Quoi de plus désagréable qu’un lit qui grince ? À peine commencez-vous à vous endormir que vous êtes réveillé(e) en sursaut par un sinistre bruit de grincement… Et c’est encore pire si vous dormez à deux ! Vous êtes confronté(e) bien malgré vous à ce problème ? Vous voici au bon endroit : nous vous partageons toutes nos solutions pour retrouver un sommeil calme et reposant et qui sait peut-être vous laisserez vous tenter au passage par un lit tendance Maisons du Monde !
Pourquoi faut-il éviter de dormir sur un lit qui grince ?
Certes, un lit qui grince est très gênant en raison des nuisances sonores qui apparaissent dès que vous faites un mouvement. Mais pas seulement : si votre lit grince, c’est aussi le signe que quelque chose ne va pas dans votre literie. Élément abîmé ou cassé, usure du temps… Il est peut-être temps de changer de matériel ! Ou pas… Avant d’en arriver à ce point, il existe quelques astuces pour lutter contre les grincements.
Pourquoi le lit fait-il du bruit ?
Bien évidemment, la première chose à faire pour se débarrasser des grincements de votre lit est d’en trouver l’origine. Avant d’accuser votre sommier ou votre matelas, quelques vérifications s’imposent :
Inspectez les pieds du lit : assurez-vous qu’ils soient bien fixés et le cas échéant, resserrez les écrous et les vis
Observez les montants : là aussi, veillez à ce qu’ils soient bien stables et fixés, et serrez les vis au besoin
Vérifiez l’espace avec la tête de lit : c’est peut-être elle qui bouge et qui produit les grincements ! Faites en sorte qu’elle soit bien calée contre le mur et si besoin, fixez-la directement à la paroi
Vous avez tout bien vérifié, mais le grincement ne vient pas de là ? Il est donc probablement dû à votre sommier, à votre matelas ou à votre cadre de lit.
Le matelas. Votre matelas est en mousse ? Alors le problème ne vient pas de là. En revanche, si tel n’est pas le cas, une bonne façon de vérifier s’il est à l’origine des grincements est de le mettre par terre et de rouler ou de sauter dessus. Efficacité garantie !
Le sommier. Comme pour le matelas, vous pouvez le poser par terre et appuyer dessus, ou bien grimper dessus et vous balancer pour déterminer avec précision l’origine des grincements. En général, le bruit vient soit des parties en bois ou en métal qui frottent, soit des ressorts.
Le cadre de lit. Appuyez légèrement sur les différentes parties du cadre puis secouez le tout délicatement. Le bruit peut venir de pièces branlantes car mal serrées.
Comment remédier à un lit qui grince ?
En fonction de l’origine du problème, les solutions à appliquer pour vous débarrasser des grincements de votre lit divergent.
Si c’est le matelas qui grince
Vous pouvez tout simplement essayer de retourner le matelas, en dormant désormais là où vous mettiez auparavant vos pieds. En fait, les matelas à ressorts peuvent s’user particulièrement vite à cause du poids du corps. Pour éviter les grincements intempestifs, vous pouvez donc tout simplement répartir le poids de votre corps en retournant votre matelas tous les 6 mois environ.
Si c’est le sommier qui grince
Vous en êtes sûr(e) à 100 % : ce sont les pièces ou les lattes du sommier qui grincent ? Alors il va vous falloir lubrifier votre sommier pour vous débarrasser de ces bruits parasites. Il existe 3 produits miracles pour vous y aider : le talc pour bébé, la cire d’abeille et le savon.
Il vous suffit d’appliquer une de ces substances sur les jointures qui grincent. Le talc et le savon sont à utiliser dès que le bruit se fait entendre. La cire, elle, est à appliquer une fois tous les 6 mois. Ces techniques valent aussi bien pour les sommiers en bois que pour les sommiers en métal !
Si c’est le cadre du lit qui grince
Dans ce cas, vous allez devoir bricoler un peu ! Utilisez un tournevis et une clé Allen pour resserrer les vis, boulons et diverses pièces du cadre qui empêchent votre lit d’être parfaitement stable. Normalement, les bruits de grincement devraient cesser aussitôt. Si tel n’est pas le cas, il vous faudra peut-être changer certains boulons ou pièces.
Comment faire si les grincements se poursuivent ?
Si malgré toutes ces précautions les bruits continuent, alors il vous faudra probablement changer votre literie. Si c’est le matelas qui est en cause, vous pouvez opter pour un matelas en mousse ou en fibres naturelles, qui ne grincent pas.
Si les grincements étaient dus au sommier ou au cadre, alors veillez à investir dans de la bonne qualité, pour vous assurer d’avoir des équipements qui durent longtemps.
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Vous avez tendance à mal dormir ? Vous ne vous sentez pas à l’aise dans votre chambre ? C’est peut-être parce qu’elle n’est pas suffisamment saine. Pourtant, avec plus de 8 heures passées dedans par jour, votre chambre est l’un des endroits de la maison auxquels il faut le plus prêter attention. Découvrez toutes nos astuces pour disposer d’une chambre parfaitement saine !
Veillez à la qualité de l’air
Première règle pour disposer d’un air sain dans la chambre : aérez fréquemment. S’il peut s’agir là d’une évidence pour certains, sachez que peu de personnes prennent le temps de bien aérer – et surtout d’aérer de manière efficace – leur chambre.
Pour un bon renouvellement de l’air, ouvrez en grand les fenêtres pendant 15 minutes par jour minimum. Cette mesure permet de prévenir les bactéries tout en éliminant les acariens et en chassant certaines substances polluantes.
Attention : même s’il est nettement plus facile d’ouvrir les fenêtres d’une pièce par beau temps, il est nécessaire d’aérer tous les jours, qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige !
Pour purifier l’air, vous pouvez également opter pour un purificateur d’air. Il s’agit d’un appareil particulièrement indiqué si vous souffrez d’asthme ou d’allergie, puisqu’il élimine les substances d’une pièce pouvant être allergisantes.
Vous êtes adepte des solutions naturelles ? Vous pouvez sans problème vous tourner vers des plantes dépolluantes, qui contribuent à assainir l’air des petites pièces (jusqu’à 10 m² environ). En plus, certaines d’entre elles ont des propriétés qui permettent de lutter contre des troubles spécifiques. C’est le cas par exemple de l’anthurium, qui agit contre l’ammoniac, ou du chlorophytum, qui absorbe le monoxyde de carbone.
Remarque : le fait de dormir avec des plantes est souvent décrié, notamment parce qu’elles rejettent du CO2. Mais n’ayez crainte : tant que vous ne transformez pas votre chambre en jardin d’hiver, et que vous évitez les plantes auxquelles vous pouvez être allergique, vous ne courez aucun danger !
Faites la chasse à la poussière
Certains endroits de la chambre sont de véritables nids à poussière et à acariens, sans que l’on ne s’en rende forcément compte. C’est le cas par exemple :
Des rideaux
Des peluches d’enfants
Des ampoules
Des cadres photos
Des tapis
Etc.
Pensez à les laver régulièrement !
Prenez grand soin de votre lit
On ne s’en rend pas toujours compte, mais la nuit, on transpire beaucoup ! Ce qui transforme nos draps et nos taies d’oreillers en véritable refuge pour microbes. Pour une chambre saine, il vous faudra donc laver et changer régulièrement (tous les 15 jours) vos draps, housses de couettes et taies d’oreillers.
Pour un lavage efficace, optez pour une machine à 60°C. Dans l’idéal, il est aussi conseillé de secouer couettes et oreillers tous les jours, afin de réduire les allergènes, mais aussi d’aérer le lit quotidiennement en roulant par exemple la couette au pied du lit pendant quelques minutes.
Mais ce n’est pas tout : avec le temps, les poussières et les acariens affluent dans le matelas, ce qui peut provoquer des gênes respiratoires, voire des allergies. Il est donc conseillé de changer de matelas tous les 10 ans environ. Veillez à choisir des matelas parfaitement adaptés à votre sommeil pour vous permettre de passer une bonne nuit, comme les matelas Emma par exemple.
Par ailleurs, il est très fortement déconseillé de dormir sur un matelas posé à même le sol : comme il n’y a absolument aucune aération entre le sol et le matelas, les moisissures en profitent pour se développer.
Privilégiez des produits d’entretien naturels
Les produits d’entretien artificiels ont tendance à dégager des substances irritantes. Pour nettoyer votre chambre, vous pouvez revenir aux produits naturels : vinaigre blanc, savon noir, bicarbonate de soude… Ils sont aussi efficaces que les produits du supermarché et nettement meilleurs pour la santé !
Et pour parfumer, oubliez l’encens, les désodorisants et les bougies parfumées qui dégagent de nombreuses substances nocives, et préférez les huiles essentielles. En plus, la plupart d’entre elles possèdent de nombreuses vertus thérapeutiques ! En voici quelques-unes :
La lavande est réputée pour ses propriétés calmantes, sédatives et antidépressives
L’ylang ylang possède des vertus aphrodisiaques et calmantes
La mandarine verte permet une relaxation neuromusculaire durable
Le basilic, la marjolaine, la sauge sclarée et la camomille favorisent un bon sommeil réparateur
Attention : avant d’utiliser de l’huile essentielle, renseignez-vous bien sur les contre-indications et les précautions à prendre. Par ailleurs, essayez de ne pas diffuser de l’huile essentielle plus de 15 minutes par jour : il s’agit de produits avec de véritables vertus thérapeutiques, et non d’un parfum d’ambiance. À utiliser avec modération, donc !
Trouvez la bonne température
Personne n’aime se lever ou se coucher dans une pièce froide. Pour autant, il ne faut pas surchauffer votre chambre !
La température idéale pour dormir se situe aux alentours de 18°C. Ça peut paraître frais, mais c’est scientifiquement prouvé : au-delà, nous transpirons davantage et la qualité de notre sommeil baisse. Il s’agit donc simplement d’une habitude à prendre !
Limitez les appareils électriques
Les appareils tels que les ordinateurs, téléphones, tablettes, télévisions, etc. sont à éviter dans la chambre, car ils génèrent des ondes électromagnétiques qui ont un impact sur notre système nerveux.
Il est donc conseillé, dans l’idéal, d’éviter d’en mettre dans la chambre et de privilégier d’autres pièces dans la maison. Mais si vraiment ils sont indispensables, vous pouvez trouver quelques astuces :
Placer la télévision le plus loin possible de votre tête
Opter pour un réveil à piles
Ne pas recharger votre téléphone pendant la nuit
Éviter toute prise électrique branchée près de votre tête
Vous souffrez d’insomnies ? Lorsque vous vous levez le matin, vous êtes très fatigué(e) ? Ces troubles sont peut-être dus à une trop grande quantité d’appareils dans votre chambre. Méfiance !
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En France, plus de 8 millions de personnes souffrent d’acouphènes. Ces petits bruits peuvent revêtir des formes multiples et devenir de véritables handicaps dans la vie quotidienne. D’où viennent-ils exactement ? À quoi sont-ils dus ? Comment s’en débarrasser ? Nous répondons à toutes vos questions dans notre article !
Que sont les acouphènes exactement ?
Les acouphènes sont des bruits gênants que l’on peut entendre alors même ils n’existent pas dans la réalité. Les acouphènes peuvent ressembler à des bourdonnements, des sifflements, des cliquetis, des palpitations, de tintements… Ils peuvent concerner aussi bien une seule oreille que les deux, et l’on peut avoir l’impression que le son vient de nos oreilles, ou bien qu’il est à l’intérieur même de notre tête.
Les acouphènes peuvent apparaître de manière occasionnelle, régulière, répétitive ou bien continue. Dans tous les cas, ils sont un symptôme d’un dysfonctionnement plus ou moins préoccupant. Comme il est parfois difficile de faire le point, n’hésitez pas à consulter le site d’un audioprothésiste pour plus de précisions. Un audioprothésiste commercialise des appareils auditifs pour les personnes ayant des soucis d’audition.Vivason propose un guide sur les acouphènes.
Il existe deux grands types d’acouphènes :
Les acouphènes subjectifs, qui sont les acouphènes les plus courants : ils concernent 95 % des cas d’acouphènes. Ils ne peuvent être entendus que par la personne qui en souffre. Dans une majorité des cas, ces acouphènes sont associés à des troubles auditifs provoqués par un traumatisme acoustique, par une perte d’audition, par le vieillissement de l’oreille, par une gêne…
Les acouphènes objectifs, qui concernent environ 5 % des personnes touchées par des acouphènes en France. Il s’agit d’un son qui est émis par une partie du corps, et qui peut être entendu par l’oreille. Au contraire de l’acouphène subjectif, l’acouphène objectif a donc comme source un véritable bruit, produit par le corps. Cette particularité fait que les acouphènes objectifs peuvent être entendus par un médecin. Il faudra alors qu’un professionnel de santé comprenne d’où vient ce bruit pour proposer un traitement adéquat. Les acouphènes objectifs peuvent s’avérer très gênants au quotidien pour les personnes qui en souffrent.
Qu’est-ce qui cause les acouphènes ?
En fonction du type d’acouphène, les causes peuvent être multiples. Par exemple, les acouphènes subjectifs peuvent avoir pour origine :
Une exposition excessive au bruit (on parle de traumatisme acoustique)
Le vieillissement de l’oreille, qui entraîne une perte d’audition
Une diminution de l’audition à cause de la présence d’un bouchon de cérumen (la fameuse cire d’oreille)
Diverses maladies et infections de l’oreille (notamment les otites)
La prise de certains médicaments
Un traumatisme (accident, chute, dépressurisation en avion, plongée sous-marine…)
Une blessure au cou ou à la tête
Des troubles psychosomatiques (choc psychologique, anxiété ou stress intense, dépression…)
Une consommation excessive d’alcool
Etc.
À noter que la cause des acouphènes subjectifs peut être vraiment difficile à détecter.
Les acouphènes objectifs, eux, peuvent être dus à :
Un trouble vasculaire (hypertension artérielle ou obstruction du flux sanguin par exemple)
Une contraction musculaire
Etc.
En plus de ces causes, un certain nombre de maladies peuvent entraîner l’apparition d’acouphènes :
Le diabète
La sclérose en plaque
Des troubles de la thyroïde
La maladie de Ménière (une affection de l’oreille interne)
L’otospongiose (maladie qui affecte un petit os de l’oreille et entraîne une surdité progressive)
Une tumeur à la tête, dans le cou ou sur le nerf auditif
Etc.
Quels sont les symptômes des acouphènes ?
Les symptômes des acouphènes sont des bruits ressentis dans les oreilles ou bien dans la tête. Ils peuvent être très variés. Parmi eux, on retrouve :
Les sifflements, qui sont les manifestations les plus courantes des acouphènes
Les bourdonnements
Les pulsations
Les cliquetis
Les chuintements
Les bruissements
Les tintements
Les vrombissements
Etc.
En fonction de leur cause et de leur intensité, les acouphènes peuvent être accompagnés d’autres manifestations : nausées, douleurs, vertiges, perte d’audition, sensation de gêne dans les oreilles, vomissements, hyperacousie (intolérance à certains sons)…
Attention : si vous entendez une musique ou des voix alors qu’il ne semble y avoir aucune source de tels bruits autour de vous, il ne s’agit pas d’acouphènes, mais d’hallucinations auditives. Il ne faut pas confondre les deux !
Quelles sont les conséquences des acouphènes ?
En fonction des affections, les acouphènes entraînent une gêne qui peut être occasionnelle, temporaire ou bien continue. Le bruit entendu peut être plus ou moins dérangeant. Dans certains cas, il peut être vraiment handicapant et avoir des conséquences sur le bien-être et la vie au quotidien.
Les conséquences se font sentir à la fois sur la santé physique et mentale, et varient grandement en fonction des personnes : difficultés à s’endormir, insomnies, dépression, stress, tensions nerveuses, troubles de la concentration…
À noter que les acouphènes ont tendance à diminuer avec le temps, notamment parce que les personnes qui en souffrent finissent par s’y habituer petit à petit. C’est ce que l’on appelle l’habituation.
Qui sont les personnes les plus touchées par les acouphènes ?
Il existe différents types de populations exposées aux risques de développer des acouphènes :
Les personnes âgées, car le processus de vieillissement du système auditif peut entraîner une détérioration de l’audition, d’où l’apparition d’acouphènes
Les personnes souffrant des maladies citées précédemment
Les personnes exerçant un métier qui les expose au bruit (les camionneurs, les travailleurs industriels, les mécaniciens automobiles, les chanteurs et musiciens, les ouvriers du bâtiment et de la construction, etc.)
Les personnes habitants dans des milieux très bruyants
Les personnes se rendant dans des discothèques, des concerts, des festivals où le son est fort
Les personnes ayant l’habitude d’écouter des sons fort à l’aide d’un casque audio
Les hommes, qui sont plus touchés par les acouphènes que les femmes
Comment peut-on traiter les acouphènes ?
Aujourd’hui, il n’existe pas réellement de traitement pour soigner les acouphènes. Pour pouvoir les soulager, il faut consulter un ORL qui sera le professionnel le plus à même de poser un diagnostic. En trouvant les causes des acouphènes, il pourra vous proposer une prise en charge adaptée.
Si les acouphènes s’accompagnent d’une perte de l’audition, il peut être nécessaire d’envisager de porter des appareils auditifs. Vous pouvez trouver des appareils auditifs chez un audioprothésiste comme Vivason, que ce soit en boutique ou en ligne.
Si les acouphènes s’accompagnent de troubles de l’anxiété, des médicaments peuvent être prescrits de manière ponctuelle.
Enfin, aujourd’hui de nombreuses approches alternatives ont émergé pour aider les victimes d’acouphènes à mieux vivre au quotidien. Ces approches combinent traitements médicaux, relaxation et médecine douce. Hypnose, sophrologie, méditation, yoga, thérapies comportementales et cognitives sont autant de solutions qui peuvent être envisagées pour mieux supporter les acouphènes au quotidien.
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Rendez-vous compte : en moyenne, nous passons un tiers de notre vie à dormir ! Et pour cause : un bon sommeil est une condition sine qua non pour être en bonne santé. Or, la literie a un impact direct sur la qualité de notre sommeil. Il est donc absolument essentiel d’y prêter une attention et un soin particuliers en optant par un exemple pour un ensemble matelas et sommier TEMPUR.
Renouveler votre literie, pourquoi c’est important ?
Pour avoir un bon sommeil, tout simplement ! Et par ricochet, pour être en bonne santé. En effet, avoir un sommeil réparateur permet non seulement de récupérer et de reposer votre corps et votre cerveau, mais cela permet aussi d’améliorer vos capacités cognitives et votre concentration, de booster votre système immunitaire, de prévenir certains maladies potentiellement graves (maladies cardiovasculaires et neurodégénératives), de combattre le stress, les troubles de l’humeur et la dépression, de mieux assimiler les informations engrangées au cours de la journée… Bref, à partir du moment où il est bien dosé (ni trop, ni trop peu), le sommeil n’a que des avantages !
À quelle fréquence renouveler votre literie ?
En moyenne, il est conseillé de changer de literie tous les 8 à 10 ans. Bien évidemment, il s’agit d’une moyenne : si vous ne vous sentez plus bien dans votre lit, n’attendez pas pour en changer. Plusieurs signes peuvent vous indiquer qu’il est temps de changer de literie :
Vos nuits ne sont plus réparatrices
Vous vous réveillez souvent
Au réveil, vous avez mal au dos et/ou aux cervicales
Vous sentez les ressorts du matelas et/ou les lattes de votre sommier
Vous sentez des creux et/ou des bosses dans votre matelas
Lorsque vous vous levez, le matelas garde l’empreinte de votre corps (il y a des creux)
Des réactions allergiques apparaissent
Votre sommier grince lorsque vous bougez
Votre matelas et/ou votre sommier est affaissé
Vous avez du mal à trouver une position confortable
Vous vous reconnaissez dans cette description ? C’est signe qu’il est temps de changer de literie. Voici nos conseils pour choisir du bon matériel !
Conseil n°1 : la fermeté du matelas
La fermeté d’un matelas dépend de nombreux facteurs : taille, poids, morphologie, matériaux de conception, les préférences personnelles… Et même la position adoptée pour dormir !
La plupart du temps, les spécialistes utilisent une échelle allant de 1 à 10 pour évaluer la fermeté d’un matelas :
De 1 à 4, le matelas est dit « souple » (on peut s’enfoncer dedans)
De 5 à 7, le matelas est dit « de fermeté équilibrée » (il s’adapte au corps, on s’enfonce très légèrement)
De 8 à 10, le matelas est dit « ferme » (on ne s’enfonce pas dedans)
Pour être honnête, pour trouver la fermeté idéale, il existe à peu près autant de recommandations qu’il y a de spécialistes. Cependant, la plupart s’accorde sur le fait que votre morphologie et votre position pour dormir font partie des critères les plus importants.
Plus votre IMC est élevé, plus vous êtes susceptible d’apprécier un matelas ferme, car il permet un meilleur soutien. Ce qu’il faut, c’est que votre colonne vertébrale soit bien maintenue, mais que le matelas soit suffisamment confortable pour vous permettre de bien dormir. De là quelques pistes en fonction de votre position :
Si vous dormez sur le dos, privilégiez un matelas plutôt ferme
Si vous dormez sur le côté, préférez un matelas légèrement souple
Si vous dormez sur le ventre, vous pouvez adopter un matelas équilibré
Conseil n°2 : l’importance du sommier
Grand oublié de la literie, le sommier n’en demeure pourtant pas moins un élément absolument essentiel pour de bonnes nuits de sommeil. Non seulement il sert de support au matelas et aide à prolonger sa durée de vie, mais en plus il joue un rôle dans la bonne aération – et donc dans la propreté et l’hygiène – de la literie.
À noter : il arrive que l’on ait envie de ne changer que le matelas pour conserver le sommier plus longtemps. Attention, car cela peut vite se révéler être une fausse bonne idée : si votre sommier est en trop mauvais état, il va masquer tous les bienfaits de votre nouveau matelas. Vous y perdrez donc au change.
Sachez aussi que tous les sommiers ne conviennent pas à tous les matelas, et inversement. En fonction de ce que vous désirez ressentir pour dormir, le choix sera différent :
Les matelas et les sommiers à ressorts garantissent un soutien plus souple. Ils sont idéaux pour les couples (surtout si les dormeurs ont tendance à beaucoup bouger pendant leur sommeil)
Les matelas à ressorts combinés à des sommiers à lattes garantissent un soutien plus ferme
Les matelas fermes avec des sommiers à lattes conviennent aux personnes qui souffrent du dos
Conseil n°3 : la taille de la literie
Dans l’idéal, la longueur de votre literie doit être supérieure à votre taille de 20 cm environ. Pour la largeur, c’est à votre appréciation personnelle. Sachez juste que l’on bouge en moyenne 40 à 50 fois par nuit… Ce qui fait beaucoup !
Conseil n°4 : rien de tel qu’essayer pour savoir
Faut il vraiment tester la literie avant de l’essayer ? Réponse : oui, oui, oui et encore oui ! En magasin, essayez de tester le matelas en vous allongeant dessus quelques minutes, si possible dans des conditions qui se rapprochent de celles dans lesquelles vous dormez (sans veste ni chaussure, dans la même position, avec votre partenaire si vous avez l’habitude de dormir avec quelqu’un).
Il existe un test très simple pour savoir si le matelas vous convient : allongez-vous sur le dos et essayez de passer votre main entre le matelas et vos reins. Si vous le pouvez, cela signifie que le matelas est trop ferme. Tournez-vous sur le côté en vous appuyant sur votre coude. Si votre coude s’enfonce, cela indique que le matelas est trop mou.
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Depuis quelques années, on entend beaucoup parler de la mélatonine et de ses effets bénéfiques sur le sommeil et la santé. Indispensable pour réguler nos rythmes biologiques (sommeil et éveil), elle peut être produite natuellement par l’organisme ou bien artificiellement en laboratoire. Seul problème : ces derniers temps, de nombreux cas d’effets indésirables ont été signalés et l’Anses met en garde les consommateurs contre ces substances artificielles. Quelles conclusions tirer de ces différentes informations ? Tous les types de mélatonine sont-ils vraiment bons pour la santé ?
La mélatonine, qu’est-ce que c’est ? Pourquoi en consommer?
Il s’agit d’une hormone qui sert à réguler les rythmes chronobiologiques du corps, en fonction du jour et de la nuit. C’est elle qui provoque le besoin de dormir et qui aide à supporter les décalages horaires. Ses bienfaits sont nombreux :
Régulation du cycle veille/sommeil et de la température corporelle
Aide à l’endormissement (la production de mélatonine le soir signale au cerveau qu’il faut dormir)
Résistance aux effets néfastes du jet lag, aide à s’adapter au décalage horaire
Propriétés antioxydantes, pour lutter contre le vieillissement de la peau
Éventuellement, soulagement et diminution des migraines
Aide à la perte de poids
Les études sont encore en cours, mais les scientifiques pensent que la mélatonine préviendrait aussi le développement des cancers.
Où en trouve-t-on ?
La mélatonine naturelle est synthétisée dans le cerveau, pendant la nuit, grâce à la sérotonine.
La mélatonine synthétique, en revanche, est produite en laboratoire, et peut être prescrite sous forme de comprimés, comme médicament ou complément alimentaire. Vous pouvez aussi vous procurer de la mélatonine sans ordonnance, dès lors que les doses sont inférieures à 2 mg. L’avantage de ces médicaments à base de mélatonine est qu’ils ne provoquent pas d’accoutumance.
Et puisqu’il s’agit d’une hormone produite naturellement par le cerveau humain, certaines personnes la consomment sans aucune précaution, et sans faire appel à aucun professionnel de la santé.
C’est là une erreur qui peut être grave, car des effets indésirables peuvent apparaître, à tel point qu’en 2018, l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) a mis les consommateurs en garde contre cette substance.
Quels sont les contre-indications à connaître ?
En raison d’un nombre plus ou moins important de signalements, l’Anses a mené une étude des risques potentiels de la mélatonine sur la santé. Il en est ressorti que certaines personnes sont plus vulnérables face à d’éventuels effets secondaires et indésirables.
Par conséquent, il leur faut éviter la consommation de mélatonine artificielle, ou bien demander impérativement conseil à un médecin.
Ces personnes sont :
Les femmes enceintes et qui allaitent
Les enfants et les adolescents encore en pleine puberté
Les personnes qui souffrent de maladie auto-immune ou inflammatoire
Les personnes sujettes à des crises d’épilepsie, d’asthme, à des troubles du comportement, de la personnalité ou de l’humeur
Les personnes suivant déjà un autre traitement médicamenteux
Les personnes qui souffrent d’allergie au principe actif, ou à certains excipients (comme le lactose pour certaines marques de comprimés par exemple)
La prise de mélatonine est également déconseillée pour les personnes effectuant une activité qui nécessite d’être particulièrement vigilant, et donc pour laquelle la somnolance serait un problème.
Par ailleurs, il semble que la consommation sur de longues périodes présente plus de risques de développer des effets secondaires que la prise de mélatonine à court terme.
Quels sont les risques et effets indésirables de la mélatonine ?
Les symptomes indésirables provoqués par la prise de mélatonine sont :
Maux de têtes, migraines
Cauchemars fréquents et violents
Vertiges, vision troublée
Somnolence constante
Nausées, vomissements
Douleurs abdominales
Tremblements
Irritabilité, nervosité, agitation
Prise de poids
Augmentation de la pression artérielle
Démangeaisons, rougeur sur la peau
Asséchement de la peau et des muqueuses
Crampes
Troubles de la mémoire ou de l’attention
Fourmillements au niveau des extrémités
Comme pour tout aliment, la qualité de la mélatonine a un impact sur sa bonne assimilation par votre organisme. Il faut donc éviter d’en acheter sur Internet via des sites non certifiés.
Également, veillez à toujours respecter la posologie prescrite par votre médecin ou pharmacien (quantité, fréquence, etc.).
En effet, des études ont montré que la qualité des comprimés était très variable d’un fournisseur à un autre. Certaines boîtes ne contenaient même que des placebos, ou, beaucoup plus grave, contenaient des impuretés potentiellement toxiques.
Conclusion : mélatonine ou pas ?
Il faut savoir que la mélatonine est en général bien tolérée par l’organisme, même en cas de surdosage.
Pour l’instant, les études de l’Anses ne sont pas terminées ; à priori, les effets secondaires, même si on en parle de plus en plus actuellement, restent rares. Il faut donc rester prudent et, en cas de doute suite à la prise de mélatonine, en parler immédiatement à votre médecin.
N’hésitez pas à demander des renseignements à un professionnel ! Cela vous aidera à avoir des conseils de bonne qualité, vous permettra de vous assurer que la mélatonine n’entrera pas en conflit avec un traitement médicamenteux antérieur, et qu’elle est bel et bien adaptée à votre situation.
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L’hiver est là avec ses changements brutaux de températures et ses nuits froides. C’est le moment idéal pour effectuer un réchauffement complet de sa chambre, sans toutefois entreprendre de grands travaux. Voici comment aménager sa chambre pour rester au chaud en toute décontraction pendant cet hiver.
Misez sur une luminosité originale
La luminosité joue un rôle important dans le cycle du sommeil. En hiver encore plus, il est nécessaire de jouer avec la lumière. Des lumières tamisées sont vivement recommandées. Elles sont généralement produites par des veilleuses ou des bougies.
Si vous avez un faible pour les bougies parfumées, prenez le soin de choisir des compositions agréables, au risque de polluer l’air de la chambre surtout avec des fenêtres hermétiquement fermées. Les senteurs comme l’orange ou la cannelle sont mieux adaptées.
Pour Noël, vous pourrez créer une ambiance lumineuse chatoyante, notamment par l’ajout de jolies guirlandes.
Parce qu’on peut aussi passer du temps dans sa chambre en journée, il est important de repenser la luminosité pendant la journée. Ceci passe par le choix des rideaux. Pour filtrer la lumière naturelle, les rideaux lourds et bien épais feront l’affaire. Avec une préférence pour des teintes chaudes et douces, le vert et le bleu étant donc à éviter.
Optez pour une décoration simple et douce
La décoration – aspect visuel important d’une pièce – se positionne comme l’un des éléments les plus intéressants pour s’accommoder à l’hiver. Aussi bizarre que cela puisse paraître, se réchauffer est une question de physique, mais aussi de moral ! Il s’agira d’abord d’habiller vos murs intérieurs d’une peinture anti-humidité, pour empêcher l’humidité d’entrer dans la chambre. C’est d’abord contre l’humidité qu’il faut se battre pour faire de sa chambre un véritable espace cosy et cocooning.
L’ameublement de la chambre pourra aussi changer. On pourra, par exemple pour le sol, y mettre un tapis assez épais, comme de la fausse fourrure.
Bien au-delà de la fonction pratique, les meubles jouent un rôle primordial pour créer une nouvelle ambiance. Les tables de chevet et autres placards pour l’hiver seront nettement mieux en bois. Si le matériau de vos meubles n’est pas du bois, nul besoin d’en acheter d’autres. Vous pourrez tout simplement y greffer des cadres de bois, de fausses fourrures ou même des bibelots répondants aux doux tons de l’hiver.
Recherchez le maximum de confort côté literie
Une chambre à coucher se caractérise d’abord par son lit (sans cela, on ne parlerait sûrement pas de chambre « à coucher » !). Peu importe la saison, il est essentiel d’avoir une literie de qualité pour s’assurer des nuits paisibles et des réveils confortables. Mais naturellement, l’hiver nécessite beaucoup plus de repos et d’heures de sommeil que les autres saisons.
Si on passe plus d’heures qu’à l’accoutumée dans notre lit, il est donc primordial que celui-ci soit le plus bel espace cocooning de la chambre. Les lits haut de gamme vous garantiront un sommeil paisible. Vous pourrez aussi mettre des coussins sur votre lit. Des draps et des oreillers de couleurs sobres comme le gris ou le beige rappelleront le confort de la maison.
Pour se couvrir le corps, rien ne vaut une bonne couette. Une synthétique fera l’affaire, car elle est pratique et tout aussi facile à entretenir qu’une couette naturelle. La couette doit être bien choisie pour apporter un confort supplémentaire, tout en débordant légèrement du lit. Les dimensions suivantes sont à privilégier en fonction de la taille du lit :
200 x 200 pour un lit de 90 x 200
220 x 240 pour un lit de 140 x 200
200 x 200 pour un lit de 90 x 200
Avec ces astuces, transformer sa chambre en espace cosy et cocooning pour l’hiver devient une partie de plaisir, et vous plonge dans un univers féérique tout en vous gardant au chaud.
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Le choix d’un certain type de sommier ou de matelas est déterminant pour un sommeil efficace, agréable et réparateur, et l’on peut passer beaucoup de temps à en sélectionner un avec soin, en se basant sur de nombreux critères différents.
Cependant, il existe un troisième facteur, non moins fondamental mais hélas souvent mis de côté : la couette. Quelle taille, quelle composition, quelle épaisseur, mais aussi quelles propriétés particulières sont à privilégier ? Voici quelques astuces pour faire le tri.
Les dimensions
Premier critère à prendre en compte, et probablement le plus facile à sélectionner, la taille de votre couette est un élément essentiel pour une bonne nuit de sommeil. Evidemment, il faut adapter ce choix en fonction de la taille de votre matelas. Pour un confort optimum, par exemple pour éviter que des courants d’air frais désagréables ne s’infiltrent dans vos draps, il est conseillé de choisir une couette qui dépasse de votre matelas d’environ 30-40 cm de chaque côté du lit. Mais il faut également prendre en compte votre comportement durant votre sommeil : avez-vous tendance à vous enrouler dans votre couette au cours de votre nuit ? Bougez-vous beaucoup ? Dormez-vous seul(e), ou bien avec quelqu’un qui s’approprie toute la couette ?
Ainsi, pour un lit de 140×200 cm par exemple, dans lequel une ou deux personnes peuvent dormir, privilégiez une couette de 200x200cm pour une personne seule, et une couette de 240x220cm pour un couple. De même, la corpulence des dormeurs est un élément qui doit influencer le choix de la taille : une couette trop petite laissera vos orteils découverts, tandis qu’une couette trop grande risquerait de tomber sans cesse à terre et de vous découvrir.
Le garnissage
En ce qui concerne sa composition, on retrouve bien évidemment la traditionnelle hésitation entre naturel ou synthétique. Plusieurs critères, très personnels et qui varient en fonction de chacun, sont à prendre en compte pour ce choix. Mais ces deux types de matière ont chacun leurs avantages et leurs inconvénients. Petit récapitulatif :
En ce qui concerne les couettes faites de garnissage naturel, d’abord, les avantages résident dans leur performance, en plus de leur côté bio : en effet, le garnissage naturel garantit un gonflant très agréable et efficace, et dure en général plus longtemps que le garnissage synthétique.
Le duvet, d’oie ou de canard, est l’élément naturel le plus répandu. C’est lui qui a les propriétés thermiques les plus élevées, et qui est le plus efficace contre le froid et l’humidité. De plus, le duvet naturel possède d’excellentes propriétés de thermorégulation ; si vous avez l’habitude de déjà avoir chaud la nuit, cette couette ne vous fera donc pas davantage transpirer, car elle est capable de s’adapter aux différentes étapes du cycle du sommeil, et à la température corporelle qui lui correspond. Le duvet possède également une sorte de reconnaissance historique et conventionnelle : traditionnellement, il est le composant par excellence des couettes. En revanche, on note de plus en plus de personnes allergiques à ce composant, et qui ne supportent plus les couettes garnies de duvet.
Heureusement, il existe d’autres composants naturels, comme la laine, la soie, ou même le bambou, par exemple. Moins répandues, ces matières sont tout aussi efficaces pour préserver la chaleur et conserver à l’abri de l’humidité. Elles sont plus légères et plus fines, et hypoallergéniques. Le garnissage végétal garantit une provenance autre qu’animale.
Un autre aspect non-négligeable des couettes naturelles est l’assurance d’acheter des produits bio, dont le garnissage est directement naturel ou recyclé, écologiques, et bien souvent de production locale. Par ailleurs, si vous avez des scrupules à vous fournir avec une matière comme le duvet, sachez qu’il existe des garanties : certains fabricants s’engagent à suivre des chartes strictes, qui prônent le respect du bien-être animal et la provenance directe de fermes éco-responsables.
Le principal inconvénient des couettes composées de matière naturelle reste leur prix, plus élevé que les couettes synthétiques. Cependant, elles durent plus longtemps que les couettes synthétiques et conservent leur gonflant après lavage. Attention toutefois : bien souvent, vous ne pourrez pas laver une couette en soie par vos propres moyens, et devrez privilégier un lavage au pressing.
A propos des couettes en matière synthétiques : totalement hypoallergéniques, très faciles d’entretien, leur prix est plus accessible que les couettes naturelles, mais elles durent moins longtemps, et perdent peu à peu de leur gonflant après les lavages. Les variétés de fibres synthétiques sont très variées et nombreuses, et la science à ce sujet a fait beaucoup de progrès ces dernières années : elles peuvent désormais être anti-acariens, fines et légères tout en conservant la chaleur, avoir un effet « toucher-duvet »… Aujourd’hui, les fibres synthétiques sont très efficaces pour conserver la chaleur corporelle, et certains fabricants qui ajoutent de la silicone garantissent même une répartition uniforme et agréable du garnissage dans la couette. En revanche, une couette en fibres synthétique chauffe de manière constante, et ne peut s’adapter aux différentes étapes du cycle du sommeil. Si vous avez déjà très chaud la nuit, vous risquez donc de transpirer davantage.
Il existe, là aussi, certains labels promouvant l’écologie, et qui garantissent le recyclage des fibres de polyester par exemple, souvent joint à d’autres caractéristiques « vertes » ou coton « bio ».
Enveloppe et piquage
Il s’agit également d’un choix essentiel, puisque c’est l’enveloppe qui contient le garnissage, et le piquage qui lui assure une bonne tenue et permet de le maintenir en bonne place.
L’enveloppe correspond au nombre de fils utilisés par cm². Plus une enveloppe est de qualité, plus ce nombre est élevé et le tissage serré. Ainsi, pour une couette garnie de fibres synthétiques, une enveloppe de 90-100 fils/cm² est adapté, tandis que pour un garnissage naturel, mieux vaut choisir un tissage de 130 films/cm² environ, pour que le duvet ne s’échappe pas de la couette, notamment.
En ce qui concerne la matière de l’enveloppe, tout dépend de votre budget et de vos besoins. Pour éviter la transpiration et une chaleur désagréable, mieux vaut choisir une enveloppe en coton pur, bio, ou bien tout simplement une enveloppe en fibres naturelles (bambou, soie…), très saines. Le mieux reste tout de même le coton, pour ses propriétés absorbantes et légères : l’humidité est évacuée, et la couette peut davantage s’aérer, respirer, ce qui est particulièrement recommandé pour les couettes en fibres naturelles.
A noter : il est possible d’opter pour des enveloppes avec des traitements anti-tâches, anti-acariens, ou contre les bactéries ou les insectes par exemple.
Le piquetage, lui, contribue à conserver la chaleur qui s’est accumulée durant le sommeil. Un bon piquetage vous permettra de conserver votre couette pendant plusieurs années. Il en existe de nombreuses formes, qui correspondent à divers types de couettes. Ainsi, pour une couette en fibres naturelles, préférez un piquetage à carreaux cloisonnés. Pour les fibres synthétiques, les choix sont plus nombreux : vous pouvez choisir entre des piquetages en lignes, vagues, horizontaux, ou carreaux. Egalement pour les couettes synthétiques, le piquage à capiton favorise le gonflant et l’isolation thermique de la couette.
Le grammage
Le grammage correspond au poids du garnissage de la couette. Là encore, ce sont essentiellement vos préférences personnelles qui entrent en compte. En effet, tandis que certains préfèrent sentir le poids de la couette pour bien dormir, d’autres privilégient les couettes légères.
Le grammage s’exprime en g/m². Plus le grammage est élevé, plus la couette est chaude. Egalement, pour des propriétés thermiques équivalentes, une couette faite de fibres naturelles sera plus légère qu’un couette faite de fibres synthétiques. En outre, plus le pourcentage de duvet est élevé, plus la couette sera légère.
A noter : plus le grammage est élevé, plus la couette est dense, et plus sont prix sera important.
Propriétés thermiques
Il existe des couettes dites d’hiver et des couettes dites d’été, qui possèdent des propriétés thermiques différentes.
Il est ainsi possible d’alterner entre couettes légères, pour l’été et les chambres assez chauffées, et couettes chaudes, pour l’hiver, les chambres moins ou peu chauffées, et/ou les personnes plus sensibles au froid.
Mais il existe également des couettes dites « quatre saisons », c’est-à-dire composées de plusieurs couches, que l’on peu enlever ou rajouter en fonction de ses besoins ou de ses préférences. On peut en trouver sur des sites tels que www.matelas-morphee.fr.
L’entretien
Qu’elle soit naturelle ou bien synthétique, une couette doit être secouée et surtout aérée régulièrement. Il faut également la protéger par une housse aux dimensions adaptées, et la laver régulièrement.
L’idéal, pour une couette naturelle, est de la laver deux fois par an, aux changements de saisons (hiver et été). Pour une couette synthétique, qui n’évacue par l’humidité de la même façon, le lavage s’effectue de préférence tous les trois ou quatre mois.
Attention, si vous lavez votre couette synthétique en machine, sélectionnez un programme d’essorage modéré, afin que l’enveloppe ne se rompe pas et ne laisse pas le garnissage s’échapper. Pour la sécher, il est préférable de la laisser naturellement à l’air libre.
En revanche, il est nettement plus compliqué de laver une couette naturelle chez soi : il faut éviter que le duvet ne s’écrase lors du lavage, et qu’il ne se regroupe pas en boules irrégulières lors du séchage. Préférez donc un lavage par des professionnels ou bien dans un pressing.
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Pour beaucoup d’entre nous, lachambre à coucher est l’une des pièces les plus importantes de notre maison. Il faut dire que l’on y passe au minimum un tiers de notre vie, et que c’est aussi là que nous débutons et terminons toutes nos journées. Inutile d’en dire plus pour savoir pourquoi il est si important de s’y sentir bien ! Voici trois points à prendre en compte pour faire de votre chambre un lieu agréable et accueillant.
1) Choisissez bien votre lit
La raison principale pour laquelle on passe un tiers de notre vie dans notre chambre, c’est notre lit. C’est donc sans aucun doute l’élément central de la pièce, et il est primordial de bien le choisir. Il faut, d’abord, choisir un bon matelas. On ne le dira jamais assez : un mauvais matelas peut avoir des conséquences désastreuses sur votre vie. Vous pourriez dormir mal et vous réveiller fatigués, voire ne pas réussir à dormir du tout pendant de longues heures, ou vous retrouver avec des maux de dos quotidiens qui gâcheront vos journées et pourraient finir par s’aggraver.
Pour bien choisir votre matelas, il est toujours recommandé de demander conseil aux vendeurs, qui pourront vous guider par rapport à vos besoins. Veillez toutefois à le choisir assez ferme pour qu’il puisse assurer un bon maintien de votre colonne vertébrale et du reste de votre corps.
Pour rendre votre lit encore plus confortable et accueillant, n’hésitez pas à y mettre beaucoup de coussins. Ca sera peut-être plus dur de le quitter le matin à l’heure d’aller travailler mais au moins vous vous y sentirez extrêmement bien !
Prenez enfin le temps de penser à l’emplacement de votre lit. Généralement, on conseille de ne pas le mettre près de la porte ou trop près d’une fenêtre, surtout si le soleil entre dans votre chambre dès le matin.
2) Faites entrer la lumière
De manière générale, la lumière est extrêmement importante dans la maison. Une pièce dans laquelle la lumière du jour ne rentre pas facilement est toujours plus déprimante qu’une pièce gorgée de soleil. Quant à la lumière électrique, si elle est trop tamisée ou, au contraire, trop néon, elle peut facilement mettre nos nerfs à mal.
Dans la chambre, il est important d’avoir plusieurs lumières différentes. Outre la lumière naturelle, il faut avoir une lampe assez puissante pour ne pas devoir choisir nos vêtements dans la pénombre ou pour pouvoir facilement lire au lit, par exemple.
À celle-là, il est recommandé d’ajouter des lampes à l’aspect plus tamisé pour donner une ambiance relaxante à notre chambre ou pour nous permettre de nous réveiller en douceur le matin sans devoir protéger nos yeux d’une lampe à la lumière bien trop vive.
3) Jouez avec vos meubles
Outre leur côté pratique, les meubles ont un rôle important à jouer lorsqu’il est question de créer une ambiance dans une pièce. Parmi les meubles nécessaires dans une chambre, on en note deux en particulier : la table de chevet et le placard.
L’utilité de la table de chevet est parfois sous-estimée, et pourtant son absence peut avoir un impact négatif sur notre état d’esprit. Devoir poser son téléphone, son livre ou sa lampe de chevet sur le sol lorsque l’on ne dispose pas d’une vraie table nous empêche souvent de nous sentir entièrement bien et donne une impression d’inachevé.
Quant au placard, à moins que vous disposiez d’une pièce entière pour votre dressing, celui-ci se trouve généralement dans la chambre. Dans ce cas, on recommande souvent d’opter pour un placard à portes. En effet, si un dressing ouvert peu paraître une bonne idée à première vue, il a tendance à fatiguer nos yeux qui, entre les piles de vêtements, les boîtes à chaussures et les ceintures mal rangées, ne savent plus où donner de la tête. À l’inverse, lorsque nos yeux se posent sur une simpleporte de placard, ils se sentent directement plus apaisés.
Et vous, comment avez-vous aménagé votre chambre ?
A propos de l’auteur
Diplômée de l’Ecole de Journalisme de Louvain, Léonor Rogister s’est détournée du monde de l’actualité quotidienne pour s’intéresser aux news lifestyle. Amoureuse de la nourriture et des bonheurs simples, elle aime s’informer et informer sur tout ce qui touche au bien-être, peu importe la forme qu’il prend.
Léonor est expatriée depuis 2015 et a fait de plusieurs pays sa maison. Quand elle n’est pas en train de voyager, elle aime profiter du confort de son chez soi. Elle tient également un blog depuis des années sur lequel elle partage sa passion pour les voyages.
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Nous sommes dans la cordillère des Andes, à plus de 3.500 mètres d’altitude, dans des conditions semi-désertiques. On aurait du mal à imaginer qu’il puisse y avoir de la vie à cet endroit, et pourtant… C’est là que pousse la maca et c’est là que les Péruviens, tout comme les Incas et d’autres peuples avant eux, la récoltent et la consomment.
Mais si cette plante impressionne par sa survie dans des conditions extrêmes, elle est aussi étonnante de par ses nombreux bienfaits. Surnommée « ginseng péruvien », la maca a notamment des vertus énergisantes et anti-inflammatoires, et agit comme régulateur de nos systèmes vitaux.
Vous voulez en savoir plus sur cette plante mystérieuse, qui supporte de très hautes températures le jour et passe la nuit dans un environnement glacial? Découvrez ici son histoire, ses bienfaits et comment vous pouvez la consommer à votre tour.
Le maca, un super aliment ancestral
Avant tout, une précision s’impose : « maca » est un nom que l’on voit tantôt au masculin, tantôt au féminin, mais il serait faux de croire que le choix de son accord se fait au hasard. En effet, on dit « la maca » quand on parle de la plante et « le maca » quand on veut parler de son tubercule, qui n’est autre que la partie de la plante que l’on consomme.
Car le maca est un tubercule qui pousse sous la terre, au même titre que le radis, la pomme de terre et le navet. Il ressemble d’ailleurs à ce dernier, avec un diamètre d’environ 7cm et une couleur généralement jaunâtre.
Selon les archéologues, le maca était déjà consommé plus d’un millénaire et demi avant notre ère, bien qu’on n’en sache pas beaucoup plus sur sa consommation à cette période-là. Ce que l’on sait, c’est que les Incas le considéraient comme une plante sacrée. Ils l’utilisaient alors principalement pour ses bienfaits sur la fertilité, mais aussi pour donner force et énergie à leurs soldats avant les batailles.
Plus tard, lorsque les conquistadors espagnols ont envahi ce territoire de l’Amérique du Sud, ils en donnaient à leurs chevaux pour augmenter leur fertilité et ainsi agrandir leur troupeau rapidement. Sur place, ils en consommaient également eux-mêmes pour mieux survivre aux conditions climatiques si éloignées de leur terre natale.
Aujourd’hui, les Péruviens en consomment encore au quotidien, et certains sont même convaincus qu’elle aide à vivre plus longtemps. Cependant, si le maca a réussi à être gardé relativement loin des yeux du monde pendant des millénaires, il s’exporte maintenant dans d’autres pays, conquis par ses bienfaits.
Il faut dire que le maca est rempli de nutriments essentiels. Il est, d’abord, très riche en vitamines et en minéraux et oligo-éléments. En effet, en plus d’être connu pour sa teneur très élevée en vitamines E, il est également riche en vitamines B et C. On y retrouve aussi du fer, du calcium, du magnésium, du zinc et du phosphore.
En outre, le maca renferme une belle quantité de protéines et peut se vanter de contenir presque la totalité des acides aminés essentiels. Il est également très riche en glucides, qui fournissent de l’énergie à nos cellules, et contient une quantité relativement importante de fibres.
Grâce à tout cela, le maca a été élevé au rang de « super aliment » aux Etats-Unis et chez nous.
9 bienfaits du maca
Si vous ne savez toujours pas pourquoi consommer du maca, voici 9 raisons pour lesquelles il est de plus en plus apprécié dans le monde.
1) Il améliore les performances sportives
Le maca est très apprécié des sportifs, et pour cause : il les aide aussi bien pendant qu’après l’effort.
Grâce à sa richesse en protéines et vitamines ainsi qu’aux acides gras et minéraux qu’il contient, le maca booste notre énergie et aide à renforcer notre force physique. Il aide notamment à favoriser la production de testostérone chez les hommes, ce qui permet d’augmenter la masse musculaire.
De plus, la majorité des glucides contenus dans le maca sont des glucides complexes, qui sont absorbés lentement par l’organisme. Cela participe à la régulation et la stabilisation des niveaux de sucre dans le sang sur la durée, ce qui permet d’augmenter notre endurance.
Mais le maca agit également sur le mental, nous permettant de mieux résister à l’effort et à l’envie d’abandonner. Enfin, une fois l’effort passé, le maca améliore également le temps de récupération et favorise un sommeil de meilleure qualité, important pour bien récupérer.
Condensé de force et de vitalité, le maca nous aide donc à améliorer nos performances sportives de manière générale. Mais cela ne fait-il pas de lui un produit dopant? Rassurez-vous, la réponse est non. 100% naturel, le maca ne contient aucun produit chimique dangereux ou addictifs. Vous pouvez donc le prendre sans risque, que cela soit pour votre santé ou pour votre fairplay!
2) Il aide à lutter contre la fatigue
Outre la fatigue due à un effort sportif, le maca aide également à combattre la fatigue physique et mentale au quotidien. Il vous redonnera de l’énergie dans le cas d’une fatigue passagère et, utilisé en cure, il pourra aussi venir à bout d’un état d’affaiblissement général et d’une fatigue plus profonde, telle que l’anémie. Ceci est dû notamment à ses minéraux, ses oligo-éléments et ses vitamines, qui constituent un vrai cocktail dynamisant.
3) Il renforce les défenses immunitaires
En stimulant l’organisme et en lui permettant de retrouver son énergie perdue, le maca a aussi un effet très bénéfique sur nos défenses immunitaires. En effet, il apporte à notre corps tous les nutriments nécessaires à son bon fonctionnement, ce qui permet d’éviter les carences et de renforcer notre organisme.
Une cure d’un mois de maca vous permettra ainsi de booster votre immunité et d’éloigner les maladies. Idéal lors des changements de saison, quand les rhumes et autres maladies ne sont jamais bien loin!
4) Il éloigne le stress
Le maca a un effet régulateur sur notre système nerveux, ce qui permet de diminuer notre niveau de stress et d’anxiété et d’augmenter notre bien-être.
Ses propriétés apaisantes proviennent principalement des acides gras et acides aminés que l’on retrouve dans sa composition, tels que la lysine et la glycine. Ceux-ci nous aident à nous calmer tout en favorisant la production de sérotonine et d’endorphine, qui favorisent à leur tour le bien-être et le bonheur.
Pour tout cela, le maca est notamment recommandé aux personnes passant par des périodes extrêmement stressantes, mais aussi à celles qui sont déprimées ou qui font face à des troubles du sommeil.
5) Il stimule la mémoire et la concentration
Son activité sur le système nerveux a aussi une influence sur nos fonctions cognitives. Le maca permet de lutter contre les troubles de l’attention et, ainsi, d’optimiser notre concentration. Mais il aide aussi à affûter notre esprit, à augmenter notre motivation et à prévenir les trous de mémoire.
De plus, grâce aux acides gras et aux antioxydants qu’ils contient, le maca aide à protéger les cellules du cerveau contre les radicaux libres. Cela permet de diminuer le risque de perte ou de détérioration de la mémoire.
Des cures de maca peuvent être ainsi conseillées aux étudiants et aux personnes âgées.
6) Il renforce les os
Sa richesse en calcium ainsi qu’en fer, en protéines et en vitamines permet au maca de participer au maintien et au renforcement du système osseux.
C’est notamment très utile chez les femmes pendant la ménopause. En effet, à ce moment-là, l’absorption du calcium est diminuée suite à la baisse des niveaux d’œstrogènes. Cela a un impact négatif sur la santé des os et peut mener à de l’ostéoporose.
7) Il soulage les symptômes de la ménopause
Outre son effet bénéfique sur le système osseux, le maca est rempli d’autres bienfaits qui aident la femme à mieux vivre sa ménopause. En effet, certains de ses composants, tels que ses protéines, ses vitamines et ses minéraux, favorisent la régulation et le rééquilibrage du système hormonal.
De cette manière, le maca permettrait de diminuer les bouffées de chaleur, de lutter contre la fatigue et de combattre l’anxiété provoquées par la ménopause. Ces effets doivent encore être prouvés scientifiquement, mais ils sont déjà observés par de nombreuses femmes qui suivent une cure de maca à cette période de leur vie.
8) Il a des propriétés aphrodisiaques
Outre tous ses bienfaits sur la santé, le maca est aussi très utilisé pour ses vertus aphrodisiaques. Certains le surnomment d’ailleurs « viagra péruvien »!
En effet, consommé régulièrement, il permettrait de réguler la production de testostérone chez l’homme et d’œstrogène chez la femme. Or, ces hormones ont une influence directe sur la libido. De plus, le maca aiderait à lutter contre les troubles de l’érection.
Tout comme ses effets sur la ménopause, son action sur la libido doit cependant encore être prouvée scientifiquement. À ce jour, elle n’a en effet été réellement démontrée que sur des rats en laboratoire. Toutefois, elle est utilisée dans cet objectif depuis des millénaires car les Incas en mettaient déjà dans leurs boissons aphrodisiaques, ce qui peut laisser croire que son effet est bien réel!
9) Il booste la fertilité
S’il est consommé régulièrement, le maca permettrait également d’améliorer la fertilité, aussi bien chez l’homme que chez la femme. De plus, il augmenterait la production de sperme.
Comment consommer le maca?
Si vous cherchez du maca sous sa forme naturelle, autant vous le dire tout de suite : vous n’en trouverez pas, à moins que vous soyez au Pérou. En réalité, le maca est principalement vendu et consommé sous forme de poudre, bien que vous puissiez aussi le trouver dans le rayon des compléments alimentaires, en comprimés ou sous forme liquide.
La poudre de maca peut être ajoutée à de nombreuses préparations aussi bien salées que sucrées, telles que des smoothies, du chocolat chaud, des soupes, des gâteaux, des biscuits, des salades et des plats cuisinés en tous genres. Son goût rappelle la noix et le caramel, ce qui donne sans conteste une note agréable à de nombreuses préparations!
Le maca présente peu d’effets secondaires connus et son dosage n’est donc pas sujet à de grandes limitations. Comme pour tout autre aliment, il est toutefois vivement recommandé de ne pas tomber dans l’excès. En effet, si vous en consommez plus d’une demi-cuillère par jour, vous pourriez provoquer un déséquilibre hormonal ou une augmentation de votre pression artérielle.
De plus, lorsqu’il est consommé sous forme de cure, il est vivement recommandé de ne pas en consommer pendant plus de 3 mois d’affilée pour éviter de potentiels désagréments ou dérèglements. Si vous voulez faire plusieurs cures, veillez à laisser un à deux mois entre chaque cure.
En outre, devant l’absence d’études sur le sujet, sa consommation est actuellement déconseillée aux femmes enceintes ou allaitantes, ainsi qu’aux personnes souffrant d’hypertension ou de syndrome métabolique.
Enfin, notez que vous n’en trouverez sûrement pas au supermarché. Il vous faudra aller en pharmacie ou dans un magasin spécialisé pour vous en procurer. Si vous préférez, vous pouvez aussi en acheter sur internet. Toutefois, veillez à acheter du maca bio et originaire des Andes, où il est cultivé selon la tradition et dans les conditions climatiques adaptées. Ce gage de qualité vous garantira de profiter de tous les bienfaits du maca.
Alors, intéressés? Ou peut-être avez-vous déjà goûté du maca?
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La mélatonine, aussi appelée hormone du sommeil, est une hormone sécrétée par notre corps et qui joue un rôle important dans notre organisme.
Ces dernières années, elle a fait de plus en plus parler d’elle. Bien qu’elle soit produite naturellement, elle existe aussi sous forme de comprimés en pharmacie, que l’on voit souvent comme une alternative efficace aux somnifères en tous genres.
Mais y a-t-il des risques à utiliser ces comprimés? Ne peut-on pas laisser le corps tout gérer lui-même? Et à quoi sert vraiment la mélatonine?
Dans cet article, nous vous expliquons tout ce que vous devez savoir sur cette fameuse hormone : ce qu’elle est exactement, ses bienfaits, les conseils pour favoriser sa production naturelle, et les précautions à prendre si l’on choisit de la prendre en suppléments.
La mélatonine, c’est quoi?
La mélatonine est une hormone créée naturellement par notre corps. Elle est secrétée dès la tombée du jour par la glande pinéale (ou épiphyse), une glande située dans notre cerveau. Le pic de production de la mélatonine a généralement lieu entre 2 et 4h du matin. Hormone de l’obscurité, son plus grand ennemi est donc la lumière, qu’elle soit naturelle ou artificielle.
Si elle n’est produite que pendant la nuit, c’est parce que le rôle principal de la mélatonine est de réguler nos cycles de sommeil et nous aider à mieux dormir. Ainsi, lorsque nous sommes plongés dans le noir, la mélatonine s’active pour dire à notre corps qu’il est temps de dormir.
Lorsque tout va bien, elle s’active automatiquement tous les jours et le corps veille à la doser parfaitement, afin de ne pas se retrouver en manque ou de faire face à un excès.
Cependant, dans certains cas de figure, on peut faire face à des dérèglements de la sécrétion de mélatonine. C’est le cas par exemple si nous travaillons la nuit ou en suivant des horaires irréguliers, si nous subissons un décalage horaire ou, simplement, lors de changements d’heures qui rendent les nuits plus longues ou plus courtes.
Pour lutter contre de tels dérèglements, il existe aujourd’hui des doses de mélatonine vendues en pharmacie. Longtemps considérées comme le meilleur des somnifères, les adeptes de ces doses les apprécient notamment car elles n’ont pas d’effets secondaires négatifs sur la mémoire ou les fonctions cognitives, contrairement à des somnifères et autres médicaments artificiels. Cependant, comme nous l’expliquons à la fin de cet article, ces doses doivent être utilisées avec précaution, et toujours sur les conseils d’un médecin.
Quels sont les bienfaits de la mélatonine?
La mélatonine agit principalement sur notre sommeil, mais celui-ci n’est pas le seul à souffrir lorsque notre corps n’en produit pas assez. Ainsi, un manque de mélatonine peut notamment provoquer des problèmes de santé plus graves, tels qu’une augmentation des inflammations ou du risque de contracter un cancer.
Voici donc tout ce que la mélatonine peut nous apporter.
1) Elle améliore la qualité du sommeil
C’est son rôle principal. D’où son surnom, d’ailleurs, d’hormone du sommeil.
La mélatonine ne vous permettra pas de dormir plus longtemps, mais elle vous permettra de dormir mieux. En effet, en aidant notre cerveau à savoir quand dormir et quand être éveillé, elle rend l’endormissement plus facile et plus rapide, et permet d’éviter les insomnies pendant la nuit. De plus, elle aide également à lutter contre la somnolence.
2) Elle aide à lutter contre le décalage horaire
Les décalages horaires, particulièrement ceux auxquels on fait face après avoir traversé plus de 3 fuseaux horaires en direction de l’est, dérèglent entièrement notre horloge interne.
Dans ce cas, les doses de mélatonine peuvent aider notre organisme à re-régler rapidement nos cycles de sommeil, ce qui permet de ne pas vivre complètement en décalé pendant plusieurs jours après l’atterrissage de notre avion.
Pour cela, le supplément en mélatonine doit être pris avant et après notre vol. La quantité des doses à prendre et leur fréquence dépendent de chaque situation et il est préférable de demander conseil à votre médecin. Il est important de bien les respecter, au risque de faire face à l’effet inverse en voyant les conséquences négatives du décalage horaire s’accentuer au lieu de diminuer.
3) Elle aide à combattre le cancer
La mélatonine aide à lutter contre le cancer à plusieurs niveaux.
Tout d’abord, combinée à l’action d’autres médicaments visant à entraver le cancer et sa progression, elle aide à empêcher la prolifération des cellules cancéreuses et à les détruire. Elle lutte aussi contre le développement des tumeurs en freinant l’afflux sanguin dont elles se servent pour prendre de l’ampleur.
La mélatonine aurait aussi un effet sur la chimiothérapie en tant que telle, car elle aiderait à la rendre plus efficace et à diminuer ses effets secondaires.
Nombre d’études se sont intéressées aux bienfaits de la mélatonine sur différents types de cancer. Ainsi, la mélatonine serait particulièrement efficace contre les cancers touchant les organes reproducteurs, tels que les ovaires, les testicules et les seins. Ses effets bénéfiques ont aussi été prouvés dans le cas du cancer du cerveau et de la prostate.
Enfin, plusieurs études ont montré le lien entre un manque de mélatonine et un risque augmenté de contracter un cancer. C’est le cas notamment pour les personnes qui travaillent de nuit ou celles qui vivent dans des quartiers éclairés en permanence pendant la nuit.
4) Elle renforce le système immunitaire
La mélatonine est un puissant antioxydant. Ainsi, en plus de combattre le cancer, elle participe au renforcement de notre système immunitaire dans sa globalité. Elle aide notamment à piéger les radicaux libres et à lutter contre l’inflammation.
Si la présence de mélatonine fait autant de bien à notre système immunitaire, il est aussi important de noter que son absence peut lui faire beaucoup de mal. En effet, un manque de mélatonine peut entraîner l’affaiblissement du thymus, un organe du système immunitaire qui est essentiel à son bon fonctionnement.
5) Et d’autres choses encore…
Les effets bénéfiques de la mélatonine ont aussi été notés dans d’autres situations, mais ils doivent encore être confirmés par des études plus en profondeur.
Ainsi, la mélatonine pourrait lutter contre le vieillissement cellulaire, réduire les risques de maladies cardio-vasculaires ou de crise cardiaque, lutter contre les maladies d’Alzheimer et de Parkinson et combattre le stress, les migraines ou encore les symptômes de la ménopause.
Comment activer la mélatonine naturellement?
Avant de se ruer sur les médicaments, les plus naturels soient-ils, il est toujours préférable de donner une chance à la nature de bien faire les choses. Si vous avez l’impression que votre corps ne sécrète pas assez de mélatonine, voici plusieurs conseils qui devraient vous aider.
1) Dormez dans l’obscurité la plus complète
Evitez toutes formes de lumière dans votre chambre, qu’il s’agisse d’une petite veilleuse ou de la lumière de la rue qui passe à travers vos rideaux.
Plus il fera noir dans votre chambre, plus la mélatonine pourra être produite facilement, et mieux vous dormirez.
3) Préférez les lumières dans les tons chauds
Si vous ne savez vraiment pas dormir dans le noir, ou si vous avez besoin d’allumer la lumière pendant la nuit pour une raison ou une autre, préférez les ampoules dans les tons jaunes, oranges ou rouges et choisissez-les à faible puissance. Celles-ci n’ont pas un effet négatif sur la production de la mélatonine, contrairement aux ampoules classiques qui émettent une lumière blanche ou bleue.
3) Evitez les écrans le soir
La télévision, l’ordinateur, le téléphone portable, la tablette,… Tous ces écrans sont à éviter le plus possible le soir, au minimum une heure avant d’aller vous coucher.
En effet, ils émettent une lumière bleue qui a un impact extrêmement négatif sur la mélatonine : elle donne l’impression à notre cerveau que nous sommes en pleine journée, et il ne pense donc pas à sécréter de la mélatonine.
Notez que la lumière bleue entrave la production de mélatonine même dans les cas où nos yeux n’y ont été confrontés que pendant quelques secondes. Il est donc préférable de mettre nos appareils complètement à l’écart le soir! Si vous devez vraiment les utiliser, pensez à diminuer la luminosité de leur écran au maximum.
4) En journée, exposez-vous au soleil le plus possible
Le soleil empêche la production de mélatonine, mais il ne faut pas pour autant s’en cacher constamment. En effet, une exposition suffisante au soleil pendant la journée favorisera la sécrétion de mélatonine pendant la nuit! Ainsi, plus vous aurez été exposés au soleil pendant la journée, plus votre corps pourra produire de la mélatonine une fois la nuit venue.
De plus, la lumière aide votre cerveau à savoir qu’il fait jour et que votre corps doit se réveiller. Pensez donc à vous exposer autant que possible à la lumière dès le matin. Et, même en hiver, essayez de mettre le nez dehors pendant au moins une dizaine de minutes pour profiter des rayons du soleil.
Notez enfin que plus vous vieillissez, plus vous aurez besoin de cette exposition à la lumière du soleil.
5) Limitez les ondes électromagnétiques dans votre maison
Evitez-les surtout au maximum dans votre chambre. En effet, les ondes électromagnétiques peuvent avoir une influence directe sur la mélatonine. En leur présence, la production de mélatonine est significativement entravée, et notre cycle du sommeil s’en voit complètement déréglé.
6) Trouvez de la mélatonine dans votre alimentation
Notre corps n’est pas le seul à produire de la mélatonine, on peut également en trouver dans certains aliments. C’est le cas notamment des cerises, des amandes, des noix, des graines de tournesol et des baies de Goji.
De manière générale, privilégiez aussi les aliments qui contiennent de la sérotonine ou du tryptophane, qui favorisent la production de mélatonine.
7) Evitez les médicaments
De nombreux médicaments entravent la production de mélatonine. C’est le cas par exemple de l’aspirine et de l’ibuprofène.
De manière plus surprenante encore, les somnifères et anxiolytiques participeraient aussi au dérèglement de la production de mélatonine! Une preuve de plus qu’il faut éviter les médicaments chimiques au maximum.
Doses de mélatonine : quelles précautions prendre?
Nous l’avons dit, les doses de mélatonine ne peuvent pas être prises à la légère. Il est recommandé de suivre les conseils de votre médecin à ce sujet.
En règle générale, sachez tout d’abord qu’il est vivement déconseillé d’utiliser les suppléments en mélatonine de manière régulière. Ainsi, limitez votre usage dans le temps et ne considérez pas les doses de mélatonine comme un somnifère à prendre pendant de longs mois, ou pendant toute votre vie!
Il est aussi très important de faire attention au dosage. De nombreux produits se trouvent sous la forme de comprimés de 3 à 5 mg. Or, dans la plupart des cas, il est vivement recommandé de ne pas ingérer une dose de plus de 2 mg! Un surdosage réduira significativement la production de cortisol, qui est pourtant nécessaire dès le matin. Vous pourriez alors faire face à des effets inverses à ceux recherchés, tels qu’un affaiblissement de votre système immunitaire ou des insomnies!
De plus, notez que dans certains cas, les suppléments en mélatonine sont vivement déconseillés, ou requièrent au moins un suivi médical strict. C’est le cas si vous souffrez de maladies telles que le cancer, l’épilepsie ou la leucémie, mais aussi chez les enfants, les femmes enceintes et allaitantes et les personnes souffrant de troubles mentaux.
Enfin, évidemment, ne prenez pas de la mélatonine avant de prendre le volant! Respectez un délai de 4 à 5h entre la prise de mélatonine et la conduite d’un véhicule. Le même conseil vaut pour l’utilisation de toute machinerie lourde.
Dites-nous, connaissiez-vous tous les bienfaits de la mélatonine? En avez-vous déjà pris en suppléments?
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