Originaire de l’Amazonie, le guarana est plus qu’une simple plante ; c’est un trésor de la nature souvent associé à l’énergie et à la vitalité. Mais qu’est-ce que le guarana exactement, et comment peut-il être intégré dans notre quotidien ? Petit tour de la question.
Qu’est-ce que le Guarana ?
Le guarana, scientifiquement connu sous le nom de Paullinia cupana, est une plante vivace de la famille des Sapindacées, originaire de l’Amazonie, particulièrement du Brésil. La plante est caractérisée par de grandes feuilles vertes et des grappes de fleurs jaunes, mais ce sont ses fruits rouges, qui ressemblent à des yeux en raison de leur coque noire partiellement ouverte, qui sont les plus distinctifs. Chaque fruit contient une graine noire entourée d’une chair blanche.
Bon à savoir : certains sites internet comme Nutrimuscle proposent du guarana biologique.
Description et Propriétés
Les graines de guarana sont très riches en caféine, contenant environ 4 à 6 % de leur poids en caféine, contre 1 à 2 % pour les grains de café les plus courants. Cette forte concentration en caféine est la clé de nombreuses propriétés stimulantes du guarana.
En plus de la caféine, le guarana contient une variété d’autres composés chimiques bénéfiques, notamment :
1. Tanins : Ils contribuent à l’effet astringent du guarana et jouent un rôle dans l’absorption lente de la caféine, ce qui prolonge son effet stimulant sans provoquer le pic d’excitation suivi d’un crash typique du café.
2. Saponines : Connues pour leurs propriétés anti-inflammatoires et leur capacité à stimuler le système immunitaire, les saponines peuvent également aider à améliorer la santé cardiaque.
3. Catéchines : Ces antioxydants, que l’on trouve également en grande quantité dans le thé vert, sont réputés pour leur potentiel à combattre les maladies cardiovasculaires et à favoriser la perte de poids.
4. Théobromine et Théophylline : Ces deux stimulants, apparentés à la caféine mais moins puissants, offrent des effets diurétiques et relaxants sur les muscles lisses, ce qui peut être bénéfique pour le traitement de l’asthme et d’autres affections respiratoires.
Avantages du Guarana
Augmentation de l’énergie et de la concentration : Grâce à sa richesse en caféine, le guarana est un excellent moyen de booster son énergie et d’améliorer sa concentration, surtout lors des baisses de forme en milieu de journée.
Propriétés antioxydantes : Les antioxydants contenus dans le guarana aident à neutraliser les radicaux libres dans le corps, ce qui peut contribuer à prévenir certaines maladies et à ralentir le processus de vieillissement.
Aide à la gestion du poids : Certaines études suggèrent que le guarana pourrait aider à accélérer le métabolisme, favorisant ainsi la perte de poids en augmentant la dépense énergétique.
Inconvénients du Guarana
Effets secondaires de la caféine : Bien que bénéfique en petites quantités, la forte concentration de caféine peut provoquer des insomnies, de l’anxiété, des palpitations cardiaques, et d’autres effets secondaires chez certaines personnes.
Interactions médicamenteuses : Le guarana peut interagir avec certains médicaments, notamment ceux pour la pression artérielle et les anticoagulants. Il est donc crucial de consulter un professionnel de santé avant de commencer un traitement à base de guarana.
Conseils d’Utilisation
Dosage : Il est recommandé de commencer par une petite dose, particulièrement pour les nouveaux utilisateurs, afin d’évaluer la tolérance personnelle à la caféine.
Moment de consommation : Pour éviter les troubles du sommeil, évitez de consommer du guarana en fin de journée. Le matin ou en début d’après-midi serait idéal.
Consultation médicale : Avant d’intégrer le guarana à votre routine, surtout si vous avez des conditions médicales préexistantes, il est sage de parler à un professionnel de santé.
Conclusion
Le guarana est un ajout intéressant et dynamisant à la palette des superaliments. Avec ses avantages notables et ses utilisations flexibles, il peut s’adapter à divers modes de vie et besoins énergétiques. Toutefois, comme avec tout stimulant, une consommation responsable est clé pour en tirer le meilleur parti tout en minimisant les risques associés.
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L’un des avantages du yoga, c’est que l’on peut en faire partout. Mais avez-vous déjà testé le yoga en plein air ? Ses bienfaits sont multiples… Petit tour d’horizon des bonnes raisons de faire du yoga en plein air !
Le yoga en extérieur vous aide à sortir de votre zone de confort
Les pratiquants de yoga sont les premiers à le reconnaître : au fil des séances quotidiennes (ou hebdomadaires), les yogi acquièrent des habitudes et des réflexes qui les aident à se concentrer de plus en plus facilement et rapidement pour pouvoir entrer en état de méditation.
Le problème, c’est justement que ces habitudes deviennent routinières, et qu’il peut devenir très difficile, même aux plus confirmés, de maintenir cette discipline mentale hors des cours de yoga programmés.
Bousculer la routine en pratiquant autrement permet donc d’améliorer votre appréhension du yoga et de mettre en place des mécanismes qui vous aideront à vous détendre n’importe où, n’importe quand.
Faire du yoga en extérieur, c’est aussi prendre le risque d’être vu(e) par d’autres personnes ; l’occasion de vous affirmer dans votre pratique et d’assumer vos activités. Autrement dit, le yoga en plein air décuple votre lâcher-prise et votre confiance en vous !
La nature vous veut du bien
Les bienfaits d’un petit séjour dans la nature sont multiples et variés :
Stimulation de la production de vitamine D grâce au soleil ;
Amélioration de l’humeur, diminution des symptômes et des risques de dépression ;
Amélioration de la qualité du sommeil ;
Réduction du stress ;
Augmentation de l’estime de soi ;
Réduction de la pression artérielle ;
Amélioration des fonctions cardiovasculaires (en particulier si vous effectuez une petite promenade dans la nature avant ou après votre séance de yoga) ;
Renforcement du système immunitaire ;
Amélioration des capacité de mémoire et de concentration ;
Et bien plus encore !
Pratiquer le yoga en extérieur vous permet donc de chouchouter votre corps et votre cerveau, et de démultiplier les bienfaits du yoga en tant que tel. Et c’est la science qui le dit !
Un bon moyen de démultiplier vos sens et votre concentration
Bien souvent, le yoga est pratiqué en groupe, dans une salle tout-à-fait silencieuse que seule la voix du professeur peut venir troubler. Les participants sont invités à se concentrer sur cette voix pour se recentrer et entrer en état de méditation.
Or, les bruits de la nature (eau qui coule, vent dans les arbres, chant des oiseaux, activités diverses des animaux,etc.) sont eux aussi des supports très efficaces pour trouver la quiétude indispensable pour pouvoir ensuite se détendre parfaitement.
Mais plus que cela, dans la nature ce sont tous vos sens qui sont mis à contribution : l’ouïe, mais aussi l’odorat, le toucher, la vue… D’ailleurs, les professeurs de yoga invitent souvent leurs élèves à contempler le ciel ou bien à caresser le sol avec la main pour stimuler leurs sensations et les aider à se connecter à la nature. Pratiquer le yoga en extérieur, c’est se concentrer sur soi mais aussi sur le monde qui nous entoure !
Où et comment pratiquer le yoga en extérieur ?
Il existe de nombreuses manières de faire du yoga en extérieur : seul, en duo ou en groupe, assis(e) sur un tapis, à même le sol ou contre un arbre, immobile ou sous forme de balades (qui vous permettent de vous déplacer et de tester différents endroits)… Tout est affaire de goût ; il vous suffit simplement de trouver la méthode qui vous correspond le mieux.
Attention, pratiquer le yoga en extérieur ne signifie pas nécessairement aller s’isoler au fin fond d’une forêt dense ; à chacun d’adapter sa pratique aux possibilités de son environnement ! Par exemple, vous pouvez choisir de faire du yoga dans une forêt, dans un parc, à la montagne, au bord d’une rivière ou d’un étang, au pied d’un arbre, dans votre jardin…
D’ailleurs, on peut tout à fait imaginer d’utiliser un salon de jardin spécialement aménagé pour la pratique du yoga en extérieur.
Enfin, en ce qui concerne les horaires, il faut savoir que le moment le plus souvent recommandé pour la pratique du yoga est le matin. Néanmoins, si vous choisissez un lieu fréquenté (comme un parc par exemple), mieux vaut éviter les heures de grandes visites pour pouvoir profiter d’un environnement calme et propice à la détente.
Et vous, êtes-vous adepte du yoga en extérieur ?
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De plus en plus, les personnes qui souffrent de troubles du sommeil se détournent des solutions médicamenteuses. En cause : des effets secondaires trop désagréables, une accoutumance trop importante, une dépendance qui s’installe… En conséquence, on observe un retour à des solutions 100 % naturelles, comme par exemple l’utilisation de plantes médicinales pour mieux dormir. Mais lesquelles utiliser exactement ? Comment ? À quelle fréquence ? Juste Bien vous dit tout !
6 plantes stars à consommer pour vous aider à dormir
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les plantes qui peuvent être utilisées pour aider à dormir ne sont pas très nombreuses. Il en existe en particulier 6 qui sont reconnues pour leur efficacité. Nous les avons retrouvées pour vous !
Attention : ne consommez JAMAIS de plantes ou de médicaments pour dormir sans avis médical et sans respecter les doses recommandées. Certaines personnes font l’objet de contre-indications, parfois sans même le savoir. Il est donc absolument essentiel de bien vous renseigner auprès de professionnels de santé avant de vous lancer !
La valériane
Qu’on se le tienne pour dit : la valériane a officiellement (et scientifiquement) été reconnue comme la plante la plus efficace pour soulager les tensions nerveuses, réguler l’anxiété et favoriser l’endormissement.
Elle est notamment capable de diminuer le temps d’endormissement, de favoriser les phases de sommeil profond et de réduire le nombre de réveils intempestifs durant la nuit.
Le plus souvent, la valériane se consomme sous forme de comprimés ou de gélules, à prendre avant de rejoindre votre matelas.
Attention : il s’agit d’une plante contre-indiquée pour certaines personnes (enfants de moins de 15 ans, femmes enceintes et/ou allaitantes) !
Le passiflore
Le passiflore est très apprécié des insomniaques en raison de ses propriétés anxiolytiques, sédatives et relaxantes. Il est notamment utilisé pour aider les personnes qui en souffrent à lutter contre les angoisses nocturnes et les cauchemars. Cerise sur le gâteau : le passiflore permet également de réduire les douleurs articulaires au cours de la nuit !
Le passiflore se consomme sous forme de gélules ou bien d’infusions, avec des extraits aussi bien secs que fluides.
La camomille
C’est probablement la plus connue des plantes utilisées pour favoriser le sommeil. Et pour cause : même l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) reconnaît son utilité et ses bienfaits !
Si la camomille est si appréciée, c’est parce qu’elle permet de se détendre, de calmer l’agitation nerveuse et donc de lutter contre les insomnies mineures.
Pour un maximum d’efficacité, il est conseillé de la consommer en tisane avant d’aller au lit.
Le tilleul
Le tilleul est une plante pleine de ressources : en fonction de la partie de la plante que vous consommez (fleurs, bourgeons, écorce, etc.), les effets ne seront pas les mêmes. Pour ce qui concerne le sommeil, il est recommandé d’utiliser les fleurs du tilleul.
Elles aident en effet les personnes qui en consomment à se détendre avant de s’endormir profondément. Le tilleul est également efficace pour lutter contre les insomnies et les divers troubles du sommeil.
Pour profiter des bienfaits du tilleul sur le sommeil, le mieux reste de consommer les fleurs sous forme d’infusion, tout au long de la journée ou bien avant d’aller dormir.
L’eschecholtzia ou pavot de Californie
Malgré son nom imprononçable, cette plante est en fait l’un de vos alliés les plus puissants pour un sommeil réparateur !
Elle est notamment connue pour favoriser l’endormissement, lutter contre la tension et le stress, prolonger le temps de sommeil, lutter contre les réveils nocturnes et soulager diverses douleurs. Un panel très complet !
Là encore, le pavot de Californie peut être consommé sous forme de gélules ou encore d’infusions d’extraits séchés ou bien fluides.
Attention : l’eschecholtzia, lui aussi, ne peut pas être consommé par les femmes enceintes et/ou allaitantes ainsi que par les enfants de moins de 15 ans.
La mélisse
Peut-être que vous le saviez déjà : la mélisse est principalement utilisée pour calmer les douleurs d’estomac et les troubles digestifs. Mais elle est également très efficace pour dormir !
Elle permet en effet de détendre les muscles du corps (notamment les muscles abdominaux et thoraciques), ce qui aide à lutter contre les crampes d’estomac, les spasmes et les douleurs abdominales qui pourraient empêcher de dormir. La mélisse est également très efficace pour aider les personnes qui en ont besoin à relâcher la pression.
Il est recommandé de la consommer sous forme de tisane, dans l’idéal préparée avec des extraits fraîchement récoltés : plus les extraits sont frais, plus les principes actifs sont efficaces et perceptibles. Bonne nouvelle : vous pouvez boire votre tisane à la mélisse plusieurs fois par jour !
Et si vous optiez pour des plantes d’intérieur pour mieux dormir ?
Lorsque l’on se renseigne sur les plantes qui aident à dormir, on pense souvent à celles qui se consomment, qu’il s’agisse de tisanes, d’infusions, de comprimés ou bien de gélules. Mais saviez-vous qu’il existe aussi certaines plantes qui aident à trouver le sommeil… Par leur simple présence dans une pièce ?
C’est par exemple le cas des plantes suivantes :
L’aloe vera, qui possède la faculté de purifier l’air d’une pièce en libérant beaucoup d’oxygène (c’est la NASA qui le dit !), ce qui permet de mieux respirer la nuit – et de mieux dormir…
Le jasmin, dont le parfum entêtant favorise la détente, le calme et l’apaisement, ce qui aide à s’endormir ;
La lavande, qui elle aussi permet aux dormeurs de se détendre et de relâcher la pression. Comme il s’agit surtout d’une plante d’extérieur, vous pouvez aussi opter pour quelques gouttes d’huile essentielle sur votre oreiller. Bonus : la lavande fait aussi fuir les moustiques l’été !
Le lys de la paix, dont le nom évocateur traduit sa capacité à filtrer les substances nocives qui peuvent être présentes dans une pièce (benzène, formaldéhyde, trichloréthylène et autres noms compliqués). Attention, cette plante n’aime pas beaucoup la lumière !
Et vous, quelles plantes utilisez-vous pour mieux dormir ?
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Les pucerons sont bien connus de tous les jardiniers, en herbe comme confirmés ! Chaque année, ces petits insectes envahissent nos plantations : potager, arbres fruitiers, rosiers, fleurs… Comme si cela ne suffisait pas, les pucerons s’attaquent à nos jardins à plusieurs espèces. Comment s’en débarrasser de manière naturelle, sans mauvais impact sur l’environnement ? Nous vous livrons toutes nos astuces !
Comment reconnaître les pucerons ?
Les pucerons, malgré leur très petite taille, sont facilement visibles à l’œil nu. En général, ils font environ 2 mm et peuvent être de diverses couleurs : verts, rouges, noirs, jaunes… Ils vivent en colonie et se cachent sous les feuilles des plantes ou le long de leur tige.
À noter que certaines plantes (comme les haricots, melons, tomates, framboisiers, groseilliers et pommiers par exemple) peuvent abriter en même temps plusieurs sortes de pucerons.
Assez discrets, ce sont en général les dégâts qu’ils infligent aux plantes qui font qu’on les remarque !
Pourquoi faut-il se débarrasser des pucerons ?
Si le puceron est autant perçu comme un indésirable, c’est parce qu’il peut infliger de nombreux dégâts aux plantes : jaunissement, feuilles qui se recroquevillent ou qui chutent beaucoup trop tôt, déformations des plantes, dessèchement des pousses…
Les pucerons se nourrissent en effet de la sève des plantes, ce qui les assèche et a tendance à épuiser leurs ressources. Comme ils sont particulièrement friands des jeunes pousses et des feuilles, ils les transpercent pour avoir accès au suc, ce qui affaiblit la plante de manière générale.
De plus, la salive des pucerons est toxique et irritante, ce qui abîme les végétaux. Enfin, les pucerons exècrent une substance, le miellat, qui non seulement attire les fourmis et les guêpes, mais est aussi particulièrement propice au développement de la fumagine, un champignon fort nuisible !
Qu’est-ce qui attire les pucerons ?
Le principal facteur de développement des pucerons est l’excès d’azote. En d’autres termes, essayez d’éviter le plus possible les engrais industriels très azotés, ou bien, le cas échéant, veillez à ce que votre compost naturel soit bien équilibré.
À noter que les pucerons sont actifs au printemps et en été, non en hiver.
6 astuces naturelles pour se débarrasser des pucerons
Il existe de nombreuses façons de se débarrasser des pucerons, sans pour autant recourir à des produits et des insecticides nocifs pour la santé et pour l’environnement. Voici un petit tour d’horizon des solutions possibles !
Avant de commencer, veillez à bien vous assurer que les insectes dont vous souhaitez vous débarrasser sont bel et bien des pucerons et non d’autres insectes innocents !
Miser sur les prédateurs naturels des pucerons
Il y a dans la nature de nombreux insectes qui seront ravis de vous aider à vous débarrasser de ces petites bêtes ! Les coccinelles, les chrysopes (que l’on appelle justement les « lions des pucerons »), les syrphes (qui ressemblent à de petites mouches rayées de jaune et de noir) ou encore les pince-oreilles sont les prédateurs naturels des pucerons. Ils vous aideront à vous en débarrasser de manière 100 % écologique.
Pour les attirer, il vous suffit de favoriser la biodiversité en plantant des fleurs qu’ils aiment – ou en les laissant pousser : pâquerettes, pissenlit, tanaisie…
Vous pouvez aussi construire de petits abris pour les aider à passer l’hiver dans votre jardin. Pour les coccinelles par exemple, il vous suffit de disposer des petits tas de feuilles et de branches mortes en divers endroits du jardin, de préférence isolés.
Pour les pince-oreilles, vous pouvez prendre un pot en terre cuite, que vous percerez au fond et remplirez de paille en veillant à ce que les brins soient bien maintenus dans le pot. Ensuite, vous n’avez plus qu’à déposer cet abri dans une haie ou à même le sol pour que les pince-oreilles viennent s’y réfugier ! Au printemps, vous pourrez déplacer les pots près des endroits où les pucerons ont élu domicile : les pince-oreilles iront les chasser et retourneront ensuite dans leur pot-abri.
Opter pour des plantes répulsives
Pour que cette technique soit efficace, il convient de bien adapter la plante répulsive au type de puceron :
Le puceron noir est partculièrement friand du cerisier, de la fève et du sureau. Pour le faire fuir, vous pouvez vous en remettre à des décoctions à base de tanaisie, d’ail ou bien à du purin d’ortie, de tomate ou de fougère.
Le puceron vert, lui, raffole des rosiers et des arbres fruitiers. Le purin d’ortie est très efficace pour le faire fuir une fois que la colonie s’est installée ; si vous souhaitez prévenir l’apparition du puceron, vous pouvez planter de la lavande autour des plantations que vous tenez à protéger.
De manière générale, vous pouvez également miser sur des plantes aromatiques et/ou des fleurs à l’odeur puissante, car les pucerons n’aiment pas les fragrances fortes : aneth, thym, menthe, basilic, anthémis, oeillets d’Inde, soucis, sarriette, absinthe… La capucine aussi est souvent recommandée pour lutter contre les pucerons, mais pas pour les mêmes raisons : en effet, cette plante attire les insectes ; la planter à proximité du potager permettrait de détourner leur attention…
Bon à savoir : si vous choisissez de planter des espèces répulsives, veillez à respecter la compatibilité des différentes plantes. De plus, attention à ne pas les coller aux plantations que vous souhaitez préserver ! Si elles sont trop proches, votre technique risque de ne pas fonctionner.
Utiliser la cendre de bois
Il existe plusieurs façons d’utiliser la cendre de bois contre les pucerons :
En badigeon : récupérez plusieurs grosses poignées de cendres de bois (dans la cheminée ou le barbecue par exemple) et passez-les au tamis pour ne récupérer que les plus fines particules. Ajoutez très peu d’eau et mélangez vigoureusement, jusqu’à ce que le mélange prenne la consistance d’une pâte à crêpes. Utilisez ensuite un pinceau et badigeonnez-en les troncs et les branches des arbres fruitiers. Veillez à bien insister, de manière à ce que la pâte pénètre dans les replis de l’écorce. Ce badigeon, lorsqu’il est appliqué à la bonne période (début mars), permet d’étouffer les œufs de pucerons et de réduire les futures colonies.
En projection : récupérez de la cendre fraîche et saupoudrez-en sur les colonies de pucerons afin de les éliminer. Si besoin, n’hésitez pas à renouveler l’opération au bout de quelques jours. Enfin, n’oubliez pas de porter des gants pendant cette opération !
À noter que la projection est particulièrement efficace pour faire fuir les colonies de pucerons déjà installées, tandis que le badigeon est préféré pour prévenir leur apparition.
Récupérer le marc de café
Le marc de café est un allié insoupçonné de nos maisons et jardins ; ses utilisations et bienfaits sont nombreux ! Pour ce qui concerne les pucerons, il vous suffit de récupérer le marc de café dans les capsules ou bien les cafetières. Faites-le sécher, puis répandez-le au pied des plantes à protéger. N’hésitez pas à renouveler régulièrement le marc de café pour qu’il reste efficace.
En plus de tenir à distance les pucerons, le marc de café sert également de répulsif pour les fourmis, les limaces et… Les renards ! Il constitue également un excellent compost et engrais naturel.
Faire appel au vinaigre blanc
L’avantage du vinagre blanc, c’est qu’il est utile contre tous les types de pucerons : verts, noirs, rouges…
Pour l’utiliser, il vous suffit de diluer 2 ou 3 cuillères à soupe de vinaigre dans un litre d’eau, puis, à l’aide d’un pulvérisateur, d’en répandre sur les plantes à protéger matin et soir.
Attention à bien respecter les doses recommandées et à ne pas abuser de cette solution, sous peine d’abîmer vos plantes ! Le vinaigre blanc est en effet un produit très acide. De même, ne pulvérisez pas votre produit lorsque vos plantes sont au soleil : vous les brûleriez.
Faites confiance au savon noir
En dernier recours, vous pouvez fabriquer une solution avec du savon noir : s’il ne pollue pas l’environnement, il est très efficace pour lutter contre certains insectes car il permet de les asphyxier.
Mélangez 3 cuillères à soupe de savon noir liquide dans un litre d’eau et mélangez. Pulvérisez ensuite le tout sur les plantes que vous désirez protéger, en insistant particulièrement sur le dessous des feuilles : les pucerons se cachent à cet endroit. Il est conseillé de réitérer l’opération plusieurs jours de suite pour venir à bout de la colonie.
Attention : il est recommandé d’utiliser cette solution en dernier recours, si toutes les autres n’ont pas fonctionné. Le savon noir asphyxie en effet toutes sortes d’insectes, y compris les plus utiles, comme les abeilles !
Et pour les plantes d’intérieur, alors ?
Les pucerons se repèrent sur les plantes d’intérieur de la même façon que dans le jardin : les feuilles de vos plantes jaunissent, elles se recroquevillent, sont toutes collantes à cause du miellat.
Pour éviter l’arrivée des pucerons, veillez à ne pas utiliser trop d’engrais – en cas de besoin, privilégiez les engrais organiques. Évitez aussi de trop arroser et surtout, ne laissez pas d’eau stagner dans les pots.
Malgré vos précautions, vos plantes d’intérieur sont elles aussi envahies de pucerons ? Pour vous en débarrasser, vous pouvez miser sur les infusions d’ail, le purin d’ortie, le purin de fougère ainsi que sur les solutions à base de savon noir.
Désormais, vous êtes paré(e) pour lutter contre les pucerons !
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Une maison infestée de moucherons, ce n’est vraiment pas agréable! Bien que la plupart de ces petits insectes volants ne risquent pas de vous faire mal, ils pourraient très bien jouer avec vos nerfs. Pire, certains types de moucherons s’amuseront à vous piquer.
Pouvant se reproduire à une vitesse folle, il vaut mieux lutter contre les moucherons dès que vous les voyez apparaitre. Si vous attendez un peu, vous aurez à faire face à un vrai bataillon dans quelques jours !
Il est nécessaire de bien connaître son ennemi afin de mieux le combattre. Il existe plus de 1700 espèces à travers le monde. Pas besoin d’élaborer 1700 stratégies différentes pour s’en débarrasser.
Certains moucherons particulièrement embêtants peuvent mordre, ce sont ceux qui interrompent notre sortie pêche en été. Néanmoins, les espèces qui élisent domicile dans la panière à fruits à la maison sont en règle générale inoffensifs.
La pleine saison des moucherons se déroule entre avril et août. C’est à cette période qu’ils s’installent et se multiplient.
Concernant les moucherons de nos cuisines, quelques règles de bases suffisent.
Les moucherons sont surtout attirés par la nourriture et l’humidité. La première étape pour s’en débarrasser, c’est de faire en sorte que plus rien ne les attire. Ensuite, il faudra éliminer les moucherons qui restent en se concentrant sur les points de notre maison sur lesquels ils adorent se poser et en mettant des pièges à d’autres endroits stratégiques.
Dans cet article, nous vous expliquons comment faire étape par étape.
Etape 1 : Préparer le terrain avant tout nettoyage
Pour commencer, il faut leur rendre l’accès impossible à tout ce qu’ils aiment : la nourriture et l’humidité.
1) Enlever toute trace de nourriture
Une cuisine sans moucheron est avant tout une cuisine qui ne laisse apparaitre aucune nourriture.
Si vous avez de la vaisselle sale, lavez-la. Fermez bien tous les paquets de nourriture que vous voyez et mettez-les au placard. Il est très important que tous les produits dans le placard soient placés dans des contenants fermés. En effet, l’inverse attirerait les moucherons, mais aussi d’autres insectes encore plus embêtants. Si vous avez des fruits, placez-les au frigo le temps du nettoyage. Lavez votre cuisine pour vous débarrasser de toutes les miettes qui pourraient rester. Et si vous avez des bouteilles ouvertes, bouchez-les.
Ensuite, passez aux poubelles. Elles attirent fortement les moucherons, qui viennent s’y nourrir et y pondre leurs œufs. Il est donc préférable d’avoir une poubelle à couvercle et de sortir les poubelles régulièrement, pour recommencer avec un sac vide et propre. Si vous avez un compost à l’intérieur, assurez-vous aussi qu’il soit aussi fermé par un couvercle et sortez-le encore plus régulièrement que vos poubelles, préférablement après chaque repas.
Si, après avoir jeté votre sac poubelle, il reste des moucherons sur la poubelle-même, il vous faudra la désinfecter. Pour cela, vous pouvez y verser une tasse d’ammoniaque. Laissez agir pendant environ une heure avant de rincer.
2) Eliminer l’humidité
Après la nourriture, l’humidité est votre ennemi n°2. Le temps du nettoyage, veillez donc à jeter tout fond d’eau que vous voyez, que ce soit dans des verres, dans les pots des plantes, dans l’évier ou dans les gamelles de vos animaux. En règle générale, à part pour les gamelles, évitez de laisser des fonds d’eau dans vos récipients. L’eau attire fortement les moucherons, qui viennent y pondre leurs œufs.
De plus, si vous venez de laver votre plan de travail, séchez-le bien.
3) Mettre dehors les plantes en mauvais état
Jetez un œil aux racines des plantes que vous conservez dans votre maison. Si elles sont en train de pourrir, mettez-les à l’extérieur.
Après avoir fait tout cela, vous pouvez passer au nettoyage en tant que tel. Plusieurs étapes sont à suivre pour se débarrasser des moucherons. Si vous les suivez toutes, vous serez débarrassés complètement des moucherons en quelques jours maximum.
Etape 2 : Se débarrasser des moucherons autour des fruits
Vos fruits devraient maintenant être au frigo, mais il faut préparer la corbeille à fruits pour qu’elle puisse les recevoir à leur sortie. Si la corbeille est sale, veillez d’abord à la laver.
Ensuite, pour s’assurer que les moucherons ne seront plus attirés par la corbeille quand les fruits seront revenus à leur place, vous pouvez y mettre l’un de ces trois éléments :
1) Des bouchons de liège
C’est le plus facile. Les moucherons détestent l’odeur du liège. Si vous en mettez dans votre corbeille de fruit, ils s’assureront donc d’y rester bien à l’écart.
2) Des clous de girofle
Mettez-en quelques-uns dans votre corbeille, ou piquez une dizaine d’entre eux dans un citron que vous placerez au milieu de vos fruits.
Vous pouvez aussi placer le citron piqué de clous de girofle à n’importe quel endroit stratégique de votre maison.
3) De l’ail
Si vous n’avez aucun des deux, vous pouvez encore vous jeter sur l’ail. Posez simplement des gousses d’ail non épluchées dans votre corbeille à fruits.
Etape 3 : Se débarrasser des moucherons dans les canalisations
Source d’humidité, les canalisations sont un des lieux privilégiés des moucherons pour y pondre leurs œufs à l’abri des regards. Là, ils y trouvent de l’eau stagnante et des dépôts de nourriture. Pour eux, c’est le paradis !
Le mieux est d’utiliser du bicarbonate de soude et du vinaigre pour bien nettoyer et désinfecter vos canalisations. Commencez par verser deux cuillères à soupe de bicarbonate de soude dans le trou d’évacuation de votre évier, et versez ensuite un verre de vinaigre. Ensuite, essayez de ne pas utiliser votre évier pour pouvoir laisser agir le produit pendant deux heures. Après cela, faites couler de l’eau chaude.
Si vous n’avez pas ces produits sous la main, vous pouvez aussi verser de l’eau bouillante dans votre évier, ou du marc de café. Répétez le processus régulièrement pour venir à bout de tous les moucherons. Continuez même quand il n’y en a plus, pour empêcher leur retour.
Ne versez surtout pas de l’huile. Bien que ça paraisse être une bonne idée pour les moucherons, ça ne l’est pas pour votre évier. En effet, l’huile risquerait de boucher le trou d’évacuation de votre évier. Et mieux vaut ne pas se séparer d’un problème en en créant un autre !
Etape 4 : Se débarrasser des moucherons sur les plantes
Ce qui attire les moucherons dans les plantes, c’est la terre humide. C’est un autre environnement très prisé par les moucherons pour y pondre leurs œufs.
Plusieurs possibilités s’offrent à vous pour tuer les œufs et faire en sorte que les moucherons n’y viennent plus.
1) En arrêtant de les arroser
Pas indéfiniment, évidemment. Juste le temps que la couche supérieure de la terre soit asséchée, jusqu’à environ un centimètre de profondeur. Cela tuera les œufs et enlèvera aux moucherons toute envie d’y pondre. Ensuite, arrosez votre plante de nouveau, pour qu’elle ne finisse pas par s’assécher à son tour !
2) En y plaçant des allumettes
Le soufre présent dans la tête de certaines allumettes ennuie fortement les moucherons. Munissez-vous donc d’allumettes contenant du soufre et plantez-en quelques-unes dans la terre, la pointe vers le bas.
3) En vaporisant du citron et du savon liquide
Mélangez quelques cuillères de savon liquide dans de l’eau, et ajoutez-y un peu de jus de citron. Si votre savon a déjà une odeur de citron, le jus de citron n’est pas nécessaire. Vaporisez ensuite le mélange sur votre plante, aussi bien dans la terre et sur ses racines que sur ses feuilles.
Ces trois actions devraient débarrasser vos plantes des moucherons. Si vous en trouvez encore après quelques jours, même après avoir mis en pratique chacune d’entre elles sur vos plantes, vous devriez penser à rempoter vos plantes.
Etape 5 : Créer des pièges à moucherons
Maintenant que vous vous êtes occupés des trois endroits préférés des moucherons, vous pouvez aussi vous assurer qu’ils ne reviennent pas en créant des pièges ou des répulsifs.
Voici plusieurs types de pièges.
1) Un piège au vinaigre
Le récipient idéal pour ce piège est un pot avec un couvercle dans lequel vous aurez percé quelques trous pour permettre aux moucherons d’y rentrer. Mais si vous n’en avez pas sous la main, vous pouvez aussi en fabriquer un avec une bouteille en plastique. Coupez le haut de la bouteille en plastique, aux alentours d’un tiers en partant du bouchon. Rentrez-le ensuite dans l’autre partie de la bouteille, la tête vers le bas. Collez les deux morceaux ensemble. De cette façon, les moucherons rentreront facilement dans la bouteille mais auront beaucoup de mal à trouver la sortie.
Une fois que votre récipient est prêt, remplissez-le de vinaigre et versez-y quelques gouttes de liquide vaisselle. Le meilleur vinaigre, dans ce cas, est le vinaigre de cidre. Mais si vous n’en avez pas, le vinaigre blanc fonctionne aussi très bien, tout comme le vin rouge. Quant au liquide vaisselle, si vous en avez un parfumé au citron, c’est encore mieux !
Remplacez le mélange tous les jours.
2) Un piège au vinaigre de cidre
Encore une fois, le vinaigre se révèle être un véritable produit miracle pour venir à bout des moucherons. Pour fabriquer ce deuxième piège, prenez un bocal en verre muni d’un couvercle. Percez le couvercle avec un tournevis ou bien un couteau. Versez un fond de vinaigre de cidre dans le bocal et revissez le couvercle troué.
Les moucherons seront attirés par l’odeur au point de rentrer dans le bocal, mais ils ne pourront pas en sortir.
Pour un maximum d’efficacité, vous pouvez mélanger au vinaigre de cidre quelques gouttes de citron, du sirop ou bien du vin rouge.
3) Des attrape-mouches
Les attrape-mouches, ces rubans colorés et collants, sont aussi très efficaces avec les moucherons. Leur couleur les attire et ils viennent s’y coller sans savoir en partir.
3) Le ventilateur
Les moucherons détestent les courants d’air. En plaçant un ventilateur dans votre cuisine, vous vous assurerez donc de tous les chasser.
Etape 6 : Prendre les bonnes habitudes
Maintenant que vous vous êtes débarrassés des moucherons, il faut penser à prendre les bonnes habitudes pour éviter qu’ils ne reviennent. En effet, une petite baisse de vigilance et ils pourraient revenir en nombre !
Pour éviter cela, il existe beaucoup de gestes très faciles à adopter au quotidien. Vous en aurez sûrement déjà compris certains en lisant cet article : ne pas laisser de la nourriture à l’air, fermer vos poubelles, éviter l’eau stagnante ou encore nettoyer le trou d’évacuation de votre évier régulièrement. Ces gestes ne valent pas seulement pour la durée du nettoyage, il faut les effectuer au quotidien !
En plus de ceux-ci, voici d’autres habitudes qui pourraient vous être utiles, et le tour sera joué !
1) Lors de l’arrosage des plantes
Pour éviter l’eau stagnante, le mieux est d’arroser vos plantes au-dessus de votre baignoire ou à l’extérieur. Le but est de faire couler l’excédent d’eau par les trous qui se trouvent en-dessous du pot, au lieu de le laisser couler dans le pot décoratif ou la soucoupe sur laquelle vous placez généralement votre pot. Ainsi, vos plantes sont suffisamment arrosées, et vous dites stop à l’eau stagnante.
Une autre astuce est de remplacer l’eau dans votre arrosoir par du thé noir, une fois sur deux.
2) Faites attention à vos fenêtres
Vérifiez que vos fenêtres se ferment bien et qu’il n’y ait aucun espace vide, ne serait-ce qu’un petit trou, suffisant pour que les moucherons rentrent dans votre maison.
3) Pensez à bien aérer
C’est prouvé : les moucherons raffolent des lieux chauds ; ils s’y sentent en sécurité pour pondre et prolifèrent. Pour vous en débarrasser, il est donc important d’aérer les diverses pièces de votre maison tous les jours. L’idéal est d’aérer vos pièces au minimum une demi-heure par jour – même en hiver !
Si vous craignez que les moucherons ne profitent de vos fenêtres ouvertes pour s’introduire chez vous, n’hésitez pas à installer des moustiquaires à vos fenêtres et ouvertures d’aération !
Etape 7 : Miser sur les répulsifs
Vous avez enfin réussi à vous débarrasser des moucherons, félicitations ! Mais pour être absolument certain(e) qu’ils ne reviendront pas, vous pouvez aussi utiliser des répulsifs naturels. En voici quelques exemples :
1) Répulsif à base d’eucalyptus
Cette astuce possède un double avantage : non seulement elle permet de faire fuir les moucherons, mais en plus elle apporte dans votre maison un agréable parfum de fraîcheur !
Pour en profiter, il vous suffit de faire bouillir pendant environ 15 minutes 150g de feuilles fraiches d’eucalyptus dans 5 litres d’eau.
Après avoir laissé le mélange refroidir, vous pouvez le filtrer et le verser dans un récipient pulvérisateur. Il ne vous reste plus qu’à pulvériser cette eau parfumée dans la maison, là où les moucherons sont le plus susceptibles de réapparaître !
2) Huiles essentielles
Les moucherons n’aiment pas trop les odeurs fortes, et sont particulièrement sensibles à certaines odeurs spécifiques. Voilà pourquoi l’utilisation d’huiles essentielles peut s’avérer plus qu’efficace pour lutter contre les moucherons ! Vous pouvez par exemple diluer quelques gouttes dans de l’eau pour pulvériser ensuite la solution aux endroits que vous jugerez nécessaires dans la maison, ou bien déposer quelques gouttes d’huile sur des tissus, des objets dans les pièces adéquates. Une autre solution consiste à déposer des gouttes d’huile essentielle sur des bouts d’éponge et à les déposer un peu partout dans la maison (en particulier dans la cuisine et/ou autour des poubelles).
Attention : avant d’utiliser les huiles essentielles, vérifiez qu’elles peuvent être inhalées sans problème et assurez-vous que personnes chez vous n’y est allergique ou ne présente de contre-indication. En cas de doute, demandez l’avis d’un professionnel de santé.
Voici quelques huiles essentielles particulièrement efficaces contre les moucherons :
L’huile essentielle de géranium (vous pouvez aussi décider de mettre des géraniums devant vos fenêtres pour décourager les moucherons d’entrer chez vous)
L’huile essentielle de menthe poivrée
L’huile essentielle de lavande, qui est aussi très efficace contre les moustiques
L’huile essentielle de citronnelle, elle aussi très efficace contre les moustiques
L’huile essentielle d’arbre à thé
3) Marc de café
Hélas trop mal connu, le marc de café est un véritable allié multifonctions de la maison ! Pour lutter contre les moucherons, vous pouvez l’utiliser de diverses façons :
Versez-en dans vos canalisations (vous pouvez le mélanger à du bicarbonate de soude et/ou du vinaigre blanc) puis faites couler de l’eau bien chaude par-dessus pour nettoyer et dégraisser vos canalisations
Versez-en dans un petit récipient et faites-le brûler. Attention, l’odeur peut surprendre au départ, mais la technique est redoutables : moucherons, moustiques et mouches détestent cette odeur, qui les fait partir très vite !
4) Savon noir
Pas de surprise : le savon noir, utilisé pour nettoyer la maison, dégage une odeur que les humains apprécient beaucoup, mais que les insectes détestent et fuient comme la peste !
Vous venez ainsi de transformer votre maison en un enfer pour les moucherons ! Vous devrez peut-être attendre quelques jours pour les voir disparaitre complètement, mais si vous gardez les bonnes habitudes, vous ne les reverrez plus de sitôt.
Dites-nous, quel endroit de votre maison attire-t-il le plus les moucherons ? Connaissez-vous d’autres astuces pour les faire fuir ?
Diplômée de l’Ecole de Journalisme de Louvain, Léonor Rogister s’est détournée du monde de l’actualité quotidienne pour s’intéresser aux news lifestyle. Amoureuse de la nourriture et des bonheurs simples, elle aime s’informer et informer sur tout ce qui touche au bien-être, peu importe la forme qu’il prend.
Léonor est expatriée depuis 2015 et a fait de plusieurs pays sa maison. Quand elle n’est pas en train de voyager, elle aime profiter du confort de son chez soi. Elle tient également un blog depuis des années sur lequel elle partage sa passion pour les voyages.
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Connu depuis la nuit des temps, le thym est une plante utilisée couramment dans la cuisine méditerranéenne. Mais connaissez-vous l’ensemble de ses propriétés? Véritable concentré de bienfaits pour la santé, le thym combat les infections respiratoires et la fatigue hivernale. Il aide également au confort digestif et possède des vertus extraordinaires pour la santé et la beauté. Découvrons ensemble les utilisations qu’il propose, et comment réaliser vos infusions à la maison.
Histoire du thym
Le thym est une plante médicinale aromatique bien connue, que l’on retrouve dans la plupart des jardins d’Europe occidentale et du Sud. Très courant à l’état sauvage et reconnaissable à son arôme puissant, il comporte de très petites fleurs de couleur blanche ou rose, regroupées en grappes denses pouvant atteindre 40 cm de hauteur. Particulièrement renommé pour ses puissantes vertus protectrices de l’organisme, il est utilisé depuis l’Antiquité pour combattre les infections, revitaliser et renforcer l’immunité.
Il n’est pas vraiment possible de dater avec précision les premières utilisations du thym. En revanche, on sait déjà que les Égyptiens et les Étrusques utilisaient du thym dans leurs onguents (parmi d’autres ingrédients) pour embaumer leurs morts. D’ailleurs, le terme « thymus » signifiait à l’époque « parfumer » !
Les Grecs et les Romains, eux aussi, l’utilisaient beaucoup. Les Grecs faisaient brûler du thym sur les places publiques, devant les autels dédiés aux dieux et dans les maisons car ils pensaient que cette plante décuplait le courage. Il était donc très courant de faire brûler des bottes de thym pour purifier l’air intérieur, d’en manger et d’en mettre dans les bains avant de partir au combat. Galien, le célèbre médecin grec à l’origine de la médecine européenne, affirmait que “le thym est propre à nettoyer les parties nobles du corps et à jeter hors toutes les fluidités de la poitrine”.
Les Romains, de leur côté, ont contribué à la large diffusion du thym en Europe. Ils s’en servaient surtout pour créer des produits cosmétiques (baume de jeunesse, eau de toilette…), comme purificateur (en brûlant du thym dans les maisons), et comme exhausteur de goût. Il n’était en effet pas rare de rajouter du thym dans les fromages et les liqueurs pour en développer les arômes.
Au Moyen-Age, le thym a conservé son aura d’amplificateur de courage. Ainsi, lors des Croisades, les femmes et les jeunes filles avaient coutume de broder des abeilles voletant près de branches de thym sur les pièces d’étoffes qu’elles offraient ensuite à leurs chevaliers. Les sorcières, elles, utilisaient le thym pour fabriquer des philtres d’amour. Par ailleurs, on pensait que pour favoriser le sommeil et lutter contre les cauchemars et les mauvaises humeurs, il suffisait de placer du thym sous les oreillers. Enfin, il n’était pas rare de placer des branches de thym sur les cercueils, car cette plante était censée faciliter le passage de l’âme vers l’au-delà.
Encore aujourd’hui, le thym est réputé pour ses nombreuses vertus médicinales. Dans le langage des fleurs, cette plante est synonyme de courage, de créativité, d’énergie physique et d’amour durable.
Principes actifs du thym
Le thym a la particularité d’être riche en huile essentielle, ce qui en fait une herbe aromatique très prisée. Les composants du thym sont assez nombreux, en particulier dans ses huiles essentielles : il contient du thymol, un anti-infectieux puissant, du carvacrol, un tranquillisant naturel, ainsi que d’autres phénols (géraniol, linalol, carvacrol), mais également des flavonoïdes, conférant aux plantes leurs propriétés antioxydantes.
Il existe plus de 300 variétés de thym différentes, parmi lesquelles le thym commun, le thym alpestre ou encore le thym citron. Si leurs propriétés médicinales diffèrent légèrement d’une variété à l’autre, leur point commun reste leurs bienfaits pour la santé et la beauté, grâce à cinq grandes propriétés que nous allons voir ensemble.
Les 5 grandes propriétés médicinales de l’infusion de thym
1. Un stimulant puissant du système immunitaire
Le thym est la plante protectrice de l’immunité par excellence. Naturellement riche en phénols, il possède des vertus antiseptiques, antibiotiques et antibactériennes majeures. Il est particulièrement efficace contre les affections des voies respiratoires fréquentes en hiver, liées au refroidissement et aux infections, et son action contre la bronchite a été démontrée lors d’études cliniques.
Il est fréquemment utilisé en tisanes pour aider à combattre le rhume, et en gargarismes pour calmer les maux de gorge et les infections orales. Ses propriétés expectorantes en font également un allié de choix pour traiter la toux : il fluidifie et aide à évacuer le mucus des voies respiratoires, facilitant ainsi la respiration. Bénéficiez de ses atouts en cas de bronchite, d’asthme, de grippe, de laryngite, sinusite ou encore de maladies plus sévères telle que coqueluche.
Le thym est une source intéressante de flavonoïdes, composés présents dans certaines plantes et reconnus pour leur pouvoir antioxydant. Il lutte ainsi contre les dommages causés par les radicaux libres, des molécules très réactives qui seraient impliquées dans l’apparition de certains cancers et de maladies liées au vieillissement. Il se situerait parmi les fines herbes les plus riches en antioxydants, d’où l’intérêt de le consommer régulièrement : pensez à lui dans la cuisine !
3. Un défenseur du système uro-digestif
Pour la digestion, le thym est une plante qui stimule l’appétit et soulage de nombreux maux. Ses propriétés carminatives aident à réduire les gaz, tandis que les phénols qu’il contient lui confèrent une action antispasmodique permettant de soulager les crampes intestinales. On recommande ainsi la tisane de thym en cas de digestion difficile, de ballonnements ou d’aérophagie. Ses actifs antiseptiques et antiparasitaires permettent par ailleurs de lutter contre les troubles digestifs tels que la diarrhée ou les vers intestinaux.
En ce qui concerne les infections urinaires, la tisane de thym aide à combattre les cystites, urétrites ou encore prostatites. Elle permettrait également de réguler le cycle menstruel.
4. Une source de minéraux essentiels
Le thym est habituellement consommé comme assaisonnement et donc en faibles quantités, alors que ses bienfaits pour la santé sont vastes et bien souvent sous-estimés. Le thym déshydraté est en effet une excellente source de fer, essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges dans le sang. Il joue aussi un rôle dans la fabrication de nouvelles cellules, d’hormones et de neurotransmetteurs. La quantité utilisée dans une tasse d’infusion de thym fournit environ 20% de la valeur recommandée.
La tisane de thym est également une excellente source de vitamine K, nécessaire pour la fabrication de protéines qui jouent un rôle dans la coagulation du sang et participant aussi à la formation des os. Deux cuillerées à café de thym séché fournissent ainsi 60% de la valeur quotidienne recommandée.
Il constitue une bonne source de manganèse, agissant comme cofacteur de plusieurs enzymes qui facilitent une douzaine de différents processus métaboliques, et de calcium, qui contribue à la bonne formation des os, des dents et au maintien de leur santé. Le calcium a aussi un rôle essentiel dans la contraction des muscles, dont le coeur.
Enfin, le thym frais est également une source de vitamine C, qui protège contre les infections, favorise l’absorption du fer contenu dans les végétaux et accélère la cicatrisation.
5. Un allié beauté de choix
Grâce à ses propriétés antiseptiques et cicatrisantes, l’infusion de thym peut être utilisée par voie externe pour lutter contre les infections de la peau, soigner les plaies et calmer boutons et rougeurs. Appliquez une compresse imbibée d’infusion pour soulager les coups de soleil, les petites blessures, écorchures et ecchymoses. Son efficacité est par ailleurs reconnue pour le traitement des mycoses, de l’herpès, et plus largement pour tout un panel d’affections cutanées, allant jusqu’au zona.
Pour l’ensemble des soins buccaux et dentaires, l’infusion de thym peut être utilisée en bain de bouche ou en gargarisme : elle soigne et conserve la bonne santé des dents et des gencives, lutte contre la mauvaise haleine et les caries.
Après le démaquillage, remplacez votre tonique habituel par une infusion refroidie pour un effet purifiant et vivifiant.
Pour tonifier l’ensemble du corps, versez un litre d’infusion de thym dans votre bain. Cela permet de soulager les rhumatismes, l’arthrite ainsi que les douleurs musculaires. Enfin, pour soulager le pied d’athlète et les ongles incarnés, trempez les pieds dans une bassine remplie d’infusion.
Concrètement, quels sont les bienfaits du thym pour la santé ?
Certes, nous venons d’évoquer les grandes propriétés médicinales du thym. Mais voici de manière plus précise ses effets sur la santé :
En tant qu’immunostimulant :
Il stimule les systèmes immunitaires qui ont tendance à se laisser souvent déborder par des bactéries et des virus
Il permet de lutter contre les infections respiratoires chroniques (pharyngite et laryngite, toux, bronchites…) ainsi que contre d’autres maladies plus sévères (coqueluche et mononucléose notamment)
Il aide à soigner et éviter les infections qui touchent la sphère ORL
Il permet de soulager les symptômes liés aux allergies respiratoires : rhume des foins, asthme, allergie au pollen ou au graminées…
Il aide l’organisme à se défendre contre les rhinites, les grippes, les sinusites…
Il contribue au renforcement du système immunitaire pour les personnes immuno-déprimées suite à des traitements lourds (cancers, tumeurs, etc.)
Il lutte contre les infections urinaires, les vaginites, les mycoses, les irritations vaginales
Il constitue un excellent désinfectant (à la fois pour les plaies et pour l’air des pièces de la maison par exemple)
En tant que combattant des indésirables :
Le thym aide à se débarrasser d’un certain nombre de nuisibles, comme les poux et la pédiculose ainsi que les moustiques.
En tant qu’antidouleur :
Le thym aide à soulager les douleurs ostéopathiques ou bien celles liées à l’arthrose et aux rhumatismes
Il permet également de soulager les névralgies (les douleurs liées aux nerfs), en particuliers lorsqu’elles sont liées à des problèmes articulaires, musculaires ou dentaires
En tant que cosmétique :
Le thym est excellent pour lutter contre les peaux grasses
Il aide aussi à combattre diverses affections liées à la peau comme l’acné, l’eczéma, l’herpès, la varicelle, les zonas…
En tant que stimulant et énergisant :
De manière générale, le thym est un bon remède à la fatigue chronique et au manque d‘énergie
Il aide aussi à soulager les effets de l’hypotension artérielle
C’est là une vertu moins connue, mais le thym est un excellent aphrodisiaque !
Focus sur la santé bucco-dentaire :
S’il est un domaine pour lequel le thym est particulièrement utilisé et apprécié, c’est bien l’hygiène de la bouche. Et pour cause : il s’agit d’une plante très efficace pour :
Soigner les infections et les douleurs de la gorge (angines, etc.)
Soulager les extinctions de voix et enrouements
Désinfecter la bouche
Soulager les aphtes, soigner l’herpès labial
Lutter contre les gingivites, les saignements et les faiblesses des gencives
Quel thym choisir?
Le thym se déploie en un grand nombre de variétés : il existe plus de 300 espèces différentes ! Chacune présentant un goût légèrement différent que les autres. À moins que vous soyez un expert dans le domaine, il se peut donc que vous ayez du mal à faire votre choix. Pour vous aider, voici trois variétés de thym qui sont délicieuses en tisanes.
1) Le thym commun
Le thymus vulgaris, ou thym commun, est sûrement la plus connue et la plus utilisée des variétés de thym. Très utilisé dans la cuisine provençale, on le retrouve notamment dans le bouquet garni. On l’utilise généralement dans les plats salés mais il est aussi très bon en tisane.
2) Le thym citron
Comme son nom l’indique, c’est un thym à la saveur citronnée. Sans surprise, il est donc délicieux en tisane!
3) Le thym orange
Même principe, mais on change d’agrume ! Si vous préférez la douceur de l’orange à l’acidité du citron, tournez-vous vers ce type de thym. Il donnera à vos tisanes un délicieux parfum d’orange.
Comment préparer votre infusion au thym?
Le thym peut être consommé frais, séché ou encore directement sous la forme d’huiles essentielles, réservée aux affections plus sévères.
Pour réaliser votre tisane, mettez environ 10 g de thym frais à infuser dans 1 litre d’eau bouillante. Laissez reposer pendant 10 minutes, filtrez et ajoutez éventuellement le jus d’un citron biologique et deux cuillères à soupe de miel. Si vous préparez votre infusion à base de feuilles de thym séchées, cela correspond à peu près à une dose de 8 cuillères à café. Buvez votre infusion de thym bien chaude, car la vapeur est efficace contre les maux de l’hiver. Il est conseillé de boire 3 à 4 tasses d’infusion de thym par jour, mais pas davantage.
S’il est frais, le thym peut tout à fait remplacer le thé ou le café du matin. Si vous ne disposez que d’huile essentielle de thym, vous pouvez en diluer 3 gouttes dans une tasse remplie d’eau bien chaude.
Dans le cas où vous disposeriez d’une source de thym frais à proximité, n’hésitez pas à le récolter et à le faire sécher. L’idéal est de faire sécher les branches au soleil puis de les disposer à plat sur un papier ou un treillage fin, dans un endroit sec et aéré. Quand le thym sera sec, conservez-le au frais et au sec dans une boite en fer ou un bocal en verre se fermant bien. Pour les moins chanceux, nous vous conseillons d’utiliser du thym séché certifié bio pour éviter de faire infuser toutes sortes de pesticides et produits chimiques que l’on aurait vaporisé sur le thym avant de l’emmener en magasin. Si vous optez pour une huile essentielle, le thym linalol est tout particulièrement recommandé, car il est à la fois puissant et polyvalent, et moins agressif pour la peau que le thym à thymol.
À noter que si vous désirez utiliser le thym pour soigner une affection, quelle qu’elle soit, mieux vaut attendre que les premiers symptômes soient déjà apparus. En outre, pour démultiplier les effets du thym, vous pouvez l’associer à d’autres épices ou plantes :
Les clous de girofle, l’origan et la cannelle pour leurs propriétés désinfectantes et antibactériennes, ce qui permet de lutter d’autant plus efficacement contre les maladies virales et bactériennes
Le curcuma et le gingembre, afin de renforcer l’efficacité de votre système immunitaire et votre vitalité
Comment utiliser le thym en cuisine ?
Il faut savoir que le thym frais a un goût plus fort que le thym séché. N’hésitez donc pas à partir en cueillette ! Une fois cueilli, le thym peut se conserver pendant plusieurs jours au réfrigérateur. De manière générale, pour conserver le thym tout au long de l’année, 3 solutions s’offrent à vous :
Le faire sécher : il vous suffit de l’attacher avec une ficelle pour lier les branches, puis de le suspendre dans une pièce aussi peu humide que possible. Une fois qu’il est sec, vous pouvez conserver votre thym dans des récipients en verre
Le congeler : vous pouvez aussi placer les feuilles de thym dans un sac de congélation avant de les mettre au congélateur
Le conserver dans de l’huile : mettez les feuilles de thym dans un bocal en verre et remplissez-le d’huile
Une fois ceci en tête, sachez que plusieurs options sont possibles pour cuisiner avec du thym.
1) Le thym en assaisonnement
Pour parfumer vos plats, rien de tel que de découper en petits morceaux votre thym pour en saupoudrer ensuite vos viandes, poissons et légumes. Si vous êtes adepte des barbecues, vous pouvez également jeter sur les braises quelques branches de thym. Elles parfumeront agréablement vos aliments lors de leur cuisson !
2) Le thym sous forme de bouquet garni
C’est là la technique la plus couramment utilisée. Le plus souvent, il suffit de lier quelques branches de thym à d‘autres herbes aromatiques : du laurier, du persil, de l’origan, du basilic, du romarin… Vous pouvez varier les plaisirs à l’infini !
Il vous suffit ensuite d’utiliser ce bouquet comme un sachet de thé : laisser-le tremper et infuser dans vos marinades, courts-bouillons, soupes, ragoûts, fumets… Plaisir gustatif garanti !
3) Le thym dans les sauces
Le thym est l’ingrédient roi pour accompagner les sauces à base de tomate ! Le résultat obtenu est idéal pour accompagner vos pâtes, pizzas, potages… Vous pouvez également le mélanger à des sauces à base de champignons : le thym agit alors comme un subtil exhausteur de goût !
4) Le thym en dessert
C’est moins courant, mais le thym peut aussi être utilisé pour parfumer les desserts comme les glaces, les bonbons, les sorbets… Vous pouvez soit décider de le laisser infuser (pour les crèmes ou les sorbets par exemple) ou bien choisir d’en émietter quelques branches sur vos tartes ou confitures, entre autres.
Faut-il consommer le thym avec précaution?
Si vous ne souffrez d’aucune maladie et ne suivez aucun traitement médicamenteux, le thym n’a pas de contre-indications particulières pour vous. Il vous faudra seulement veiller à ne pas boire plus de 3 ou 4 tasses d’infusion de thym par jour pour éviter des effets indésirables dus à une surconsommation. Lorsqu’il est consommé en trop grandes quantités, le thym peut en effet devenir toxique et irriter les muqueuses.
En revanche, les infusions de thym sont déconseillées si vous prenez des médicaments anticoagulants, si vous souffrez de diabète ou d’hypoglycémie ou si vous suivez un traitement contre l’hypertension. Dans ce cas, demandez l’avis de votre médecin avant d’en consommer en quantités importantes
De plus, la consommation du thym est déconseillée aux personnes souffrant d’allergies aux plantes de la famille des labiées (menthe, sauge, romarin, etc.) ainsi qu’aux enfant de moins de 6 ans. Pendant la grossesse et l’allaitement, les femmes devraient également éviter la consommation de tisane de thym car ce dernier pourrait mettre leur grossesse en danger.
Enfin, ne consommez jamais d’huile essentielle de thym pure par voie orale, et ne l’utilisez que diluée sur la peau.
En conclusion
Ainsi, le thym est l’une des plantes les plus puissantes en phytothérapie pour soutenir le système immunitaire, et gagne à être utilisé au quotidien. Pensez aux infusions en cas de coup de froid, mais également à l’intégrer en tant qu’aromate dans la cuisine, votre corps vous dira merci ! Avez-vous trouvé ces conseils utiles? N’hésitez pas à partager cet article et à nous faire part de vos astuces.
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L’ashwagandha est une plante médicinale ancienne. Classée comme adaptogène, elle aide principalement le corps à gérer le stress. Mais pas seulement
La liste de ses avantages pour le corps et la tête sont nombreux : Stimulation des fonctions cérébrales, réduction de la glycémie et du taux de cortisol, réduction des symptômes de l’anxiété et de la dépression, aide au sommeil etc ..
Y-a-t-il cependant des effets secondaires et des contre-indications ? Petit tour d’horizon de cette plante millénaire.
Ashwagandha : Une plante médicinale ancienne
L’ashwagandha est l’une des plantes les plus importantes de l’Ayurveda, une forme de médecine alternative basée sur les principes indiens de guérison naturelle.
Elle est utilisée depuis plus de 3 000 ans pour soulager le stress, augmenter les niveaux d’énergie et améliorer la concentration.
Ashwagandha signifie “odeur du cheval” en sanskrit, ce qui fait référence à la fois à son odeur unique et à sa capacité à augmenter la force.
Son nom botanique “Withania somnifera” est également connu sous plusieurs autres noms, notamment ginseng indien et cerise d’hiver.
L’ashwagandha est un petit arbuste aux fleurs jaunes, originaire d’Inde et d’Afrique du Nord. Son utilisation se fait à travers des extraits, de la poudre de racine ou de la poudre de feuille.
Ses nombreux bienfaits pour la santé sont attribués à sa forte concentration en withanolides, dont il a été démontré qu’ils combattent l’inflammation et la croissance des tumeurs.
Bienfaits de l’Ashwagandha
Elle réduit le taux de sucre dans le sang
Plusieurs études ont montré que l’ashwagandha pouvait réduire le taux de sucre dans le sang.
Une étude en éprouvette a révélé qu’elle augmentait la sécrétion d’insuline et améliorait la sensibilité à l’insuline dans les cellules musculaires.
En outre, plusieurs études sur l’homme ont suggéré qu’elle peut réduire les niveaux de sucre dans le sang chez les personnes en bonne santé et celles atteintes de diabète.
Lors d’une étude de 4 semaines sur des personnes atteintes de schizophrénie, les personnes traitées à l’ashwagandha ont vu leur taux de glycémie à jeun diminuer en moyenne de 13,5 mg/dL, contre 4,5 mg/dL pour les personnes ayant reçu un placebo .
Elle pourrait avoir des propriétés anticancéreuses
Des études menées sur des animaux et en éprouvette ont révélé que la withaferine – un composé de l’ashwagandha – contribue à induire l’apoptose, c’est-à-dire la mort programmée des cellules cancéreuses.
Des études sur les animaux suggèrent qu’elle peut aider à traiter plusieurs types de cancer, notamment le cancer du sein, du poumon, du côlon, du cerveau et de l’ovaire.
Dans une étude, des souris atteintes de tumeurs ovariennes et traitées avec de la withaferin seule ou en combinaison avec un médicament anticancéreux ont montré une réduction de 70 à 80 % de la croissance tumorale. Le traitement a également empêché la propagation du cancer à d’autres organes.
Bien qu’aucune preuve ne permette d’affirmer que l’ashwagandha exerce des effets similaires chez l’homme, les recherches actuelles sont encourageantes.
Elle réduit le taux de cortisol
Le cortisol est connu comme une hormone du stress. Les glandes surrénales le libèrent en réponse au stress, ainsi que lorsque le taux de sucre dans le sang devient trop faible.
Malheureusement, dans certains cas, le taux de cortisol peut devenir chroniquement élevé, ce qui peut conduire à une glycémie élevée et à un stockage accru des graisses dans l’abdomen.
Des études ont montré que l’ashwagandha peut aider à réduire les niveaux de cortisol.
Dans une étude menée sur des adultes souffrant de stress chronique, ceux qui ont pris un supplément d’ashwagandha ont vu leur taux de cortisol diminuer de manière significative par rapport au groupe témoin. Ceux qui ont pris la dose la plus élevée ont connu une réduction de 30 %, en moyenne..
L’ashwagandha combat le stress et l’anxiété
L’ashwagandha est peut-être surtout connue pour sa capacité à réduire le stress. Plusieurs études sur l’homme ont montré qu’elle en réduisait les symptômes et agissait également sur les troubles anxieux.
Lors d’une étude de 60 jours menée auprès de 64 personnes souffrant de stress chronique, les personnes du groupe ayant pris un supplément d’ashwagandha ont signalé une réduction de 69 % en moyenne de l’anxiété et de l’insomnie, contre 11 % dans le groupe placebo
Dans une autre étude de 6 semaines, 88 % des personnes ayant pris de l’ashwagandha ont signalé une réduction de l’anxiété, contre 50 % de celles ayant pris un placebo.
Elle peut stimuler la testostérone et augmenter la fertilité chez les hommes
Les suppléments d’ashwagandha peuvent avoir des effets puissants sur les niveaux de testostérone et la santé reproductive
Dans une étude menée sur 75 hommes infertiles, le groupe traité à l’ashwagandha a montré une augmentation du nombre et de la mobilité des spermatozoïdes.
De plus, le traitement a entraîné une augmentation significative du taux de testostérone.
Les chercheurs ont également rapporté que le groupe ayant pris cette plante présentait une augmentation des niveaux d’antioxydants dans le sang.
Dans une autre étude, les hommes qui ont reçu de l’ashwagandha contre le stress ont connu des niveaux d’antioxydants plus élevés et une meilleure qualité de sperme. Après 3 mois de traitement, 14 % des partenaires de ces hommes étaient tombées enceintes.
Augmentation de la masse musculaire et de la force
Des recherches ont montré que l’ashwagandha peut améliorer la masse musculaire et augmenter la force.
Dans une étude visant à déterminer un dosage sûr et efficace de l’ashwagandha, les hommes en bonne santé qui ont pris 750-1 250 mg de racine d’ashwagandha pulvérisée par jour ont gagné en force musculaire après 30 jours.
Dans une autre étude, les personnes ayant pris de l’ashwagandha ont enregistré des gains significativement plus importants en termes de force et de masse musculaire. Ils ont également doublé leur réduction du pourcentage de graisse corporelle, par rapport au groupe placebo.
Réduction du cholestérol et des triglycérides
En plus de ses effets anti-inflammatoires, l’ashwagandha peut contribuer à améliorer la santé cardiaque en réduisant les taux de cholestérol et de triglycérides.
Des études sur les animaux ont montré qu’elle diminue de manière significative les niveaux de ces graisses dans le sang.
Une étude sur des rats a montré qu’elle réduisait les niveaux de cholestérol total et de triglycérides de 53 % et de près de 45 %, respectivement.
Bien que des études contrôlées sur des humains aient rapporté des résultats moins spectaculaires, elles ont observé des améliorations impressionnantes de ces marqueurs.
Au cours d’une étude de 60 jours menée sur des adultes souffrant de stress chronique, le groupe ayant pris la dose la plus élevée d’extrait standardisé d’ashwagandha a connu une diminution de 17 % du LDL (mauvais cholestérol) et de 11 % des triglycérides, en moyenne.
Mémoire et fonction cérébrale
Des études en éprouvette et sur des animaux suggèrent que l’ashwagandha peut atténuer les problèmes de mémoire et de fonction cérébrale causés par une blessure ou une maladie.
Des recherches ont montré qu’il favorise l’activité antioxydante qui protège les cellules nerveuses des radicaux libres nocifs.
Dans une étude, des rats épileptiques traités à l’ashwagandha ont vu leurs troubles de la mémoire spatiale s’inverser presque complètement. Cela était probablement dû à une réduction du stress oxydatif.
Bien que l’ashwagandha soit traditionnellement utilisé pour stimuler la mémoire en médecine ayurvédique, quelques recherches sur l’homme ont été menées dans ce domaine.
Dans une étude contrôlée, des hommes en bonne santé qui ont pris 500 mg d’extrait standardisé par jour ont signalé des améliorations significatives de leur temps de réaction et de leur performance dans les tâches, par rapport aux hommes qui ont reçu un placebo.
Une autre étude de 8 semaines menée auprès de 50 adultes a montré que la prise de 300 mg d’extrait de racine d’ashwagandha deux fois par jour améliorait de manière significative la mémoire générale, l’exécution des tâches et l’attention.
Effets secondaires et contre indications de l’ashwagandha
Il n’est pas recommandé à certaines personnes de prendre de l’Ashwagandha notamment les personnes enceintes et celles qui allaitent.
Les personnes souffrant de maladies auto-immunes doivent également éviter l’ashwagandha, sauf autorisation d’un professionnel de santé. Il s’agit notamment des personnes souffrant d’affections telles que la polyarthrite rhumatoïde, le lupus, la thyroïdite de Hashimoto et le diabète de type 1.
De plus, ceux et celles qui prennent des médicaments contre les maladies thyroïdiennes doivent être prudentes lorsqu’elles prennent de l’ashwagandha, car il peut augmenter les niveaux d’hormones thyroïdiennes chez certaines personnes.
L’ashwagandha peut également réduire les taux de glycémie et de pression artérielle, de sorte qu’il peut être nécessaire d’ajuster les doses de médicaments si vous en prenez.
Mode d’utilisation de l’ashwagandha :
La dose recommandée d’ashwagandha dépend du type de supplément. Les extraits sont plus efficaces que la poudre brute de racine ou de feuille d’ashwagandha. N’oubliez pas de suivre les instructions figurant sur les étiquettes.
L’extrait de racine standardisé est généralement pris en gélules de 450 à 500 mg une ou deux fois par jour.
Il est proposé par plusieurs fabricants de suppléments et disponible auprès de divers détaillants, notamment les magasins d’aliments naturels et les magasins de vitamines.
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Ce que l’on appelle communément le système immunitaire correspond en fait à l’ensemble des mécanismes de défense mis en place par notre organisme. Il s’agit donc d’un élément absolument essentiel pour le maintien de notre bonne santé. Pourtant, il arrive parfois que la fatigue, le stress, la saison ou une maladie diminuent la performance et l’efficacité du système immunitaire. Voilà pourquoi nous vous présentons aujourd’hui tous nos conseils pour renforcer vos défenses naturelles !
Un remède naturel multimillénaire : les plantes
Il existe un certain nombre de plantes qui peuvent vous aider à booster votre système immunitaire. En voici une liste non exhaustive :
Le ginseng
Le ginseng est bien connu pour son action plus qu’efficace sur le système immunitaire. Il est même plébiscité par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) ! Plus précisément, il possède des propriétés immunostimulantes, ce qui lui permet de préparer l’organisme à lutter contre toute forme de stress et d’infection. Vous vous sentez fatigué(e) ? Rien de tel que le ginseng pour y remédier !
L’échinacée
Peu connue, l’échinacée est une racine qui possède de puissantes propriétés anti-infectieuses, anti-inflammatoires et immunomodulatrices. En d’autres termes, elle permet d’empêcher et de soigner les infections respiratoires, de stimuler votre système immunitaire et de soulager l’inflammation des muqueuses.
Le sureau
Connu pour être un antigrippal très efficace, le sureau permet de lutter contre tout un tas de maladies infectieuses, mais aussi de les prévenir en stimulant le système immunitaire. On peut aussi bien consommer sa sève que ses fleurs.
Le cyprès
Vous avez peur de tomber malade ? N’ayez crainte : le cyprès veille sur vous ! Cette plante agit en effet comme un véritable bouclier, qui empêche les virus de s’attaquer à vos cellules immunitaires puis les élimine. À utiliser aussi bien en traitement préventif que curatif !
Les feuilles d’orties regorgent de fer, de silice, de magnésium et de nombreux autres oligoéléments. Une petite soupe ou une tisane d’ortie peut donc se révéler d’une grande aide pour booster votre système immunitaire à l’approche de l’hiver !
L’éleuthérocoque
C’est vrai, son nom ressemble à celui d’un virus. Pourtant, vous auriez tort de les confondre : l‘éleuthérocoque possède des molécules, les éleuthérosides, qui stimulent l’organisme et le rendent d’autant plus performant.
Pour la petite histoire, sachez que les athlètes en URSS utilisaient souvent cette plante pour renforcer leurs capacités sportives…
L’andrographis
Plante originaire d’Asie, elle s’est illustrée au début du siècle dernier pendant l’épidémie de grippe “espagnole” où il semblerait qu’elle ait joué un rôle protecteur pour les populations locales. En 2004, des essais cliniques ont conclu que l’andrographis avait un effet bénéfique contre les infections respiratoires sans complications.
Les vitamines, boosters par excellence
Ce n’est plus un secret : les vitamines sont les meilleures alliées du système immunitaire. Parmi la multitude de vitamines qui existent, 4 d’entre elles sont particulièrement importantes :
La vitamine A, qui stimule la production d’anticorps par les lymphocytes et renforce la barrière naturelle de la muqueuse des intestins. Au naturel, on en trouve dans les épinards, les potirons, les carottes, l’huile de foie de poisson…
La vitamine C, antioxydant très efficace qui renforce l’activité des globules blancs. On en trouve dans les fruits et légumes, en particulier les agrumes (orange, pamplemousse, clémentine…).
La vitamine D, allié naturel de votre immunité puisqu’elle participe à accélérer la production d’anticorps et à détruire les microbes. Pour en fabriquer, optez pour les poissons gras (morue, harengs, maquereaux) et les bains de soleil !
La vitamine E, elle, est particulièrement efficace pour aider les personnes âgées (dont le système immunitaire vieillissant est un peu moins performant) à lutter contre les infections en stimulant la production de globules blancs. On peut en trouver dans les huiles végétales et les graines.
Les oligoéléments, une aide précieuse trop souvent oubliée
Il existe deux oligoéléments extrêmement efficaces pour booster votre système immunitaire :
Le zinc, qui protège les cellules de l’infection des microbes. On en trouve notamment dans les fruits de mer, le fromage, la volaille…
Le sélénium, qui stimule les globules blancs, ces soldats qui combattent les microbes dans votre organisme. On peut en trouver dans le jambon cuit et dans les champignons.
Des coups de pouce naturels pour aider dame nature à faire son œuvre
Certes, les plantes et les micronutriments sont très efficaces pour renforcer les défenses naturelles de l’organisme. Le gros avantage, c’est que l’on peut en consommer d’une multitude de façons différentes : en décoction, en inhalation, dans les repas de tous les jours, en pilules…
Mais si vous avez vraiment besoin d’un coup de pouce plus important, vous pouvez aussi opter pour les compléments alimentaires naturels. Certaines entreprises se sont spécialisées dans la production de tels compléments. Si vous désirez tester cette option, vous pouvez miser sur les solutions LPEV pour une bonne circulation.
À noter que la prise de compléments pour booster votre système immunitaire s’inscrit dans une démarche globale et régulière, qui consiste à adopter une bonne hygiène de vie pour améliorer et préserver votre santé.
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Avec les beaux jours qui sont déjà là, c’est le moment de profiter d’une terrasse extérieure. Et quoi de mieux que d’aménager son salon de jardin pour se réunir entre amis et profiter du soleil ? Il est important de se sentir bien chez soi pour que vos invités se sentent bien à leur tour. Pour aménager un salon de jardin de façon optimale, il existe quelques astuces. Des critères sont à prendre en compte et nos quelques conseils vous seront très utiles.
Bien choisir son salon de jardin
Il y a tellement de salons de jardin différents que l’on ne sait plus où donner de la tête. Pour commencer, il est primordial de connaître les dimensions de l’espace qui accueillera votre salon extérieur. Si vous disposez d’un espace limité, un salon de jardin bas sera idéal. Une petite table basse élégante, quelques poufs et un canapé deux places s’adapteront parfaitement aux petits espaces. En plus, il existe des salons de jardin bas encastrables ou emboitables. Selon vos préférences, vous pouvez aussi opter pour un ensemble extérieur de meubles de jardin pliables. Glissez les fauteuils sous la table ou pliez le tout et le tour est joué ! Pour optimiser votre petit espace extérieur, c’est le top !
Si la place n’est pas un souci pour vous, le choix s’élargit. Pour un espace où dîner régulièrement à l’extérieur, choisissez un salon de jardin classique, avec une grande table, des chaises ou un banc extérieur. Tout le monde pourra se réunir autour de la table pour profiter d’un repas entre amis ou en famille. Si vous souhaitez plutôt papoter et vous relaxer lors des soirées d’été, alors un salon canapé sera l’idéal. Un canapé d’angle ou un canapé méridienne accompagné d’une jolie table basse feront de suite beaucoup d’effet. Votre canapé sera votre meilleur ami cet été pour lire un bon bouquin, prendre l’apéro entre amis ou faire la sieste au soleil.
Soignez l’apparence de votre extérieur
Pour vous sentir bien dans votre salon de jardin, choisissez des matériaux qui vous plaisent et qui vous ressemblent. Le bois apportera un côté authentique et brut tandis que la résine tressée viendra donner une touche d’élégance moderne. Si vous recherchez un style bohème chic, le rotin et l’osier sont les matériaux adéquats. Une chaise de jardin façon ancienne donnera une touche romantique tandis qu’un fauteuil en plastique fera très 70’s. En revanche, il ne vous suffira pas d’installer votre mobilier de jardin pour créer un coin de bien-être. Pour cela, soignez l’apparence de votre extérieur. Apportez votre touche personnelle en ajoutant de la décoration. Variation de lumières, jeux d’eau ou de couleur : vous avez diverses possibilités.
Pour une ambiance relaxante, optez pour des bougies d’extérieur, des lanternes ou des guirlandes lumineuses. Pour créer un véritable coin zen, décorez votre extérieur avec des pas japonais, des plantes et des mini fontaines. N’oubliez-pas à apporter de l’ombre avec une tonnelle, une pergola ou un voile d’ombrage. Grâce à l’art de la table, soignez votre décoration jusque dans les détails. Des couverts colorés pour apporter une touche de gaieté, un ensemble de verres dépareillés pour un style original et décalé. Pour un style plus classique, choisissez plutôt des couleurs neutres.
Dans tous les cas, choisissez une décoration qui vous ressemble et soignez les détails. Votre salon de jardin deviendra votre havre de paix !
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Inutile de le nier : nous utilisons tous des substances pour fertiliser nos sols et embellir nos jardins. Mais cette préoccupation peut vite avoir un coût, à la fois économique et environnemental. Heureusement, il existe des alternatives à l’achat d’engrais chimiques : grâce à ces astuces 100 % naturelles, vous pourrez prendre soin de la nature et de votre porte-monnaie.
Avant de commencer, quelques rappels
Il existe deux sortes de matières fertilisantes : les engrais et les amendements. Souvent confondus, ils ont pourtant deux fonctions bien différentes :
D’un côté, l’engrais sert à apporter à la plante des éléments nutritifs pour lui assurer une bonne croissance. On peut le trouver sous forme liquide, solide ou bien gazeuse. Il n’agit que sur la plante, et n’a pas d’effet sur le sol.
De l’autre côté, les amendements, eux, améliorent la structure et l’état physique et chimique du sol. Bien souvent, on les incorpore directement lors de la plantation et du travail au sol.
Aujourd’hui, nous nous intéresserons aux engrais, qu’on peut diviser en deux catégories : les engrais organiques et les engrais minéraux.
Les engrais organiques sont des fertilisants issus de déchets organiques ; avant de pouvoir être assimilés par les plantes, ils doivent donc d’abord subir une décomposition et/ou une minéralisation. Autrement dit, les éléments nutritifs sont libérés progressivement. À noter : certains engrais (notamment les engrais verts) peuvent, tout comme les amendements, enrichir le sol en matière organique.
Les engrais minéraux, eux, sont des fertilisants d’origine minérale, très concentrés, produits chimiquement ou bien à la suite d’exploitation de gisements naturels. Leur action est très rapide, car une fois en contact avec les végétaux, ils peuvent directement libérer des minéraux assimilables.
Pour un jardin vraiment naturel, l’engrais organique semble donc être la solution idéale. Néanmoins, tout n’est pas tout blanc ou tout noir : certains engrais minéraux aujourd’hui sont étudiés pour respecter un maximum les sols et éviter le lessivage, tandis que l’abus d’engrais organique peut conduire à une pollution des eaux par exemple. Les maître-mots pour un beau jardin sont donc modération et parcimonie.
Les incontournables engrais naturels
Le compost
On ne le présente plus ! Composé de tous vos déchets organiques (pelures de fruits et légumes, tas de feuilles mortes, pain rassis, déchets de tonte et de taille, etc.), il suffit de le mélanger à la terre pour booster la fertilité du sol.
Vous pouvez l’arroser de temps en temps pour éviter qu’il ne se dessèche. Une astuce pour un bon compost est de mélanger les déchets verts et bruns, respectivement à hauteur de 40 et 60 % environ.
Le fumier
Issu des déjections d’animaux (urine, excréments) et mélangé à de la litière (des végétaux), ce fertilisant qui peut paraître peu ragoûtant n’en est pas moins redoutablement efficace.
Très riche en potassium, en phosphore et en azote, il stimule la pousse et la résistance des végétaux. Prenez garde néanmoins : chaque sol a ses spécificités, et tous les types de fumier ne lui conviennent pas. En outre, essayez de privilégier les fumiers dont vous pouvez vérifier la qualité (alimentation et conditions d’élevage des animaux).
Un trésor dans votre cuisine
Lorsque l’on essaie d’associer le concept de cuisine avec celui d’engrais, on pense le plus souvent au compost. Mais saviez-vous que tout un tas d’ingrédients et d’aliments peuvent aussi se révéler des engrais très efficaces ?
Le marc de café
Le marc de café est connu pour être un excellent engrais naturel. Riche en azote, en phosphore et en potassium, il est particulièrement efficace pour nourrir la terre et faire pousser de jeunes plants, ainsi que pour stimuler la croissance lors des rempotages. Les roses, les hortensias, les rhododendrons et les magnolias en sont particulièrement friands.
Il suffit d’en répandre une petite quantité au pied de vos plantes, ou bien de le mélanger à la terre en binant légèrement. Pour les semis, vous pouvez disposer une fine couche, qui aidera à la pousse. En outre, les vers et les mouches détestent l’odeur du marc de café, ce qui permettra de les tenir à distance.
Attention néanmoins à ne pas trop mettre de marc pour ne pas tuer les plantes. Également, veillez à ce que le marc soit bien sec lorsque vous l’utilisez.
Les résidus de thé
C’est une vieille astuce de grand-mère : pour avoir de belles plantes, arrosez-les avec des restes de thé froid. Pour cela, récupérez vos sachets de thé usagés, faites-les infuser dans un arrosoir en ajoutant régulièrement de l’eau pour qu’ils infusent peu à peu, puis arrosez vos plantes avec cette eau.
Les hydrates de carbone présents dans les sachets sont très appréciés des plantes vertes, en particulier des orchidées.
Les peaux de bananes
Ne jetez plus vos peaux de bananes ! Très riches en potassium, en phosphore et en calcium, elles contribuent à la floraison et à la reproduction des plantes. Il vous suffit pour cela de récupérer les peaux, de les découper en petits morceaux et de les enterrer au pied de vos plantes. Les rosiers y sont très sensibles, mais de manière générale cette technique est utile pour toutes les plantes fleuries, qui en tireront des couleurs éclatantes.
Certain(e)s choisissent aussi de laisser infuser dans de l’eau des morceaux de peau de banane pendant au moins trois jours, puis pulvérisent cette eau sur les plantes ou les semis.
Bien sûr, l’idéal serait d’utiliser des peaux de bananes issues de l’agriculture biologique, qui contiennent moins de produits néfastes pour votre santé et pour vos sols.
Les coquilles d’œuf
Les coquilles d’œufs sont très utiles au jardin : non seulement elles permettent de lutter contre certains indésirables (fourmis, vers de poireaux), mais elles constituent aussi un engrais très efficace, car elles sont très riches en calcium.
Or, le calcium est fondamental pour une bonne croissance végétale. Par exemple, s’il vous est déjà arrivé de voir vos fleurs de tomate pourrir sur leurs plants, c’est un signe que votre sol manque de calcium.
Ainsi, pour bien utiliser les coquilles d’œufs, laissez-les sécher au soleil puis écrasez-les avec un rouleau à pâtisserie ou un moulin à moudre. Ensuite, répandez la poudre ainsi obtenue au pied de vos plantes, en mélangeant bien la terre.
Bonus : réduites en petits morceaux, les coquilles d’œufs éloignent les limaces et les escargots.
Les engrais d’origine végétale
Dans cette catégorie, il faut distinguer les engrais d’origine végétale de l’engrais vert. Le premier correspond à l’utilisation de plantes décomposées que l’on répand sur les cultures, comme un engrais « traditionnel ». Le second en revanche désigne plutôt le fait d’utiliser les propriétés de plantes spécifiques.
L’engrais vert
Il s’agit de plantations qui ne sont pas censées être cueillies, mais plutôt utilisées pour enrichir le sol de matières organiques. Selon le cycle de la nature, ces plantes croissent, fleurissent, puis meurent et se décomposent dans le sol. Leur décomposition va ainsi apporter les éléments nécessaires à la bonne santé de votre terre.
La moutarde, la vesce, les phacélies, la luzerne, le trèfle violet, le sarrazin et le navet sont autant de plantes très utilisées en tant qu’engrais vert.
Le purin d’ortie
Avec cette technique, il faut être très précautionneux(se), puisque le purin d’ortie est à la fois un excellent engrais et un désherbant redoutable. La recette est la même, seul le temps de fermentation varie.
Pour fabriquer votre engrais, il suffit de ramasser des orties, de les hacher grossièrement puis de les faire macérer dans beaucoup d’eau (10 litres environ pour 1 kg de feuilles) et au soleil pendant 10 jours au moins. Ce qui différencie l’engrais du désherbant, c’est la fermentation : elle doit absolument être terminée pour que votre fertilisant soit efficace. Pour savoir si c’est le cas, il suffit de remuer avec un bâton la préparation : s’il n’y a pas de bulle, c’est bon, sinon il faut laisser reposer encore.
Une fois que la fermentation est terminée, filtrez la préparation pour garder uniquement la partie liquide, le purin, et arrosez vos plantes avec.
Attention, les orties sont extrêmement riches en azote, ce qui est très bon pour les plantes, mais peut finir par devenir toxique si vous en abusez, car elles gorgent le sol de nitrates. Il faut donc en utiliser en petites quantités. En outre, la préparation pouvant sentir extrêmement mauvais, il est conseillé de l’effectuer à l’écart de la maison et des endroits du jardin où vous vous trouvez souvent.
D’autres plantes pour un purin fertilisant
Même si le purin d’orties est le plus connu, d’autres plantes peuvent être utilisées selon le même procédé pour un engrais naturel efficace :
La consoude, souvent utilisée en relais des orties, très riche en magnésium, cuivre, zinc, potassium, bore, fer et manganèse. Elle convient parfaitement aux plantes qui ont besoin d’un sol riche et favorise la floraison.
Le tourteau de ricin est à la fois un engrais et un répulsif anti-rongeurs (rats, campagnols, taupes, mulots…). Riche en azote, potassium et phosphore, il nourrit les plantes et fertilise le sol. On l’utilise comme fumure sur les pelouses et dans les potagers. Mais attention : le ricin produit une substance très toxique pour vous et vos animaux, et sa préparation doit être soumise à des normes très strictes. Renseignez-vous bien au préalable auprès de votre fournisseur et n’en abusez pas.
Les algues vertes séchées
Cette technique est certes réservée aux personnes habitant en bord de mer, mais elle n’en reste pas moins diablement efficace. Effectivement, les algues regorgent de bonne choses : oligo-éléments (manganèse, fer, bore, soufre), magnésium, calcium, potasse, azote, vitamines, hormones de croissance, etc.
Particulièrement recommandées pour les jeunes plants, elles protègent également les légumes des insectes et stimulent les résistances aux maladies.
Vous pouvez en acheter ou bien, lors de votre prochaine promenade en bord de mer, ramasser les algues échouées sur le rivage. Dessalez-les ensuite en les rinçant au jet d’eau ou dans un bac, ou alors en laissant la pluie s’en charger en les étalant sur une zone vierge de votre jardin.
Puis faites-les macérer pendant 10 jours (environ 2 kg d’algues dessalées pour 10 litres d’eau) en les remuant souvent. Filtrez-les puis pulvérisez-en (en les diluant à 5%) ou utilisez-les pour arroser (dilution à 10%) vos plantes.
Attention, pour ne pas stériliser le sol, évitez les algues riches en iode (laminaires), et n’utilisez cette technique qu’une fois par an.
L’infusion d’herbe coupée
Riche en azote, l’herbe tondue est aussi un très bon engrais. Il suffit de remplir un seau de 25 litres avec de l’herbe coupée, de la couvrir avec de l’eau et de laisser reposer 3 à 5 jours. Diluez ensuite l’infusion (1 mesure d’infusion pour 9 mesures d’eau), et arrosez vos plantes avec.
Les engrais d’origine animale
Le guano
C’est une substance qui résulte de l’accumulation et du vieillissement de fientes d’oiseaux. En fonction des oiseaux, les types de guano sont différents, mais ils sont tous riches en azote, oligo-éléments et phosphore, ce qui permet de stimuler la croissance des plantes et d’enrichir le sol. L’effet du guano est très rapide.
Pour l’utiliser, il faut l’épandre sur le sol puis bien bêcher pour le faire pénétrer dans la terre, et arroser abondamment. On utilise environ 50 grammes pour 1 mètre carré.
La corne broyée
Engrais à l’action plutôt lente, riche en azote et en protéines, cet engrais s’utilise sur le long cours ; la plante peut donc puiser ce dont elle a besoin toute l’année. Elle est particulièrement efficace pour faire s’enraciner toutes sortes de végétaux (fleurs, légumes, pelouse, etc.).
Après avoir humidifié la terre, répandez la corne broyée puis bêchez pour bien la mélanger au sol. Attention à ne pas en abuser à cause de sa forte teneur en azote.
Le sang séché
Utilisé plutôt au printemps en raison de la rapidité de son action, cet engrais est très riche en azote et ne brûle pas les racines des végétaux. Il aide les plantes fleuries à avoir des couleurs éclatantes et stimule la croissance des feuilles des légumes.
Les rosiers, les plantes vivaces et les arbustes en sont aussi très friands. Trouvable sous forme de poudre, il suffit de le mélanger à la terre pour une action très rapide. Comme pour toutes les plantes riches en azote, veillez à ne pas en abuser.
Les farines d’arêtes de poisson
Regorgeant de phosphores, elles agissent surtout sur la croissance des racines, et favorisent la floraison ainsi que la résistance aux maladies, aux insectes et au froid.
Il n’y a aucun risque de brûlure et son action couvre le long terme. On peut l’utiliser sur tous types de sols, même calcaire : il suffit d’en répandre autour des plantes et de biner ensuite pour que la terre puisse l’assimiler.
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