont nombreux : Stimulation des fonctions cérébrales, réduction de la glycémie et du taux de cortisol, réduction des symptômes de l’anxiété et de la dépression, aide au sommeil etc ..
Y-a-t-il cependant des effets secondaires et des contre-indications ? Petit tour d’horizon de cette plante millénaire.
Ashwagandha : Une plante médicinale ancienne
L’ashwagandha est l’une des plantes les plus importantes de l’Ayurveda, une forme de médecine alternative basée sur les principes indiens de guérison naturelle.
Elle est utilisée depuis plus de 3 000 ans pour soulager le stress, augmenter les niveaux d’énergie et améliorer la concentration.
Ashwagandha signifie “odeur du cheval” en sanskrit, ce qui fait référence à la fois à son odeur unique et à sa capacité à augmenter la force.
Son nom botanique “Withania somnifera” est également connu sous plusieurs autres noms, notamment ginseng indien et cerise d’hiver.
L’ashwagandha est un petit arbuste aux fleurs jaunes, originaire d’Inde et d’Afrique du Nord. Son utilisation se fait à travers des extraits, de la poudre de racine ou de la poudre de feuille.
Ses nombreux bienfaits pour la santé sont attribués à sa forte concentration en withanolides, dont il a été démontré qu’ils combattent l’inflammation et la croissance des tumeurs.
Bienfaits de l’Ashwagandha
Elle réduit le taux de sucre dans le sang
Plusieurs études ont montré que l’ashwagandha pouvait réduire le taux de sucre dans le sang.
Une étude en éprouvette a révélé qu’elle augmentait la sécrétion d’insuline et améliorait la sensibilité à l’insuline dans les cellules musculaires.
En outre, plusieurs études sur l’homme ont suggéré qu’elle peut réduire les niveaux de sucre dans le sang chez les personnes en bonne santé et celles atteintes de diabète.
Lors d’une étude de 4 semaines sur des personnes atteintes de schizophrénie, les personnes traitées à l’ashwagandha ont vu leur taux de glycémie à jeun diminuer en moyenne de 13,5 mg/dL, contre 4,5 mg/dL pour les personnes ayant reçu un placebo .
Elle pourrait avoir des propriétés anticancéreuses
Des études menées sur des animaux et en éprouvette ont révélé que la withaferine – un composé de l’ashwagandha – contribue à induire l’apoptose, c’est-à-dire la mort programmée des cellules cancéreuses.
Des études sur les animaux suggèrent qu’elle peut aider à traiter plusieurs types de cancer, notamment le cancer du sein, du poumon, du côlon, du cerveau et de l’ovaire.
Dans une étude, des souris atteintes de tumeurs ovariennes et traitées avec de la withaferin seule ou en combinaison avec un médicament anticancéreux ont montré une réduction de 70 à 80 % de la croissance tumorale. Le traitement a également empêché la propagation du cancer à d’autres organes.
Bien qu’aucune preuve ne permette d’affirmer que l’ashwagandha exerce des effets similaires chez l’homme, les recherches actuelles sont encourageantes.
Elle réduit le taux de cortisol
Le cortisol est connu comme une hormone du stress. Les glandes surrénales le libèrent en réponse au stress, ainsi que lorsque le taux de sucre dans le sang devient trop faible.
Malheureusement, dans certains cas, le taux de cortisol peut devenir chroniquement élevé, ce qui peut conduire à une glycémie élevée et à un stockage accru des graisses dans l’abdomen.
Des études ont montré que l’ashwagandha peut aider à réduire les niveaux de cortisol.
Dans une étude menée sur des adultes souffrant de stress chronique, ceux qui ont pris un supplément d’ashwagandha ont vu leur taux de cortisol diminuer de manière significative par rapport au groupe témoin. Ceux qui ont pris la dose la plus élevée ont connu une réduction de 30 %, en moyenne..
L’ashwagandha combat le stress et l’anxiété
L’ashwagandha est peut-être surtout connue pour sa capacité à réduire le stress. Plusieurs études sur l’homme ont montré qu’elle en réduisait les symptômes et agissait également sur les troubles anxieux.
Lors d’une étude de 60 jours menée auprès de 64 personnes souffrant de stress chronique, les personnes du groupe ayant pris un supplément d’ashwagandha ont signalé une réduction de 69 % en moyenne de l’anxiété et de l’insomnie, contre 11 % dans le groupe placebo
Dans une autre étude de 6 semaines, 88 % des personnes ayant pris de l’ashwagandha ont signalé une réduction de l’anxiété, contre 50 % de celles ayant pris un placebo.
Elle peut stimuler la testostérone et augmenter la fertilité chez les hommes
Les suppléments d’ashwagandha peuvent avoir des effets puissants sur les niveaux de testostérone et la santé reproductive
Dans une étude menée sur 75 hommes infertiles, le groupe traité à l’ashwagandha a montré une augmentation du nombre et de la mobilité des spermatozoïdes.
De plus, le traitement a entraîné une augmentation significative du taux de testostérone.
Les chercheurs ont également rapporté que le groupe ayant pris cette plante présentait une augmentation des niveaux d’antioxydants dans le sang.
Dans une autre étude, les hommes qui ont reçu de l’ashwagandha contre le stress ont connu des niveaux d’antioxydants plus élevés et une meilleure qualité de sperme. Après 3 mois de traitement, 14 % des partenaires de ces hommes étaient tombées enceintes.
Augmentation de la masse musculaire et de la force
Des recherches ont montré que l’ashwagandha peut améliorer la masse musculaire et augmenter la force.
Dans une étude visant à déterminer un dosage sûr et efficace de l’ashwagandha, les hommes en bonne santé qui ont pris 750-1 250 mg de racine d’ashwagandha pulvérisée par jour ont gagné en force musculaire après 30 jours.
Dans une autre étude, les personnes ayant pris de l’ashwagandha ont enregistré des gains significativement plus importants en termes de force et de masse musculaire. Ils ont également doublé leur réduction du pourcentage de graisse corporelle, par rapport au groupe placebo.
Réduction du cholestérol et des triglycérides
En plus de ses effets anti-inflammatoires, l’ashwagandha peut contribuer à améliorer la santé cardiaque en réduisant les taux de cholestérol et de triglycérides.
Des études sur les animaux ont montré qu’elle diminue de manière significative les niveaux de ces graisses dans le sang.
Une étude sur des rats a montré qu’elle réduisait les niveaux de cholestérol total et de triglycérides de 53 % et de près de 45 %, respectivement.
Bien que des études contrôlées sur des humains aient rapporté des résultats moins spectaculaires, elles ont observé des améliorations impressionnantes de ces marqueurs.
Au cours d’une étude de 60 jours menée sur des adultes souffrant de stress chronique, le groupe ayant pris la dose la plus élevée d’extrait standardisé d’ashwagandha a connu une diminution de 17 % du LDL (mauvais cholestérol) et de 11 % des triglycérides, en moyenne.
Mémoire et fonction cérébrale
Des études en éprouvette et sur des animaux suggèrent que l’ashwagandha peut atténuer les problèmes de mémoire et de fonction cérébrale causés par une blessure ou une maladie.
Des recherches ont montré qu’il favorise l’activité antioxydante qui protège les cellules nerveuses des radicaux libres nocifs.
Dans une étude, des rats épileptiques traités à l’ashwagandha ont vu leurs troubles de la mémoire spatiale s’inverser presque complètement. Cela était probablement dû à une réduction du stress oxydatif.
Bien que l’ashwagandha soit traditionnellement utilisé pour stimuler la mémoire en médecine ayurvédique, quelques recherches sur l’homme ont été menées dans ce domaine.
Dans une étude contrôlée, des hommes en bonne santé qui ont pris 500 mg d’extrait standardisé par jour ont signalé des améliorations significatives de leur temps de réaction et de leur performance dans les tâches, par rapport aux hommes qui ont reçu un placebo.
Une autre étude de 8 semaines menée auprès de 50 adultes a montré que la prise de 300 mg d’extrait de racine d’ashwagandha deux fois par jour améliorait de manière significative la mémoire générale, l’exécution des tâches et l’attention.
Effets secondaires et contre indications de l’ashwagandha
Il n’est pas recommandé à certaines personnes de prendre de l’Ashwagandha notamment les personnes enceintes et celles qui allaitent.
Les personnes souffrant de maladies auto-immunes doivent également éviter l’ashwagandha, sauf autorisation d’un professionnel de santé. Il s’agit notamment des personnes souffrant d’affections telles que la polyarthrite rhumatoïde, le lupus, la thyroïdite de Hashimoto et le diabète de type 1.
De plus, ceux et celles qui prennent des médicaments contre les maladies thyroïdiennes doivent être prudentes lorsqu’elles prennent de l’ashwagandha, car il peut augmenter les niveaux d’hormones thyroïdiennes chez certaines personnes.
L’ashwagandha peut également réduire les taux de glycémie et de pression artérielle, de sorte qu’il peut être nécessaire d’ajuster les doses de médicaments si vous en prenez.
Mode d’utilisation de l’ashwagandha :
La dose recommandée d’ashwagandha dépend du type de supplément. Les extraits sont plus efficaces que la poudre brute de racine ou de feuille d’ashwagandha. N’oubliez pas de suivre les instructions figurant sur les étiquettes.
L’extrait de racine standardisé est généralement pris en gélules de 450 à 500 mg une ou deux fois par jour.
Il est proposé par plusieurs fabricants de suppléments et disponible auprès de divers détaillants, notamment les magasins d’aliments naturels et les magasins de vitamines.
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Vous cherchez un gel douche aux propriétés bien particulières, mais vous ne le trouvez pas dans le commerce ? Vous désirez un savon 100 % bio, sans additif nocif pour la santé ? Ou alors, vous êtes simplement curieux ou curieuse et aimez fabriquer vos produits vous-même ? Pourquoi ne pas vous lancer dans la fabrication de votre gel douche maison ? C’est simple, rapide, bon pour la planète, la santé et le porte-monnaie ! Vous désirez vous lancer dans l’aventure ? Voici quelques recettes simples à adopter sans modération !
Pourquoi faire son gel douche soi-même ?
Même si à priori, fabriquer son propre gel douche peut paraître secondaire, il existe en réalité une multitude d’avantages à utiliser des gels douches faits maisons, particulièrement en ce qui concerne la santé :
Les gels douches maison sont plus sains
Parmi les produits du commerce, les gels douches font partie de ceux qui suscitent le plus de méfiance : perturbateurs endocriniens, substances allergisantes, conservateurs cancérigènes, tensioactifs problématiques… Nombre d’éléments utilisés dans ces produits du quotidien sont dangereux pour la santé. D’ailleurs, les associations de consommateurs signalent régulièrement le danger.
Par exemple, les parabens (des conservateurs très utilisés jusqu’à aujourd’hui) désormais sont assez mal perçus par les consommateurs, et les fabricants de gels douches ont dû trouver des alternatives. Ils ont notamment utilisé du methylisothiazolinone, un autre conservateur, mais qui est très allergène.
Avec les gels douches maisons, exit tous ces mauvais produits ! Vous pouvez vous faire plaisir tout en privilégiant des substances qui sont bonnes pour vous.
En fabriquant vous-même vos gels douches, vous avez un meilleur contrôle des composants
Une solution tentante, pour éviter les désagréments cités précédemment, peut être d’opter pour des gels douches bio. Le problème, c’est que ces produits ne sont pas non plus exempts d’allergènes, même s’ils sont la plupart du temps issus des molécules végétales.
Fabriquer votre gel douche vous-même vous permet donc d’avoir un contrôle parfait de tous les ingrédients qui composent votre gel douche, et d’en ôter tous les produits qui vous posent problème.
Faire soi-même ses gels douches, c’est bon pour la planète
Lorsque vous fabriquez vous-même vos produits, vous vous passez de flacons ou d’emballages polluants : un seul contenant suffit pour vos gels douches successifs. De plus, comme le but des gels douches maison est de disposer de produits sains, avec des ingrédients d’origine naturelle, vous polluez moins qu’en optant pour des produits fabriqués à la chaîne, de manière industrielle.
Logiquement, les gels douches maison permettent de moins polluer les eaux.
Enfin, vous pouvez également limiter d’autant plus l’empreinte carbone de vos produits en sélectionnant des produits fabriqués près de chez vous.
Fabriquez votre propre gel pour vous faire plaisir à 100 %
De façon générale, fabriquer ses propres cosmétiques est une activité gratifiante, d’autant plus que les gels douches sont des produits que l’on utilise au quotidien (ou presque !).
Le côté hautement personnalisable des gels douches maison est également un atout non négligeable, puisque vous pouvez carrément choisir la texture ou l’odeur de votre produit !
Vous faites aussi plaisir à votre porte-monnaie !
Les gels douches sont des produits que l’on doit souvent renouveler. À terme, et surtout si le foyer compte plusieurs personnes, l’achat de ces produits peut représenter une sacrée somme !
Les fabriquer vous-même peut donc vous permettre de faire des économies, tout en variant souvent les plaisirs.
Comment utiliser un gel douche maison ?
Exactement comme un gel douche normal ! Il vous suffit de vous frotter avec lorsque vous êtes sous la douche. Attention : comme il y a moins de produits additionnels lorsque vous fabriquez vous-même vos gels douches, il se peut qu’ils moussent moins que ceux du commerce, ce qui peut surprendre au début.
On a alors tendance à en utiliser d’autant plus, dans l’espoir que le gel se mette à mousser. Il s’agit là dune fausse bonne idée : rassurez-vous, normalement, les gels douches maison, même s’ils moussent moins, lavent aussi bien que les autres !
Est-ce qu’il y a des précautions à prendre pour fabriquer son gel douche chez soi ?
Oui ! Les produits cosmétiques comme les gels douches sont particulièrement sensibles aux contaminations bactériologiques. Autrement dit, lorsque vous fabriquez votre produit, il est absolument essentiel de suivre des règles d’hygiène très strictes :
Désinfectez votre équipement (outils et contenants) à l’alcool puis laissez-les sécher à l’air libre
Stockez vos produits dans un contenant hermétique et dans un endroit propre et sec, où les températures ne sont pas extrêmes (ni trop chaudes, ni trop froides)
Par ailleurs, faites attention aux huiles essentielles (et de manière générale aux produits) que vous utilisez : vérifiez bien que vous n’y êtes pas allergique, ou bien que vous n’êtes pas concerné(e) par les contre-indications. En cas de doute, demandez conseil à un professionnel de santé !
Découvrez nos 6 recettes de gels douches maison !
Fabriquer soi-même son gel douche est facile et rapide. L’avantage, c’est qu’il existe autant de recettes qu’il existe de personnes : vous pouvez varier les plaisirs à l’infini ! Pour y parvenir, vous aurez besoin d’un équipement simple :
Une râpe
Un récipient propre et hermétique
Une casserole
Une spatule
Un mixeur (pour la recette de gel douche onctueux uniquement)
Recette n°1 : le gel douche bio au savon d’Alep
Pour cette recette, vous aurez besoin de :
50 g de savon d’Alep. Attention à choisir un véritable savon d’Alep et non une imitation industrielle ! Le savon d’Alep normalement n’est fabriqué qu’à partir d’huile d’olive, d’huile de laurier et d’eau
1 litre d’eau
Une quinzaine de gouttes d’huile essentielle de lavande
2 cuillères à soupe de glycérine végétale
Pour fabriquer votre gel douche maison, râpez le savon d’Alep, mélangez-le dans l’eau et faites chauffer le tout dans une casserole à basse température pendant 15 minutes environ. Remuez le mélange jusqu’à dissolution du savon. Ajoutez-y ensuite l’huile essentielle de lavande, et laissez le mélange refroidir pendant 1 heure environ. Versez l’extrait de pépin de pamplemousse et la glycérine. Il se peut que le gel paraisse très épais : vous pouvez le diluer avec un peu d’eau. Votre produit est prêt !
Vous pouvez conserver ce gel douche pendant deux mois environ. Pour augmenter le temps de conservation, vous pouvez ajouter au mélange quelques gouttes d’extraits de pépins de pamplemousse : il s’agit d’un conservateur naturel et d’un antibactérien extrêmement efficace !
Recette n°2 : le gel douche au miel, pour une peau fraîche et nourrie
Pour ce gel douche, vous aurez besoin de :
1 tasse de savon de Marseille bio (attention à prendre du véritable savon de Marseille!)
1 litre d’eau
3 cuillères à soupe d’huile d’olive
3 cuillères à soupe de miel bio
Une quinzaine de gouttes d’huile essentielle d’arbre à thé (un produit extrêmement efficace pour lutter contre l’acné et pour ses vertus antiseptiques, antifongiques et cicatrisantes)
Pour fabriquer le gel douche, râpez le savon de Marseille. Pendant ce temps, faites bouillir de l’eau et retirez-la du feu une fois qu’elle s’est mise à bouillir. Versez-y le savon de Marseille et remuez légèrement. Laissez-le refroidir jusqu’à ce qu’il devienne tiède. Ajoutez-y le reste des ingrédients, puis versez le tout dans un contenant en verre propre et hermétique. Laissez reposer pendant au moins 48 heures, jusqu’à ce que la préparation se transforme en gel. Versez votre gel douche dans son récipient final. C’est prêt !
Recette n°3 : le gel douche moussant
Pour un gel douche moussant, il vous suffit de suivre n’importe quelle recette, mais en y ajoutant une base moussante. Vous pouvez en trouver des bio en pharmacie ou en magasin spécialisé. Cela vous permettra de faire mousser votre gel douche, comme ceux que vous pouvez trouver en grandes surfaces.
Recette n°4 : le gel douche à l’huile de coco, pour réparer et nourrir la peau
Pour une peau parfumée et éclatante de santé, vous aurez besoin de :
60 ml d’huile coco et de miel bio
100 ml de base lavante neutre
Une vingtaine de gouttes d’huile essentielle d’eucalyptus radié
Une quinzaine de gouttes d’huile essentielle d’orange douce
Une vingtaine de gouttes d’huile essentielle de citron
Une cuillère à café de vitamine E
En option : 20 ml de base moussante végétale
Commencez par faire fondre au bain-marie l’huile de coco, puis ajoutez-y progressivement les autres ingrédients. Pour mélanger la solution, remuez doucement pour éviter de trop faire mousser la préparation (si vous avez opté pour la base moussante). Versez le tout dans un récipient, et c’est bon ! Attention : avant utilisation, secouez le récipient.
Recette n°5 : le gel douche à l’Aloe vera, pour une peau toute douce
Vous aurez besoin des ingrédients suivants :
15 ml de jus d’Aloe vera
4 g de sel fin
220 ml de base lavante neutre
Une quarantaine de gouttes d’huile essentielle de romarin
15 ml d’une base végétale nourrissante
Mélangez tous ces ingrédients dans l’ordre qui suit : base lavante, huile essentielle, Aloe vera, base nourrissante, et sel. Secouez le contenant (fermé) pour bien mélanger le tout. Votre gel douche est prêt à l’usage !
2 cuillères à soupe (environ 30 ml) d’huile lavante (au jojoba, à l’olive ou au pépin de raisin par exemple)
15 ml (une cuillère à soupe) de glycérine végétale
Une cuillère à café de gomme xanthane (il s’agit d’une substance végétale que l’on utilise pour épaissir les préparations)
Une dizaine de gouttes d’huile essentielle de lavande
75 ml d’eau tiède
Commencez par faire fondre le beurre de karité puis mettez-le dans un récipient en verre, que vous plongerez dans l’eau chaude pendant une dizaine de minutes. Mélangez le beurre jusqu’à obtenir un mélange lisse et homogène, sans morceau ni grumeau. Ajoutez l’huile et la glycérine et mélangez vigoureusement le tout. Versez la gomme xanthane sur la surface du mélange et laissez-la quelques minutes, jusqu’à ce qu’elle ait absorbé le liquide superflu et commencé à épaissir la préparation. Mixez le mélange. Ajoutez le reste des ingrédients (huile essentielle, eau tiède, etc.). Mixez à nouveau le tout jusqu’à obtenir un mélange parfaitement homogène, qui possède la texture et l’aspect d’une crème hydratante. Versez votre gel douche dans son contenant (propre et désinfecter). Il est maintenant prêt à utilisation !
Il ne vous reste plus qu’à savourer vos gels douches maisons. Une fois que vous êtes à l’aise avec leur fabrication, n’hésitez pas à tester d’autres recettes !
Quelques astuces pour créer des gels douches spéciaux
On ne le répétera jamais assez, mais les huiles essentielles possèdent de nombreuses vertus. Certaines d’entre elles sont efficaces pour lutter contre les problèmes de peau :
Arbre à thé
Lavande
Cannelle
Camomille romaine
Genévrier
Menthe poivrée
Etc.
Mais pas seulement : d’autres huiles essentielles, particulièrement recommandées à l’approche de l’hiver, permettent de renforcer le système immunitaire pour garder une bonne santé. C’est par exemple le cas de :
L’eucalyptus
Le ravintsara
Le thym
Le iaouli
Etc.
En bref, quel que soit votre besoin, il existe forcément une huile essentielle que vous pouvez incorporer dans vos gels douches maison pour y répondre !
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En France, plus de 8 millions de personnes souffrent d’acouphènes. Ces petits bruits peuvent revêtir des formes multiples et devenir de véritables handicaps dans la vie quotidienne. D’où viennent-ils exactement ? À quoi sont-ils dus ? Comment s’en débarrasser ? Nous répondons à toutes vos questions dans notre article !
Que sont les acouphènes exactement ?
Les acouphènes sont des bruits gênants que l’on peut entendre alors même ils n’existent pas dans la réalité. Les acouphènes peuvent ressembler à des bourdonnements, des sifflements, des cliquetis, des palpitations, de tintements… Ils peuvent concerner aussi bien une seule oreille que les deux, et l’on peut avoir l’impression que le son vient de nos oreilles, ou bien qu’il est à l’intérieur même de notre tête.
Les acouphènes peuvent apparaître de manière occasionnelle, régulière, répétitive ou bien continue. Dans tous les cas, ils sont un symptôme d’un dysfonctionnement plus ou moins préoccupant. Comme il est parfois difficile de faire le point, n’hésitez pas à consulter le site d’un audioprothésiste pour plus de précisions. Un audioprothésiste commercialise des appareils auditifs pour les personnes ayant des soucis d’audition.Vivason propose un guide sur les acouphènes.
Il existe deux grands types d’acouphènes :
Les acouphènes subjectifs, qui sont les acouphènes les plus courants : ils concernent 95 % des cas d’acouphènes. Ils ne peuvent être entendus que par la personne qui en souffre. Dans une majorité des cas, ces acouphènes sont associés à des troubles auditifs provoqués par un traumatisme acoustique, par une perte d’audition, par le vieillissement de l’oreille, par une gêne…
Les acouphènes objectifs, qui concernent environ 5 % des personnes touchées par des acouphènes en France. Il s’agit d’un son qui est émis par une partie du corps, et qui peut être entendu par l’oreille. Au contraire de l’acouphène subjectif, l’acouphène objectif a donc comme source un véritable bruit, produit par le corps. Cette particularité fait que les acouphènes objectifs peuvent être entendus par un médecin. Il faudra alors qu’un professionnel de santé comprenne d’où vient ce bruit pour proposer un traitement adéquat. Les acouphènes objectifs peuvent s’avérer très gênants au quotidien pour les personnes qui en souffrent.
Qu’est-ce qui cause les acouphènes ?
En fonction du type d’acouphène, les causes peuvent être multiples. Par exemple, les acouphènes subjectifs peuvent avoir pour origine :
Une exposition excessive au bruit (on parle de traumatisme acoustique)
Le vieillissement de l’oreille, qui entraîne une perte d’audition
Une diminution de l’audition à cause de la présence d’un bouchon de cérumen (la fameuse cire d’oreille)
Diverses maladies et infections de l’oreille (notamment les otites)
La prise de certains médicaments
Un traumatisme (accident, chute, dépressurisation en avion, plongée sous-marine…)
Une blessure au cou ou à la tête
Des troubles psychosomatiques (choc psychologique, anxiété ou stress intense, dépression…)
Une consommation excessive d’alcool
Etc.
À noter que la cause des acouphènes subjectifs peut être vraiment difficile à détecter.
Les acouphènes objectifs, eux, peuvent être dus à :
Un trouble vasculaire (hypertension artérielle ou obstruction du flux sanguin par exemple)
Une contraction musculaire
Etc.
En plus de ces causes, un certain nombre de maladies peuvent entraîner l’apparition d’acouphènes :
Le diabète
La sclérose en plaque
Des troubles de la thyroïde
La maladie de Ménière (une affection de l’oreille interne)
L’otospongiose (maladie qui affecte un petit os de l’oreille et entraîne une surdité progressive)
Une tumeur à la tête, dans le cou ou sur le nerf auditif
Etc.
Quels sont les symptômes des acouphènes ?
Les symptômes des acouphènes sont des bruits ressentis dans les oreilles ou bien dans la tête. Ils peuvent être très variés. Parmi eux, on retrouve :
Les sifflements, qui sont les manifestations les plus courantes des acouphènes
Les bourdonnements
Les pulsations
Les cliquetis
Les chuintements
Les bruissements
Les tintements
Les vrombissements
Etc.
En fonction de leur cause et de leur intensité, les acouphènes peuvent être accompagnés d’autres manifestations : nausées, douleurs, vertiges, perte d’audition, sensation de gêne dans les oreilles, vomissements, hyperacousie (intolérance à certains sons)…
Attention : si vous entendez une musique ou des voix alors qu’il ne semble y avoir aucune source de tels bruits autour de vous, il ne s’agit pas d’acouphènes, mais d’hallucinations auditives. Il ne faut pas confondre les deux !
Quelles sont les conséquences des acouphènes ?
En fonction des affections, les acouphènes entraînent une gêne qui peut être occasionnelle, temporaire ou bien continue. Le bruit entendu peut être plus ou moins dérangeant. Dans certains cas, il peut être vraiment handicapant et avoir des conséquences sur le bien-être et la vie au quotidien.
Les conséquences se font sentir à la fois sur la santé physique et mentale, et varient grandement en fonction des personnes : difficultés à s’endormir, insomnies, dépression, stress, tensions nerveuses, troubles de la concentration…
À noter que les acouphènes ont tendance à diminuer avec le temps, notamment parce que les personnes qui en souffrent finissent par s’y habituer petit à petit. C’est ce que l’on appelle l’habituation.
Qui sont les personnes les plus touchées par les acouphènes ?
Il existe différents types de populations exposées aux risques de développer des acouphènes :
Les personnes âgées, car le processus de vieillissement du système auditif peut entraîner une détérioration de l’audition, d’où l’apparition d’acouphènes
Les personnes souffrant des maladies citées précédemment
Les personnes exerçant un métier qui les expose au bruit (les camionneurs, les travailleurs industriels, les mécaniciens automobiles, les chanteurs et musiciens, les ouvriers du bâtiment et de la construction, etc.)
Les personnes habitants dans des milieux très bruyants
Les personnes se rendant dans des discothèques, des concerts, des festivals où le son est fort
Les personnes ayant l’habitude d’écouter des sons fort à l’aide d’un casque audio
Les hommes, qui sont plus touchés par les acouphènes que les femmes
Comment peut-on traiter les acouphènes ?
Aujourd’hui, il n’existe pas réellement de traitement pour soigner les acouphènes. Pour pouvoir les soulager, il faut consulter un ORL qui sera le professionnel le plus à même de poser un diagnostic. En trouvant les causes des acouphènes, il pourra vous proposer une prise en charge adaptée.
Si les acouphènes s’accompagnent d’une perte de l’audition, il peut être nécessaire d’envisager de porter des appareils auditifs. Vous pouvez trouver des appareils auditifs chez un audioprothésiste comme Vivason, que ce soit en boutique ou en ligne.
Si les acouphènes s’accompagnent de troubles de l’anxiété, des médicaments peuvent être prescrits de manière ponctuelle.
Enfin, aujourd’hui de nombreuses approches alternatives ont émergé pour aider les victimes d’acouphènes à mieux vivre au quotidien. Ces approches combinent traitements médicaux, relaxation et médecine douce. Hypnose, sophrologie, méditation, yoga, thérapies comportementales et cognitives sont autant de solutions qui peuvent être envisagées pour mieux supporter les acouphènes au quotidien.
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Vous vous posez des questions sur les prothèses dentaires ? Vous êtes au bon endroit : nous avons mené l’enquête pour vous sur ce sujet trop peu souvent évoqué. Voici donc les réponses aux 10 questions les plus fréquentes sur les prothèses dentaires !
Une prothèse dentaire, c’est quoi ? À quoi ça sert ?
Les prothèses dentaires sont de fausses dents, destinées à remplacer les dents naturelles manquantes ou abîmées. Il existe des prothèses qui sont destinées à remplacer seulement quelques dents absentes, quand d’autres remplacent toutes les dents, voire carrément les gencives.
Les prothèses dentaires répondent à des besoins d’esthétisme, mais aussi de santé : en effet, l’absence des dents peut provoquer un déséquilibre de la mâchoire et un affaissement des muscles du visage avec le temps, entraînant des douleurs articulaires et musculaires.
Enfin, les prothèses dentaires permettent de mieux manger, mastiquer et parler au quotidien.
Quels sont les différents types de prothèses dentaires ?
Il existe deux types de prothèses dentaires : les prothèses amovibles et les prothèses fixes :
Les prothèses amovibles, plus connues sous le nom de « dentiers », peuvent être facilement mises et retirées. Elles peuvent être partielles (pour remplacer plusieurs dents manquantes) ou complètes (pour remplacer toutes les dents de la mâchoire)
Les prothèses fixes, que l’on ne peut pas retirer une fois fixées dans la bouche. La couronne , le bridge, l’onlay et la facette sont des prothèses fixes.
Comment fabrique-t-on une prothèse dentaire ?
Le processus de fabrication se déroule en plusieurs étapes :
Votre dentiste prend vos empreintes dentaires ainsi que la mesure de votre mâchoire et de vos dents
Un professionnel crée un moule en plâtre de votre bouche, et y fixe les fausses dents avec de la cire. Il va ensuite créer une fausse gencive plus vraie que nature
La cire et le plâtre sont enlevés (la cire est remplacée par de l’acrylique), ce qui permet au prothésiste de polir et de finaliser la prothèse
L’appareil est envoyé à votre dentiste pour qu’il puisse vous l’installer et procéder aux éventuels ajustements nécessaires.
Qui peut se faire poser une prothèse dentaire ?
Contrairement aux idées reçues, il n’y a pas d’âge pour se faire poser une prothèse dentaire. Pour pouvoir bénéficier de ce dispositif, il faut avoir subi une perte assez conséquente de dents, disposer d’une structure osseuse propice et posséder des gencives saines.
En France, l’âge moyen des personnes qui ont recours à ce procédé pour la première fois est 65 ans.
Combien coûte une prothèse dentaire ?
Ce sont les chirurgiens-dentistes qui fixent les prix des prothèses. La Sécurité sociale rembourse une partie de ce prix, à hauteur de :
195,65€ pour un bridge
75,25€ pour une couronne
127,75€ pour un appareil dentaire entier
Malheureusement, les tarifs demandés par les dentistes sont souvent bien plus élevés que cela. Vous devrez donc vous rapprocher de votre mutuelle pour savoir si vous avez droit à un remboursement supplémentaire, et le cas échéant, en connaître le montant.
Pose d’une prothèse dentaire : est-ce qu’il existe des contre-indications ?
Oui, certaines situations rendent difficile, voire impossible, la pose d’une prothèse dentaire :
Les traitements qui portent atteinte aux défenses immunitaires (chimiothérapie par exemple)
Les traitements qui fragilisent la mâchoire
La grossesse
Des os de la mâchoire de trop mauvaise qualité ou trop peu nombreux
Etc.
En cas de doute, le mieux est de demander conseil à votre dentiste.
Comment se passe la pose d’une prothèse dentaire ?
En général, une prothèse dentaire fixe est posée sous anesthésie locale, dans un cabinet dentaire ou un bloc opératoire. Même si la cicatrisation est un peu longue, vous pourrez très vite vivre et manger normalement après l’opération.
Une prothèse dentaire amovible peut nécessiter la pose de crochets si elle prend appui sur les dents restantes de la bouche. Il n’y a pas besoin d’intervention chirurgicale ni d’anesthésie.
Éventuellement, quelques ajustements pourront être nécessaires, afin que la prothèse puisse parfaitement s’adapter à votre bouche.
Est-ce qu’il faut prendre des précautions avec sa prothèse dentaire ?
Oui, il faut prendre un certain nombre de précautions, qui diffèrent en fonction du type de prothèse (amovible ou fixe) dont vous disposez.
Une prothèse fixe nécessite d’aller régulièrement chez le dentiste (au moins une fois par an), afin d’effectuer un contrôle efficace de l’appareil.
Pour une prothèse amovible en revanche, les précautions sont plus nombreuses. Vous devrez :
Veiller à vous laver les dents soigneusement et très régulièrement
Éviter les chocs
Ne pas mordre dans des aliments trop durs
Ne pas garder constamment votre prothèse
Combien de temps dure une prothèse dentaire ?
Plus vous prendrez soin de votre hygiène bucco-dentaire, plus votre prothèse durera longtemps. En moyenne, une prothèse fixe dure 20 ans et une prothèse amovible dure entre 5 et 10 ans.
Comment entretenir sa prothèse dentaire ?
Pour les prothèses fixes, il vous suffit de vous laver régulièrement les dents, de veiller à avoir une bonne hygiène bucco-dentaire et d’aller chez le dentiste au moins une fois par an.
Pour les prothèses amovibles, vous pouvez :
Brosser la prothèse délicatement le soir, avec une brosse à poils souples. Attention à ne pas faire tomber la prothèse pour ne pas casser les dents (qui sont fragiles) !
Laisser l’appareil tremper la nuit dans un liquide nettoyant spécial (trouvable dans les commerces)
Brosser encore une fois délicatement les prothèses le matin
En cas de tartre, vous pouvez diluer du vinaigre blanc dans de l’eau et laisser tremper votre prothèse dans ce mélange pendant une nuit
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Elle vous empêche de dormir, vous gâche vos journées, vous met de mauvaise humeur, vous fait mal à la gorge… En bref, la toux est une vraie plaie ! Pour tenter de vous en débarrasser, vous êtes tenté(e) de faire un saut à la pharmacie la plus proche et de dévaliser le rayon des sirops. Le problème ? Si vous avez des accès de toux récurrents, tous ces achats finissent par représenter un coût certain… Pire encore : certaines personnes supportent mal les sirops industriels, trop peu efficaces et vecteurs d’effets secondaires indésirables et gênants. La solution ? Opter pour des antitussifs naturels ! Juste Bien a mené l’enquête pour vous et vous présente 10 antitussifs 100 % naturels, à adopter sans modération.
Antitussifs naturels : les ingrédients stars pour lutter contre la toux
En fonction de votre type de toux, des effets que vous désirez obtenir, ou tout simplement de vos préférences personnelles, il existe un grand nombre d’options différentes pour trouver l’antitussif naturel parfait. En voici une liste non exhaustive :
Le miel
Star parmi les stars des ingrédients magiques pour lutter contre la toux, le miel est bien souvent le premier réflexe lorsque l’on désire se tourner vers un antitussif naturel. Et pour cause : son doux goût sucré et sa texture onctueuse plaisent aux plus petits comme aux plus grands !
Il faut savoir que le miel est particulièrement efficace pour lutter contre les toux sèches. Vous pouvez soit avaler directement 2 à 3 cuillères de miel nature, soit les mélanger à du miel tiède, soit les ajouter à une tisane. Si vous choisissez cette dernière option, vous pouvez aussi ajouter de la cannelle ou du thym à la décoction pour encore plus d’efficacité.
Une dernière possibilité est de sucer le miel sous forme de bonbon. Le bonbon va non seulement apaiser votre gorge, mais aussi vous faire produire de la salive, ce qui empêche les quintes de toux.
Le thym
Le thym est un antitussif bien connu, notamment du fait de ses puissantes propriétés antiseptiques. Il est particulièrement efficace sous forme d’infusion. Voici un exemple de recette : plonger 4 branches complètes de thym dans 200 ml d’eau, porter le tout à ébullition, attendre que l’eau ait bien jauni pour arrêter. Laisser infuser et refroidir puis consommer tout au long de la journée.
Si vous le désirez, vous pouvez associer le thym à d’autres ingrédients pour démultiplier son efficacité : miel, réglisse, gingembre…
À noter que le thym peut avoir des vertus énergisantes. Évitez donc d’en consommer à partir de la fin d’après-midi si vous désirez bien dormir !
La guimauve
Particulièrement efficace en cas de toux d’origine virale, la guimauve permet non seulement de protéger votre gorge, mais également d’apaiser les diverses irritations.
On utilise ses racines en infusion, avec la même méthode que pour le thym, à raison d’une cuillère à café bien remplie de racines coupées.
Normalement, la toux devrait disparaître sous 3 ou 4 jours. Consultez votre médecin si elle persiste plus longtemps.
Le piment de Cayenne
On n’y pense pas assez souvent, mais le piment de Cayenne est très efficace pour lutter contre la toux, car il augmente l’apport de sang dans la région fragilisée et possède des vertus antidouleur. Cette combinaison de bienfait permet non seulement de soulager un peu la douleur des gorges irritées, mais aussi d’accélérer leur guérison.
Il est particulièrement efficace en sirop, combiné à du miel et du jus de citron.
Eucalyptus, cyprès vert et myrte rouge
On ne présente plus l’eucalyptus, un anti-inflammatoire surpuissant qui a la faculté de dégager les bronches et de lutter contre la toux, aussi bien grasse que sèche. Mais attention : à chaque eucalyptus ses bienfaits ! L’eucalyptus radié est particulièrement indiqué pour lutter contre la toux lorsqu’elle est accompagnée de maux de gorge et d’un nez bouché. Pour des bronches encombrées, préférez l’eucalyptus globuleux.
Le cyprès vert, lui, est très connu pour ses vertus anti spasme et anti toux, ce qui permet de calmer les toux sèches.
La myrte rouge, quant à elle, permet de décongestionner les bronches et le nez, et d’empêcher que votre toux sèche ne se transforme en toux grasse (ou tout du moins, de bien amoindrir sa durée).
Ces trois plantes sont à consommer sous forme d’inhalation. Vous pouvez tout à fait les combiner entre elles pour un maximum d’efficacité.
Le gingembre et les clous de girofle
Il s’agit là de deux des meilleurs alliés des personnes abonnées aux toux chroniques ! Antibactériens, antiviraux, antiseptiques, anti-inflammatoires… leurs vertus sont nombreuses ! Ils permettent de booster votre système immunitaire pour l’aider à lutter contre les infections, de réparer et de désinfecter les endroits endommagés, et de vous aider à rejeter le mucus qui s’accumule dans votre gorge.
Vous pouvez consommer le gingembre sous forme d’infusion ou de sirop, seul ou combiné avec du miel et du jus de citron.
Les clous de girofle s’utilisent en infusion, en huile essentielle, en pommade ou tout simplement en ingrédients à mâcher. Attention cependant : une surdose de clous de girofle peut être toxique pour le foie. Ne dépassez donc pas les trois tasses par jour pendant une semaine maximum.
La moutarde
Hé oui : la moutarde permet de soulage la toux ! Elle est en effet un excellent décongestionnant, qui s’utilise en cataplasme.
Pour cela, mélangez une dose de poudre de moutarde noire dans deux doses de farine, et ajoutez-y de l’eau jusqu’à obtenir une pâte consistante. Étalez la pâte sur un linge propre et appliquez ce linge sur votre poitrine. Attention : la moutarde ne doit pas être en contact avec la peau, car elle crée de la chaleur, ce qui peut brûler votre peau. Vérifiez souvent l’état de votre peau lorsque vous avez appliqué le cataplasme : si elle est rouge ou irritée, arrêtez tout de suite l’expérience.
Le plantain
Le plantain possède des vertus antispasmodiques et antihistaminiques. Autrement dit, il est efficace pour lutter contre les toux d’origine allergique. Quelques gouttes à diluer dans un verre d’eau sont très efficaces.
Attention : il faut respecter les doses prescrites très strictement. Le mieux est de demander conseil à un professionnel (pharmacien, médecin).
Les oignons
Dur à croire, mais l’oignon aide à lutter contre la toux ! En effet, ses propriétés irritantes aident à faire tousser, et donc à expulser plus rapidement tout le mucus qui s’est accumulé dans vos bronches. Mais ce n’est pas tout : ses propriétés anti infectieuses et anti inflammatoires ajoutées à sa forte teneur en vitamine C aident à accélérer la guérison.
Il s’utilise aussi bien en cataplasme qu’en infusion ou en sirop.
Pour l’infusion, faites bouillir un oignon entier (épluché) dans une casserole d’eau, laissez infuser et buvez.
Pour le cataplasme, hachez un oignon, déposez-le sur une compresse puis sur votre cou ou votre poitrine et laissez reposer pendant 30 minutes environ.
Pour le sirop, émincez un oignon, mélangez avec du miel et faites cuire au bain-marie. Couvrez et laissez mijoter 2 heures. Récupérez le sirop et prenez-en 1 cuillère à soupe toutes les deux ou trois heures environ.
La mélisse
Parfois, la toux peut être la manifestation de reflux gastriques, surtout si elle a lieu la nuit ou lorsque vous êtes allongé(e). L’eau de mélisse permet de lutter contre cette toux spécifique, et s’utilise en infusion ou en pommade.
En infusion, ajoutez une dizaine de gouttes d’eau de mélisse dans une tisane et buvez-la deux fois par jour.
En pommade, diluez quelques gouttes d’eau de mélisse dans une huile plus neutre et utilisez-la pour vous masser la poitrine et le cou.
Attention, la mélisse est contre-indiquée pour les enfants et les femmes enceintes ou allaitantes.
La réglisse
La réglisse possède des vertus expectorantes (qui aident à gérer la sécrétion et le rejet de mucus), antivirales et immunostimulantes. Elle est efficace aussi bien en cas de toux sèche que de toux grasse.
Il est conseillé de la consommer en gouttes, en sirop, en infusion ou bien en bonbons à sucer.
Attention : la réglisse est contre-indiquée pour les personnes souffrant d’hypertension, pour les femmes enceintes ou les femmes qui ont eu un cancer du sein. Elle peut également entrer en conflit avec certains médicaments ; il est donc important de vous renseigner avant d’en consommer. Enfin, il est déconseillé d’en prendre plusieurs semaines d’affilé, car elle peut entraîner une hausse de la tension artérielle.
Les différentes formes d’antitussifs naturels
Certes, pour un antitussif naturel efficace, il faut pouvoir disposer des bons ingrédients. Mais ce n’est pas tout ! La forme d’antitussif que vous utiliserez a également son rôle a jouer : certains sont plus efficaces en cataplasme, quand d’autres révèlent toutes leurs vertus en infusion, par exemple.
Les tisanes et infusions
Petit rappel : l’infusion est le nom à la fois d’une boisson et d’un procédé de fabrication. Plus précisément, c’est le fait de verser de l’eau chaude sur des végétaux et de laisser reposer le mélange. La tisane, elle, est un terme plus général, qui englobe plusieurs procédés : l’infusion, la décoction et la macération.
Les tisanes et les infusions sont particulièrement appréciées parce l’eau chaude permet d’extraire les saveurs, les principes actifs et les propriétés curatives des plantes. En plus, la chaleur de ces boissons est propice à la détente et à la relaxation…
Les bonbons
Les bonbons et pastilles ont pour caractéristique de vous faire baver, en activant le processus de salivation de la bouche, ce qui aura pour effet de lubrifier votre gorge. Et cette lubrification va agir comme une couche protectrice, qui va se déposer sur votre gorge et lutter contre l’irritation.
Les bonbons les plus courants contre la toux sont au miel et/ou au citron.
Les grogs
Traditionnellement, le grog est une boisson de marins composée de miel, de cannelle et de rhum. Mais vous pouvez évidemment rajouter ou remplacer certains ingrédients par d’autres !
Voici la recette traditionnelle, que vous pouvez adapter ensuite selon vos convenances :
faites bouillir 25 cl d’eau environ, puis versez-la dans une tasse (de préférence avec une anse pour pouvoir la tenir facilement entre vos mains sans vous brûler). Ajoutez-y 5 cl de rhum, deux cuillères à café de miel et une pincée de cannelle. Mélangez bien le tout et ajoutez-y le jus d’un demi citron pressé ; mélangez encore un peu, et c’est bon !
Attendez un peu avant de boire afin de ne pas vous brûler ; mais pas trop : le grog se boit bien chaud.
Pour lutter contre la toux, l’ajout de thym est particulièrement recommandé.
À noter que certaines personnes réalisent le mélange dans un bol, penchent leur tête au-dessus et se recouvrent d’une serviette pour pouvoir respirer les vapeurs du grog avant de le boire.
Les gargarismes
Le gargarisme consiste à se rincer la gorge avec un liquide sans l’avaler. Il est particulièrement efficace si votre toux est accompagnée de maux de gorge. Il est recommandé d’effectuer un gargarisme trois fois par jour.
Pour lutter contre la toux, vous pouvez utiliser de l’eau salée en gargarisme, tout simplement. Le gingembre est également efficace.
Les jus de fruits
Attention : on parle ici de jus de fruits frais, que vous aurez réalisés vous-même, PAS de jus de fruits achetés en grande surface.
Les fruits qui consistent les antitussifs les plus efficaces sont le citron, la carotte, l’ananas.
Non seulement les jus fabriqués à base de ces fruits possèdent des vertus antitussives, mais en plus ils sont plein de vitamines, ce qui permet de booster votre système immunitaire et de vous prévenir contre d’éventuelles infections futures !
Les inhalations
L’inhalation consiste à diluer quelques gouttes d’huile essentielle dans de l’eau chaude, puis d’en inspirer les vapeurs.
L’inhalation aide à ouvrir vos bronches, à vous détendre, ainsi qu’à faciliter l’expectoration (le rejet de mucus) et à apaiser les irritations.
Les huiles essentielles les plus efficaces contre la toux sont la camomille, l’eucalyptus, le thym, le cyprès vert et la myrte rouge.
Les cataplasmes
Un cataplasme est une pâte plus ou moins épaisse réalisée à partir d’ingrédients naturels et d’eau. Cette technique permet de faire en sorte que la peau absorbe les divers principes actifs naturels des composants, pour des effets rapides.
Pour lutter contre la toux, privilégiez les cataplasmes à base de farine de lin, de moutarde noire, ou encore de gingembre.
Les sirops
Les sirops naturels sont réalisés avec des principes actifs naturels (qui permettent de lutter contre la toux et ses différentes manifestations) et avec beaucoup de sucre, ce qui leur donne bon goût et séduit les parents comme les enfants, tout en soulageant les gorges douloureuses.
Les antitussifs efficaces en sirop sont le piment de Cayenne, l’oignon, la réglisse, le miel, les fleurs de marrube, les clous de girofle, les carottes, et même certains radis !
Faut-il prendre des précautions en utilisant ces antitussifs naturels ?
Oui ! Certains des ingrédients cités précédemment peuvent se révéler être des allergènes redoutables. Il est peut donc être très dangereux de les consommer (particulièrement en inhalation).
Veillez donc à bien vérifier que vous n’êtes pas allergique avant d’utiliser une substance contre la toux. En cas de doute, demandez conseil à votre pharmacien ou médecin.
Certaines substances sont déconseillées aux femmes enceintes ou allaitantes, et plusieurs des ingrédients pré-cités ne doivent pas être consommés trop fréquemment et de manière trop prolongée sous peine d’effets indésirables.
Vérifiez également que vous ne prenez pas de traitement qui pourrait entraîner des interactions avec les antitussifs naturels.
Enfin, ces conseils ne remplacent en aucun cas l’avis d’un professionnel de santé. Si votre toux persiste, qu’elle empire ou que rien ne semble pouvoir l’endiguer, consultez immédiatement votre médecin.
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